Fonds André-Marie Ampère (1775-1836)
Arithmétique
Théorie des nombres
Algèbre
Géométrie
Analyse mathématique
Calcul des variations et applications
Probabilités
Mécanique analytique
Astronomie
Électromagnétisme
Physique
Optique
Chimie
<div style="text-align: justify;">André-Marie Ampère (Lyon, 20 janvier 1775 – Marseille, 10 juin 1836) est un mathématicien, physicien, chimiste et philosophe français. Il a été membre de l'Académie des sciences, ainsi que professeur à l'École polytechnique et au Collège de France. <br />Autodidacte, Ampère contribue au développement des mathématiques en les introduisant en physique. Il fait d'importantes découvertes dans le domaine de l'électromagnétisme. Il en édifie les fondements théoriques et découvre les bases de l'électronique de la matière. Il est également l'inventeur de nombreux dispositifs et appareils tels que le solénoïde, le télégraphe électrique et l'électroaimant. Ampère est considéré comme le précurseur de la mathématisation de la physique, et comme l'un des derniers savants universels. Il est le créateur du vocabulaire de l'électricité — il invente les termes de courant et de tension — et son nom a été donné à l'unité internationale de l'intensité du courant électrique : l'ampère. Il fait également partie des soixante-douze savants dont le nom est inscrit sur la tour Eiffel.<br /><strong>Contenu : </strong>Travaux manuscrits (originaux et copies) <br />Rapports d'inspection et documents administratifs<br />Correspondance<br />Papiers de famille</div>
Ampère, André-Marie (1775-1836)
<div style="text-align: justify;">Académie des sciences ; Éric Brian et Christiane Demeulenaere-Douyère (dir.), <em>Histoire et mémoire de l'Académie des sciences : guide de recherches</em>, Paris, 1996 (ISBN : 2-7430-0148-8) <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9-Marie_Amp%C3%A8re" title="wikipedia" target="_blank">Wikipedia</a></div>
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/141" target="_self">Papiers Joseph Bertrand, ms 2033</a>, <br />Fonds de la BnF
37 cartons, 18,5 ml
français
Archives
Manuscrits
Fonds Ampère
1779-1844
Agriculture et économie en Lot-et-Garonne
agriculture
Littérature grise sur l'agriculture et le développement économique du Sud-Ouest et du Lot-et-Garonne ; dossiers techniques sur les cultures pratiquées en Lot-et-Garonne
André Silvestro, chef du service documentation de la chambre d'agriculture de Lot-et-Garonne
Accès libre, reproduction libre à l'exception des registres et des documents en mauvais état
0,7 ml
français
Archives
144 J 1-53
1943-1995
Fonds Eugène Michel Antoniadi (1870-1944)
Astronomie -- Histoire
Astronomie -- 20e siècle
Astronomie -- Observations
Mars (planète)
Mercure (planète)
<div style="text-align: justify;">Extrait des instruments de recherche :<br />Evgénios Antoniadis (1870-1944) est né en 1870 à Constantinople. Dès 1888, il commença ses observations dans sa ville natale puis dans l'île de Prinkipo en mer de Marmara. Il envoie régulièrement le résultat de ses recherches à Camille Flammarion qui les publie dans la revue <em>L'Astronomie</em>. En 1893, il le rejoint en France et travaille dans son Observatoire de Juvisy. Il est un des premiers membres de la jeune British Astronomical Association (B.A.A) dont il présidera la section "Mars" en 1896.<br />Vers 1900, il quitte l'observatoire de Juvisy et la Société Astronomique de France (S.A.F), officiellement pour se consacrer à la section "Mars" de la B.A.A. Cependant la même année il épouse Catherine Sevastopulos, d'origine grecque et le couple s'installe à Paris. <br />En 1909, Henri Deslandres, directeur de l' Observatoire de Meudon, l'autorise à utiliser la grande lunette équatoriale. Il occupe une place quasi officielle, ses publications faisant état de son statut d'"astronome attaché à l'Observatoire de Meudon". A la grande lunette, il observera notamment Mars et Mercure. Grâce à cet instrument, alors le plus grand d'Europe, il étudie toutes les planètes et parvient notamment à montrer le caractère illusoire des canaux martiens. Il établit aussi une échelle de qualité d'image connue sous le nom d'"échelle d'Antoniadi".<br /><br />Le prestigieux prix Janssen décerné par la S.A.F. lui est remis en 1925, fait unique dans l'histoire pour un astronome amateur. L'Académie des sciences lui attribue quant à elle le prix Guzman de 2 500 Francs.<br />En 1928, Antoniadi (qui signait depuis déjà longtemps Antoniadi et non Antoniadis) et son épouse adoptent la nationalité française. En 1932 il reçoit de l'Académie des Sciences le prix La Caille. Il meurt le 10 février 1944, à l'hôpital.<br /><br />Le fonds Antoniadi se compose de la manière suivante : <br />- 143 recueils de fiches documentaires, qui sont des notes de travail, essentiellement des notes de lecture et des réflexions personnelles (100 recueils versés en 1999 et 39 en 2005)<br />- 5 carnets d'observations réalisés à l'Observatoire de Juvisy auprès de Camille Flammarion, couvrant avec des lacunes les années 1891-1897 (versés en 2005)<br />- 19 carnets d'observations faites à l'Observatoire de Juvisy par des collaborateurs de Flammarion : Schmoll, Mabire, Ferdinand Quénisset, Lucien Rudaux, Léon Guiot et Benoît (versés en 2005)<br />- 1 registre de correspondance couvrant les années 1916-1926</div>
Antoniadi, Eugène Michel (1870-1944)
ALIDADE et CALAMES
<div style="text-align: justify;">- 143 recueils de fiches documentaires<br />- 24 carnets d'observations -1 registre de correspondance</div>
Archives
Ms 1138
1891-1926
Fonds François Arago (1786-1853)
Astronomie
Magnétisme terrestre
<div style="text-align: justify;">François Arago (1786-1853) fut admis à l’âge de dix-sept ans à l’École polytechnique. Secrétaire du Bureau des Longitudes, il fut adjoint à Biot, chargé d’achever la mesure de l’arc du méridien terrestre (1806). Membre titulaire de l’Académie des sciences à vingt-trois ans, il fut nommé professeur d’analyse et de géodésie à l’École polytechnique où il exerça ces fonctions pendant vingt ans. Devenu directeur de l’Observatoire, il donna des cours d’astronomie restés célèbres par leur clarté. En 1830, Arago remplaça Fourier comme secrétaire perpétuel de l’Académie pour les sciences mathématiques. Après 1830, il entra à la Chambre comme député des Pyrénées-Orientales et siégea à l’extrême-gauche. En février 1848, Arago fut porté par l’acclamation populaire au Gouvernement provisoire et chargé de diriger les ministères de la Marine et de la Guerre. Il fit adopter l’abolition de l’esclavage dans les colonies françaises. Député à la Constituante, il appartint à la Commission exécutive, qui se démit en juin, puis il siégea à la Législative. En 1852, il ne voulut pas prêter serment au gouvernement nouveau.<br /><strong>Contenu du fonds : </strong>Notes (relevés d'observations, relevés barométriques, fontaines jaillissantes et puits artésiens, températures, magnétisme terrestre, divers) et correspondance, 1807-1847 ; registres d'observations astronomiques</div>
Arago, François (1786-1853)
<div style="text-align: justify;">Académie des sciences ; Éric Brian et Christiane Demeulenaere-Douyère (dir.), <em>Histoire et mémoire de l'Académie des sciences : guide de recherches</em>, Paris, 1996 (ISBN : 2-7430-0148-8) <a href="https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/POG/FRAN_POG_06/c614y151woa--52bx32dvzv8a" title="Archives nationales" target="_blank">Archives Nationales</a></div>
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/383" target="_self">Fonds conservé aux Archives Nationales</a>
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/141" target="_self">Papiers Joseph Bertrand, Bibliothèque de l'Institut de France, Ms. 2033 et Ms. 2043<br /></a>
<div style="text-align: justify;">1 liasse, 1 cahier d'observations et 4 registres</div>
français
Archives
Fonds Arago 1 J 24 (1 à 4)
1807-1847
Fonds Arago
<div style="text-align: justify;">François Arago (1786-1853) fut admis à l’âge de dix-sept ans à l’École polytechnique. Secrétaire du Bureau des Longitudes, il fut adjoint à Biot, chargé d’achever la mesure de l’arc du méridien terrestre (1806). Membre titulaire de l’Académie des sciences à vingt-trois ans, il fut nommé professeur d’analyse et de géodésie à l’École polytechnique où il exerça ces fonctions pendant vingt ans. Devenu directeur de l’Observatoire, il donna des cours d’astronomie restés célèbres par leur clarté. En 1830, Arago remplaça Fourier comme secrétaire perpétuel de l’Académie pour les sciences mathématiques. Après 1830, il entra à la Chambre comme député des Pyrénées-Orientales et siégea à l’extrême-gauche. En février 1848, Arago fut porté par l’acclamation populaire au Gouvernement provisoire et chargé de diriger les ministères de la Marine et de la Guerre. Il fit adopter l’abolition de l’esclavage dans les colonies françaises. Député à la Constituante, il appartint à la Commission exécutive, qui se démit en juin, puis il siégea à la Législative. En 1852, il ne voulut pas prêter serment au gouvernement nouveau.<br /><br /> Son frère Étienne (1802-1892) dirigea le Vaudeville de 1830 à 1840. Homme politique, il prit part à toutes les luttes du parti républicain. Compromis dans la journée du 13 juin 1849, il se réfugia à Bruxelles et fut condamné par contumace à la déportation. Rentré à Paris en 1859, maire de Paris après le 4 septembre 1870, député des Pyrénées-Orientales (1871), il devint archiviste de l’École des Beaux-Arts (1878) et conservateur du musée du Luxembourg (1879).</div>
Arago, François (1786-1853)
Arago, Étienne (1802-1892)
Conditions d'accès : libre
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/admin/items/show/210" target="_self">Fonds de l'Académie des sciences</a>
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/141" target="_self">Papiers Joseph Bertrand, Bibliothèque de l'Institut de France, Ms. 2033 et Ms. 2043</a>
2 bobines de microfilm
français
Archives
348 AP [372 MI]
1797-1892
Fonds Paul Arbousse-Bastide (1899-1985)
Positivisme
Le fonds Arbousse-Bastide (professeur de philosophie) est constitué en grande partie de sources documentaires sur le positivisme au Brésil.
Arbousse-Bastide, Paul (1899-1985)
La consultation se fait sur place, du lundi au vendredi sur rendez-vous uniquement.
Archives : papiers, lettres, brouillons, écrits divers
Ouvrages : environ 300 ouvrages
Français
Archives
Manuscrits
Ouvrages imprimés
Fonds D'Arcet
Chimie -- 18e siècle
Chimie -- 19e siècle
<div style="text-align: justify;">Le fonds se compose de documents concernant le chimiste G.F. Rouelle (1703-1770), Jean Darcet (1724-1801) , Félix Darcet (1807-1846), la majorité des documents intéressant Jean Pierre Joseph Darcet (1777-1844). <br />Sont inventoriés successivement des documents d’état civil relatifs à différents membres de la famille Darcet, la correspondance de Jean Darcet avec son fils Jean Pierre Joseph Darcet enfant, les documents touchant l’activité de J.P.J. Darcet (comités et commissions, sociétés savantes auxquelles il a appartenu), ses décorations , des publications, une correspondance avec son fils Félix Darcet. Figurent en complément des papiers de Félix Darcet, ses diplômes, son voyage au Brésil, la correspondance avec ses proches. <br />Ont été inventoriés séparément les documents relatifs aux archives laissées par J.P.J. Darcet ainsi qu’un volume rassemblant les éloge s de plusieurs membres des familles Rouelle et Darcet.<br /> Les livres et recueils d’articles ont été extraits de ce fonds pour être catalogués à part dans la « Réserve » du service.</div>
Arcet, Jean d' (1724-1801)
Arcet, Jean-Pierre-Joseph (1777-1844)
Arcet, Félix (1807-1846)
Inventaire effectué par Florence Greffe
<div style="text-align: justify;">Ce fonds peut être complété par les archives de la Monnaie (Fonds Darcet), les archives de l’Académie des sciences dont les documents remis par Pauline Le Coëntre en 1870, celles de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, les Archives nationales (en particulier la sous-série F 12).</div>
français
Archives
47 J
Fonds Adolphe d'Archiac (1802-1869)
Minéralogie
Géologie
<div style="text-align: justify;">Étienne Jules Adolphe Desmier de Saint-Simon, Vicomte d'Archiac, né à Reims le 24 septembre 1802 et mort à Paris le 24 décembre 1868, est un géologue et paléontologue français. Élevé à Mesbrecourt (Aisne), il fait ses études à Saint-Cyr. Il sert comme officier de cavalerie pendant neuf ans jusqu'en 1830, date à laquelle il se retire. En 1828, il publie un roman,<em> Zizim, ou les Chevaliers de Rhodes</em>, roman historique du XVe siècle.<br />Son principal centre d'intérêt devient alors la géologie. Il est avec Jacques Boucher de Perthes le véritable fondateur de la géologie préhistorique en France. Ses premières publications scientifiques concernent les couches du Tertiaire et du Crétacé en France, en Belgique et en Angleterre où il étudie plus spécialement la distribution géographique et stratigraphique des fossiles. Plus tard, il poursuit avec les formations du Carbonifère, du Dévonien et du Silurien.<br />Son ouvrage majeur est l’<em>Histoire des progrès de la géologie de 1834 à 1859</em>, publié en huit volumes de 1847 à 1860. En 1853, la Geological Society of London lui décerne la médaille Wollaston. La même année, il publie une monographie avec Jules Haime sur la formation nummulitique de l'Inde. En 1851, il devient professeur de paléontologie au Muséum national d'histoire naturelle et en 1857 il est élu membre de l'Académie des sciences. Sur la fin de sa carrière, il publie entre autres : <em>Paléontologie stratigraphique</em> (3 volumes, 1864-1865), <em>Géologie et paléontologie</em> (1866), ainsi que plusieurs contributions paléontologiques à l’<em>Asie Mineure</em> de Petr Aleksandrovitch Tchikhatcheff (1866).<br /><strong>Contenu du fonds : </strong>Correspondance passive ; notes et cahiers de cours ; travaux ; carnets</div>
Archiac, Adolphe d' (1802-1869)
<div style="text-align: justify;">Académie des sciences ; Éric Brian et Christiane Demeulenaere-Douyère (dir.), <em>Histoire et mémoire de l'Académie des sciences : guide de recherches</em>, Paris, 1996 (ISBN : 2-7430-0148-8) <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Adolphe_d%27Archiac" title="wikipedia" target="_blank">Wikipedia</a></div>
2,50 ml en 5 cartons
français
Archives
Fonds Archiac
1813-1868
Archives départementales d'Indre-et-Loire
Crées à la Révolution, les Archives départementales ont pour mission de collecter, classer, conserver et communiquer les archives publiques produites dans le département (Préfecture, Conseil départemental, tribunaux, établissements scolaires…) et des fonds privés qui leur sont déposés ou donnés.
Archives départementales d'Indre-et-Loire
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Archives
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Photographies
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Archives départementales de l'Ain
Archives départementales de l'Ain
<a href="http://www.archives.ain.fr/" target="_blank">http://www.archives.ain.fr/</a>
Conditions d'accès :
La salle de lecture des Archives départementales est accessible gratuitement, après inscription, sur présentation d'une pièce d'identité.
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