Fonds de l’entreprise d’horlogerie Ungerer
Horlogerie
Engrenages
Industrie
Astrolabes
<div style="text-align: justify;">Jean-Baptiste Schwilgué (1776-1856) est un ingénieur horloger autodidacte né et mort à Strasbourg. Sa passion pour l'horlogerie remonte à l'enfance et il entre comme apprenti auprès d'un maître horloger à Sélestat, tout en continuant à se former en autodidacte en mathématiques et en astronomie. En 1813, il construit sa première horloge monumentale à Marckolsheim. <br />Sa réputation de brillant ingénieur parvient jusqu'à Frédéric Rollé, à la tête d'une fabrique de bascules. Rollé engage alors Schwilgué comme ingénieur dès 1823, et l'association devient officielle le 24 mars 1827, avec pour raison sociale "Rollé & Schwilgué". Schwilgué reçoit la Légion d'honneur en 1835. À partir de 1838 il s'attele au chantier de sa vie, la reconstruction de l'horloge astronomique de la cathédrale de Strasbourg et met fin à son association avec Frédéric Rollé. Le 2 octobre 1842, l'horloge est mise en mouvement en présence des membres du congrès scientifique réuni à Strasbourg.<br /> À la mort de Jean-Baptist Schwilgué en 1856, son fils Charles poursuit l’activité sans parvenir à la prolonger au-delà de 1858. La Société Ungerer Frères est alors créée. Ces deux jeunes frères, Albert et Théodore Ungerer, s’étaient fait reparquer alors qu’ils étaient respectivement contremaître et ouvrier du chantier reconstruction de l'horloge astronomique de la cathédrale de Strasbourg. Vers 1910, est crée une section spéciale pour la réparation d'automobiles de toutes marques et la fabrication de pièces détachées. Par la suite, cette division va se spécialiser dans la rénovation des moteurs "diesel" pour camions et pour voitures de tourisme. La section horlogerie continue de prospérer. <br />Après la seconde guerre cependant, les grands marchés monumentaux se font plus rares et en 1957, la firme développe une nouvelle activité découlant de l'horlogerie, la fabrication d'engrenages pour l'industrie. Les années 60 représentent pour l'entreprise une période de crise. Jean Boutry, ancien commandant de bord rejoint l’entreprise par son mariage avec Edith Ungerer, fille de Théodore et devient P.D.G. <br />Malgré les efforts pour faire revivre les deux départements qui firent la fortune de l'entreprise, les pertes considérables accumulées de 1958 à 1966 obligent celle-ci à déposer le bilan une première fois le 18 septembre 1967. La société est cependant autorisée à maintenir son activité en vertu du concordat de décembre 1968. Le personnel, qui comptait jadis jusqu'à 70 employés, est réduit aux deux tiers. Au début des années 70, la stratégie s'avère payante. La fourniture de l'horloge astronomique de l'aéroport d'Orly-Ouest en est la preuve, tout comme l'astrolabe pour le Centre administratif de la communauté urbaine de Strasbourg, et l'horloge astronomique de la place des Halles, toujours à Strasbourg. Mais ces gros marchés ne suffisent pas à assainir la situation de l'entreprise. Les dettes insurmontables de la firme l'obligent à cesser son activité en janvier 1989. Les bâtiments, bien que délabrés, existent toujours rue Labroque. Jean Boutry s'est éteint en 1995. <br /><br />Ce fonds d'horlogerie est unique en son genre, tant par sa nature que par sa qualité et son unité. Toutes les fonctions de l'entreprise y sont représentées. Ainsi les dossiers papiers s'accompagnent de nombreux documents iconographiques (plans, plaques de verres, photos et diapositives), voire d'objets. C'est pourquoi le fonds Ungerer peut être perçu comme quasi "complet". Cependant, les documents les plus anciens ne remontent guère au-delà de la fin des années 1850, et l'on s'interroge sur les archives correspondant à la première période de l'entreprise, qui, selon toute logique, commencerait en 1796. La période recouverte est tout de même suffisamment longue pour faire ressortir l'importance de l'entreprise dans la région, de même que les différentes phases de prospérité et de crise qu'elle a pu connaître. Les historiens des techniques trouveront quantité de précieux renseignements dans les dossiers de calculs et de recherche, et surtout dans les nombreux dessins et plans.</div>
Schwilgué, Jean-Baptise (1776-1856)
Société Ungerer
Français
Allemand
Archives
Photographies
Objets
73 J
1838-1991
Fonds Jean Comandon (1877‑1970)
Institut Pasteur
<div style="text-align: justify;">Cinéaste scientifique français né à Jarnac (Charente), en 03/08/1877, décédé à Sèvres, le 30/10/1970. Réalise des films scientifiques pour la Pathé‑Consortium‑Cinéma (1911‑1926), le Laboratoire de Bellevue de l'Office national des recherches scientifiques et industrielles et des inventions (1920), le Centre de documentation des «Archives de la Planète», Fondation Albert Kahn (1926‑1929), puis l'Institut Pasteur (1930‑1970).</div>
Comandon, Jean (1877‑1970)
libre.
Fondation Albert Kahn (fonds Comandon) ; Centre national de la cinématographie (Bois‑d'Arcy)
1 carton ; 100 (environ) pièces. ; 0,30 m.l.
français
Archives
Ouvrages imprimés
Tirés à part
Photographies
FR‑AIP‑CDJ.
1906‑1970
Archives départementales d'Indre-et-Loire
Crées à la Révolution, les Archives départementales ont pour mission de collecter, classer, conserver et communiquer les archives publiques produites dans le département (Préfecture, Conseil départemental, tribunaux, établissements scolaires…) et des fonds privés qui leur sont déposés ou donnés.
Archives départementales d'Indre-et-Loire
Accès libre sous réserve des conditions de don ou de dépôt pour les fonds privés et de l'état matériel des documents
Archives
Ouvrages imprimés
Revues
Photographies
Ressources audiovisuelles
Ressources numériques
Fonds Albert Châtelet (1883-1960)
théorie des nombres
théorie des ensembles
mécanique rationnelle
enseignement des mathématiques
<div style="text-align: justify;">Albert Châtelet naît le 24 octobre 1883 à Valhuon. Après de brillantes études au collège de Saint-Pol-sur-Ternoise puis au lycée de Douai, il entre à l'École normale supérieure en 1904. <br />Agrégé de mathématiques quatre ans plus tard, il prépare une thèse d'arithmétique supérieure et devient professeur au lycée de Tours. <br />Docteur ès-sciences en 1913, il est chargé de cours à la faculté des sciences de Toulouse avant d’être nommé à Lille comme maître de conférences de mécanique pour la rentrée de 1914, mais la guerre l'empêche de prendre son poste. Mobilisé dans le service de santé aux armées, il est par la suite affecté à la commission d'artillerie navale dans le Morbihan. <br />En 1919, Albert Chatelet peut enfin prendre ses fonctions à Lille. Devenu professeur de mathématiques générales puis de mécanique rationnelle, il est élu doyen de la faculté des sciences en 1921. Il n'accomplit qu'un mandat, car il est appelé, en juin 1924, à prendre la succession de Georges Lyon comme recteur d’académie et président du conseil de l’université de Lille. <br />Albert Châtelet suscite la création de nombreux instituts (mécanique des fluides, radiotechnique, houille, institut agricole, stomatologie, médecine légale, institut commercial, etc.) et surtout l’édification de deux maisons d'étudiants, qu’il baptise des noms de Georges Lefèvre et de Georges Lyon. Il entreprend la construction de la nouvelle faculté de droit et prépare le transfert de celle de médecine sur le site de la future cité hospitalière. <br />En 1937 il prend la direction de l'enseignement du second degré sous le ministère Jean Zay (1937). Durant les trois ans où il exerce cette fonction, il participe à la rédaction des programmes et amorce la réforme des lycées, en créant les nouvelles "sixièmes". <br />Sa révocation par le gouvernement de Vichy l’amène à revenir aux activités scientifiques que ses responsabilités administratives ne lui permettaient plus d'exercer. <br />Il est nommé en mars 1941 professeur à la faculté des sciences de Caen, tout en étant en fait, depuis octobre, chargé de l’enseignement de l’arithmétique supérieure à la Sorbonne, puis devient titulaire de la chaire d'arithmétique et de théorie des nombres de cette dernière, en juillet 1945. <br />En 1949, il succède à Jean Cabannes aux fonctions de doyen de la faculté des sciences de Paris . <br />En 1954, Albert Chatelet part à la retraite mais n'interrompt pas totalement ses activités. Ancien directeur des Mouvements de jeunesse et de l’Éducation populaire en juillet 1945 et juillet 1946, il préside la "Commission de réforme des programmes scientifiques des classes préparatoires aux grandes écoles et des examens de propédeutique des facultés des sciences" (1949) ou, à partir de 1958, le Bureau universitaire de statistique (dédié à l’orientation des étudiants, par le biais de journées d’étude et de publications, en collaboration étroite avec l’Institut pédagogique national), mais soutient aussi le mouvement scout (comme président des Éclaireurs de France entre 1937 et 1945) et la Fondation "Sanatorium étudiant de France". <br />Il est nommé pour cette carrière et cet engagement sans faille grand officier de la Légion d’honneur le 10 février 1955 et commandeur des palmes académiques le 2 juillet 1956. <br />Engagé politiquement à gauche, il est élu président de l’Union rationaliste en juillet 1955, organise des colloques pour la solution du problème algérien, et prend la tête du comité Maurice Audin contre la torture. En 1958, il s’oppose au retour au pouvoir de Charles de Gaulle et combat le projet constitutionnel du Général. Il entre alors au sein de l’Union des forces démocratiques, aux côtés de François Mitterrand et de Pierre Mendès France entre autres, et accepte d’être leur candidat à l’élection présidentielle indirecte de décembre 1958, où il recueille plus de 8 % des suffrages. <br />Décédé le 30 juin 1960 des suites d'une opération, Albert Châtelet laisse le souvenir d'un grand mathématicien et d’un grand administrateur, mais surtout celui d’un homme de cœur dont la carrière exemplaire n'a altéré ni la simplicité, ni la générosité ou la bienveillance.<br /><br />Le fonds Châtelet regroupe toute une série de documents habituels pour des archives privées (correspondance, discours, photographies, etc.), mais également des diplômes, des décorations et une très belle bibliothèque des travaux scientifiques et manuels scolaires publiés par Albert Châtelet.<br /><br /><br /></div>
Châtelet, Albert (1883-1960)
<a href="http://www.archivespasdecalais.fr/Anniversaires/24-octobre-1883-naissance-d-Albert-Chatelet-un-universitaire-consacre" target="_blank" rel="noopener">24 octobre 1883 : naissance d’Albert Châtelet, un universitaire consacré</a>
Accès libre
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/231" target="_blank" rel="noopener">Fonds François Châtelet (1925-1985) à l'IMEC</a>
8,3 ml
français
Archives
Photographies
Objets
81 J
1872-1979
Albums photographiques de Raymond Decary (1891-1973)
Botanique
Géologie
Zoologie
Ornithologie
<div style="text-align: justify;">Raymond Devary (1891-1973) est un scientifique français, tour à tour naturaliste, ethnologue, géologue, historien, linguiste, il aborda pratiquement tous les domaines de recherche à Madagascar. <br />Né le 22 novembre 1891 à Méry-sur-Seine, Raymond Decary arrive en 1916 à Diego Suarez, à Madagascar, alors colonie française. Ce sous-lieutenant passionné de botanique commence aussitôt une minutieuse collecte de nombreux spécimens pour le Muséum national d'histoire naturelle. La Société de Géographie et le Muséum lui confient plusieurs missions scientifiques entre 1923 et 1930, aussi bien ornithologique, géologique, qu'ethnographique pour le Musée d'ethnographie du Trocadéro qui est une filiale du Muséum. <br />Il ne s'intéresse plus seulement à la faune et à la flore de l'île ; il observe, commente, collecte, photographie tout ce qui touche aux coutumes, aux rites sacrés, funéraires, aux méthodes de culture, aux objets, à l'habillement et aux accessoires, et autres talismans malgaches. Raymond Decary voyage à travers les différentes régions, recueille de riches informations sur les ethnies qui y vivent, publie des ouvrages et des articles. <br />En 1933, il devient directeur adjoint du cabinet du gouverneur général à Tananarive. Nommé secrétaire permanent de la recherche scientifique, économique et de la statistique à Madagascar en 1937, il est déchargé de ses tâches administratives et peut se consacrer à sa passion. <br />Raymond Decary devient membre titulaire de l'Académie des Sciences coloniales en 1957. <br />Il est mort le 14 décembre 1973 à Paris.<br /> <br />Les photographies concernent : <br />- l'ethnographie, avec notamment les séries de photographies concernant les coutumes comme le fatidra (pacte de sang), la circoncision, les coiffures, [...]. <br />- la géographie physique et humaine : des albums entiers et très complets s'intéressent aux paysages malgaches, d'autres à l'habitat, aux routes, aux villes, aux travaux publics, routes et ponts, [...] mais aussi cultures, méthodes de cultures, élevages et bergeries, pisciculture, foires et marchés [...]. <br />- l'histoire : la série de photographies réalisée sur la famine en Androy (et que Decary interdit de publier) fait penser à ce que l'on appelle aujourd'hui la photographie de reportage. Ces photos ont de toute évidence été prises pour servir de documents historiques [...]. <br />- la botanique<br />- l'ethnobotanique</div>
Decary, Raymond (1891-1973)
Consultation des vues numérisées sur les postes de la salle de lecture.
<div style="text-align: justify;">Les collections de Raymond Decary sont conservées au Musée de l'Homme, au Musée national d'histoire naturelle et au Musée de Picardie à Amiens. L'Académie des sciences d'outre-mer conserve des plaques de verre de Raymond Decary ainsi que sa bibliothèque. Ses papiers scientifiques, comprenant des albums photographiques, sont conservés à la Bibliothèque du Muséum d'histoire naturelle à Paris (mss. 2973-3213). La Bibliothèque nationale de France conserve également des photographies.</div>
français
Photographies
58 FI
Fonds Théophile Moreux (1867-1954)
Observatoire de Bourges
<div style="text-align: justify;">Théophile Moreux dit l'abbé Moreux (1867-1954) est un astronome et un météorologue français, célèbre par de nombreuses publications de vulgarisation destinées à faire connaître l'état des sciences du début du XXe siècle au plus large public possible. En 1891, il est ordonné prêtre et enseigne au petit séminaire comme professeur de sciences et de mathématiques (jusqu'en 1906). Il adhère en 1893 à la Société astronomique de France, puis fonde en 1899 son premier observatoire d'astronomie qu'il installe au petit séminaire Saint-Célestin. En 1907, il construit son propre observatoire au 22 de la rue Ranchot à Bourges. Il fait de nombreuses conférences pour obtenir le soutien financier nécessaire pour la construction de l’observatoire et l’achat d’instruments. Le fonds des archives départementales du Cher conservent une collection photographique et iconographique réunie par l’abbé Moreux, en vue surtout de l’illustration de ses ouvrages. Celle-ci contient de nombreuses photographies, dessins originaux et reproductions tirées de diverses publications anciennes et modernes. On y trouve aussi quelques numéros de revues ou de périodiques, des coupures de presse, tirages à part, etc. Quelques rares notes manuscrites de l’abbé Moreux et de la correspondance complètent ce fonds.</div>
Moreux, Théophile (1867-1954)
<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ophile_Moreux" target="_blank" rel="noopener">Article Théophile Moreux sur Wikipédia</a>
Librement communicable
français
Archives
Photographies
Ressources iconographiques
8 J
Fonds Charles Broquet (1876-1964)
Peste
Médecine coloniale
<p style="text-align: justify;">Charles Broquet (1876-1964) est un médecin et biologiste français, né à bord de la frégate Psyché, au large de Landévennec, dans le Finistère. « Fils d'un officier de la marine de guerre, il décide de mener carrière dans le corps de santé de la Marine. Admis en novembre 1894 à l’école annexe du service de santé de la Marine de Brest, il poursuit ses études l'année suivante à l’école principale du service de santé de la Marine et des Colonies de Bordeaux. Reçu docteur en médecine le 11 novembre 1898, Charles Broquet est nommé médecin de deuxième classe en septembre 1899 et affecté sur l’Estoc, une chaloupe-canonnière basée dans le territoire de Kouang-Tchéou-Wan. »<br /><br /> (Seivert, Kévin. « Les débuts du territoire français de Kouang-Tchéou-Wan. Carnets de voyage du médecin de la Marine Charles Broquet (décembre 1899-mai 1901) », <em>Annales de Bretagne et des pays de l’Ouest</em>, vol. 124-1, no. 1, 2017, pp. 113-134.) <br /><br />Ses carnets de voyages, photographies, carnets de laboratoire et notes de travail composent le fonds de la médiathèque de Brest.</p>
Broquet, Charles (1876-1964)
<a href="https://www.cairn.info/revue-annales-de-bretagne-et-des-pays-de-l-ouest-2017-1-page-113.htm#re8no8" target="_blank" rel="noopener">Seivert, Kévin. « Les débuts du territoire français de Kouang-Tchéou-Wan. Carnets de voyage du médecin de la Marine Charles Broquet (décembre 1899-mai 1901) », Annales de Bretagne et des pays de l’Ouest, vol. 124-1, no. 1, 2017, pp. 113-134.</a>
Consultation du place
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/762" target="_blank" rel="noopener">Fonds Charles Broquet de l'Institut Pasteur</a>
Archives
Manuscrits
Photographies
Jean Civiale (1792-1867)
Médecine (urologie)
Le docteur Jean Civiale, né le 5 juillet 1792 au hameau de Salilhes, à Thiézac (Cantal) et mort 13 juin 1867 à Paris, est un médecin et chirurgien français qui est l'inventeur du traitement des calculs rénaux par la lithotritie, c'est-à-dire de leur destruction en place par broyage ou par dissolution (Wikipedia). Correspondance et photographies
Civiale, Jean (1792-1867)
Libres
16 lettres
3 lettres
français
Archives
Photographies
1 J 1192
27 J 71
1826-1869
Fonds Pierre Chevenard (1888-1960)
Métallurgie industrielle
Pierre Chevenard est né le 31 décembre 1888 à Thizy (Rhône), où son père, mort peu après, possédait une usine. Pierre sort premier de l'Ecole nationale des Mines de Saint-Etienne en 1910 et est engagé par la Société de Commentry-Fourchambault et Decazeville, d'abord à Decazeville, puis à l'aciérie d'Imphy (janvier 1911). Le directeur Henri Fayol le charge de diriger de créer et diriger un service de recherches pour les fabrications spéciales. Chenevard publie les résultats de ses recherches scientifiques dans la Revue de métallurgie dès 1914. Il est reçu à l'Académie des Sciences en 1946 et devient commandeur de la Légion d'Honneur en 1954
Chenevard, Pierre (1888-1960)
<a href="http://archives.nievre.fr/ark:/60877/a011322559663PfLTIS">Inventaire en ligne</a>
Consultation sur place
96 boîtes, 1 liasse
10, 20 ml
français
Archives
Photographies
95 J 1 - 95 J 403
1865-1978
Archives départementales de la Meuse
Toutes disciplines touchant le département de la Meuse quelque soit l'époque
Nées sous la Révolution française par la loi du 5 brumaire an V (1796), les archives départementales ont pour mission de collecter, classer, conserver et communiquer le patrimoine écrit du département de la Meuse : archives administratives, familiales, d’entreprises, documents iconographiques et numériques.
Archives départementales de la Meuse
Législation (code du patrimoine) sur la communicabilité des archives publiques. Licence libre pour la réutilisation
Archives nationales et Archives départementales des départements limitrophes
21 km d'archives papier, iconographie et ouvrages et 18 To de données numériques
Archives
Ouvrages imprimés
Revues
Tirés à part
Photographies
Ressources audiovisuelles
Ressources numériques
Objets