Fonds Jacqueline Bénex (née en 1924)
Immunologie
Institut Pasteur
Parasitologie
Iimmunofluorescence
sérodiagnostic
<div style="text-align: justify;">Biologiste française, née le 28/03/1924, à Paris. Bousière de la Fondation Roux (1954). Assistante, puis chargée de recherches au service de parasitologie (1954-1969), chef de laboratoire au service de protozoologie (1971-1972), chef de laboratoire au service de biochimie des antigènes (1972-1979), enfin chef de laboratoire au service de parasitologie expérimentale (1979-1989), à l'Institut Pasteur, Paris. Assistante à la Direction de physiologie de l'Institut national d'hydrologie et de climatologie (1946-1954).</div>
Bénex, Jacqueline (née en 1924)
Consultation libre. Reproduction sur autorisation des Archives et de la Photothèque.
2 cartons ; 500 (environ) pièces. ; 0,20 m.l.
français
Archives
Ouvrages imprimés
Tirés à part
Photographies
Objets
FR‑AIP‑BNX.
1959‑1983
Fonds Charles Benoist (1902-1992)
radioélectricité
<div style="text-align: justify;"><strong>Biographie : </strong></div>
<div style="text-align: justify;">Né le 1er octobre 1902 à Bray sur Somme, c'est à Noyon que Charles Benoist accède à son premier poste, celui d'aide mécanicien à l'âge de 17 ans pour le compte du service des matériaux du Ministère des régions libérées. Après avoir rempli les fonctions d'ajusteur électricien dans divers ateliers parisiens, dont la succursale française de la firme américaine J. Calvin Brown, il entre en 1922 à l'école pratique de radioélectricité de Paris où il suit l'enseignement du Général Ferrie. Muni du "diplôme de lecteur manipulant à 800 mots à l'heure", Charles Benoist se spécialise dans les montages radioélectriques. Ses compétences dans ce secteur industriel alors nouveau et en pleine expansion le font entrer comme ingénieur dans les laboratoires de Radio L.L. le 1er juin 1926.</div>
<div style="text-align: justify;">Dans cette fonction, il est responsable du montage des prototypes de postes émetteurs-récepteurs de T.S.F. et, de 1928 à 1931, il assure l'équipement et la maintenance de la flotte aérienne de la compagnie de l'Aéropostale. Il s'embarque en mission sur les avions et les hydravions de la Méditerranée et de l'Atlantique sud où il aura l'occasion de rencontrer Antoine de Saint-Exupéry et Jean Mermoz ; en 1929 et 1930 il équipe le latécoère 28 de ce dernier en poste T.S.F. Charles Benoist est appelé sur d'autres théâtres d'opération : il équipe en matériel Radio L.L. le relais P.T.T. du Pic du midi et les services de la Marine à Toulon. <br />Parallèlement à la radioélectricité industrielle, il participe aux débuts de la radiodiffusion commerciale : Radio L.L. ayant fondé un poste privé émettant depuis Paris, il assure le premier reportage en direct d'une étape du Tour de France cycliste vers 1925. Quand Radio L.L. décide en 1926 d'ouvrir un poste de radiodiffusion sur la Côte d'Azur, elle charge Charles Benoist de monter les nouvelles installations au casino de Juan les Pins. Jusqu'en 1967, il sera le second ingénieur de la station qui se transporte sur les hauteurs d'Antibes, aux Plateaux fleuris, à partir de 1935 H assure la maintenance des appareils de Radio L.L. puis après 1931 de Radio-Méditerranée, le nouveau propriétaire, ainsi que la logistique technique des radioreportages. <br />Après la nationalisation du poste en 19M et la cessation des émissions radiodiffusées, Charles Benoist prend part à la mise en place du réseau de la télévision française, tout en restant attaché au poste d'Antibes devenu relais, jusqu'en 1967, date de son départ à la retraite. Il meurt à Antibes le 2 décembre 1992.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong><br />Le Fonds d'archives :</strong></div>
<div style="text-align: justify;"></div>
<div style="text-align: justify;">Fruits et témoins de sa vie professionnelle, les documents du fonds Charles BENOIST se divisent en deux catégories distinctes quoique complémentaires, quant à leur provenance : en effet, si d'une part les documents produits ou acquis par l'ingénieur constituent ce que nous avons appelé les papiers personnels, d'autre part sont aussi présents dans le fonds les papiers rassemblés par ses soins, provenant de l'activité des sociétés de production radioélectriques ou de radiodiffusion qui furent ses employeurs.</div>
<div style="text-align: justify;">Ainsi, après les papiers personnels, on trouvera les parties composant autant de petits fonds d'archives économiques : Radio L.L., Radio Côte d'Azur-Radio Méditerranée et de la radiodiffusion française. Ces divers chapitres trouvent leur articulation commune dans le fait qu'ils sont tous issus d'un même organisme, les services du premier poste de radiodiffusion commerciale privé installé dans le sud est de la France à Antibes : il s'agit de Radio L.L., poste du casino de Juan-les-Pins, monté par Charles BENOIST en 1926, qui deviendra Radio Côte d'Azur-Radio Méditerranée installée aux plateaux fleuris à Antibes à partir de 1935.</div>
<div style="text-align: justify;">S'étendant sur trois mètres linéaires pour sa partie papiers et documents figurés (pour le fonds sonore, se reporter à l'inventaire de la discothèque), le fonds Charles BENOIST est composé de documents de divers types (correspondance, pièces constitutives et du conseil d'administration, cours, plans, schémas radioélectriques, feuilles de programmes de radiodiffusion, scripts, documents comptables et du personnel, bibliothèque et fonds photographique).</div>
Benoist, Charles (1902-1992)
Alain Bottaro, <a href="https://www.departement06.fr/documents/A-votre-service/Culture/archives/recherches-regionales/rr126-1994-03.pdf" target="_blank">Le fonds d'archives Charles Benoist</a>
Voir les <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/752" target="_blank">conditions de communication</a>
3 mètres linéaires
français
Archives
Ouvrages imprimés
Photographies
038J Fonds Charles Benoist
1910-1967
Fonds Émile Benveniste (1902-1976)
Linguistique
Grammaire
Grammaire comparée
Langues indo-européennes
<div style="text-align: justify;">Émile Benveniste est un linguiste français, né à Alep en Syrie le 27 mai 1902 et mort à Paris le 3 octobre 1976.<br />Il s'est illustré par ses travaux dans le domaine de la grammaire comparée des langues indo-européennes, ainsi qu'en linguistique générale.<br />Élève d'Antoine Meillet à l'École pratique des hautes études, il y enseigne ensuite à partir de 1927, et au Collège de France à partir de 1937. Il est fait prisonnier en 1940, mais parvient à s'évader et se réfugie en Suisse, où il reste jusqu'en 1945.<br />De 1945 à 1959, il est secrétaire adjoint de la Société de linguistique de Paris, puis il en est le secrétaire de 1959 à 1970. En 1960, il est fait membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres et en 1965 devient également membre de l'Accademia dei Lincei. En 1961, il fonde, avec Claude Lévi-Strauss et Pierre Gourou, <em>L'Homme</em>, revue française d'anthropologie. De 1964 à 1975, il est le directeur de la <em>Revue des Études arméniennes</em> (REA).<br /><br />Le fonds d'archives comprends des documents à caractère biographiques et relatifs à ses travaux et publications, également sur ses travaux.<br /><br /></div>
Benveniste, Émile (1902-1976)
<a href="https://salamandre.college-de-france.fr/ead.html?id=FR075CDF_00CDF0028-1" target="_blank">Notice de présentation du fonds</a> sur Salamandre, la bibliothèque patrimoniale numérique du Collège de France.
Dossier de professeur conservé aux archives du Collège de France : 16 CDF 26
51 unités documentaires
Archives
Photographies
28 CDF 12-24
1907-2006
Fonds Henri Bergson (1859-1941)
Philosophie
<div style="text-align: justify;">Henri Bergson fit sa scolarité à Paris. Sa première publication fut sa solution au problème du concours général de mathématiques de 1877 dans les <em>Annales de Mathématiques</em>. Il entra ensuite à l’<strong>École Normale Supérieure</strong> l’année de ses dix-neuf ans dans la promotion d'<strong>Émile Durkheim</strong>, de <strong>Jean Jaurès</strong> et de son ami <strong>Pierre Janet</strong>. Il y suivit les cours d’<strong>Émile Boutroux</strong>. Il publia en 1884 des morceaux choisis de Lucrèce, accompagnés d’une étude critique du texte et de la philosophie du poète. Cet ouvrage fut plusieurs fois réédité. Il rédigea ensuite l<em>’Essai sur les données immédiates de la conscience</em> qu’il présenta en même temps qu’une courte thèse en latin sur Aristote pour son diplôme de docteur ès lettres qu’il obtint en 1889. Sa thèse principale fut publiée la même année par l'éditeur parisien Félix Alcan dans la série "La Bibliothèque de philosophie contemporaine". De retour à Paris, il enseigna au collège Rollin, puis il fut nommé au lycée Henri-IV. En 1896, il publia son second ouvrage majeur, <em>Matière et mémoire</em>. En 1898, Bergson devint maître de conférences à l’École Normale Supérieure, et obtint ensuite le titre de professeur la même année. En 1900, il fut nommé professeur au <strong>Collège de France</strong>, où il accepta la chaire de philosophie grecque. Sa troisième œuvre majeure, <em>L'Évolution créatrice</em>, parut en 1907. Henri Bergson reçut le <strong>prix Nobel de littérature</strong> en 1927. En 1932, il acheva son dernier ouvrage, <em>Les Deux Sources de la morale et de la religion</em>. Il mourut le 4 janvier 1941 à 81 ans. <br />Les manuscrits des œuvres imprimées ont été légués à la Bibliothèque nationale. Les autres manuscrits ainsi que la bibliothèque personnelle d’Henri Bergson et le mobilier de son cabinet de travail furent légués à la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet.</div>
Bergson, Henri (1859-1941)
<a href="http://www.calames.abes.fr/pub/ms/FileId-440" target="_blank">CALAMES</a>
<div style="text-align: justify;">Conditions d'accès : Communication sur place avec accord des ayants droit.</div>
<div style="text-align: justify;">Conditions d'utilisation : La reproduction des documents est soumise à l'autorisation des ayants droit.</div>
<div style="text-align: justify;"><a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/237" target="_blank">Manuscrits d'Henri Bergson</a> à la Bibliothèque nationale de France<br />Voir les fonds conservés par l'ENS Ulm, la Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne, la Bibliothèque de l'Institut de France dans <a href="http://www.calames.abes.fr/pub/" target="_blank">CALAMES</a><br />Voir les archives du Collège de France dans le catalogue <a href="https://salamandre.college-de-france.fr/pages/index.html" target="_blank">Salamandre</a><a href="https://salamandre.college-de-france.fr/pages/index.html" target="_blank"><br /></a></div>
47 mètres linéaires environ
Français
Archives
Manuscrits
Ouvrages imprimés
Photographies
Objets
Revues
BGN 1-BGN 3212
1859 - 1991
Fonds Jacqueline Bernard (1913-1998)
Déportation
Fondation Jacques Monod
Institut Pasteur
Littérature
Résistance
<div style="text-align: justify;">Journaliste Française, née à Paris en 1913, fille du colonel Fernand Bernard et soeur de Jean‑Guy Bernard (polytechnicien, secrétaire général du mouvement de résistance «Combat», mort en déportation). Diplômée de la Faculté de droit (Paris) et de l'école libre des Sciences Politiques, elle travaille pour plusieurs périodiques économiques avant la seconde guerre mondiale. En 1941, elle rejoint la Résistance à Lyon, dans un groupe responsable de la publication du journal clandestin «Combat». Arrêtée en juillet 1944 par la gestapo, elle est déportée au camp de Ravensbrück en Allemagne. Libérée en juin 1945, elle revient à Paris et devient secrétaire générale et membre du comité éditorial de «Combat» devenu un journal quotidien avec Albert Camus comme éditeur. Elle démissionne en 1948 lorsqu'un nouveau groupe prend le contrôle financier du journal. Journaliste indépendante de 1949 à 1952, elle intègre ensuite l'équipe du mensuel «Réalités» jusqu'en 1961. A partir de 1961, elle est journaliste indépendante et traductrice d'auteurs anglo‑saxons chez Gallimard. De 1963 à 1969, elle donne de nombreuses conférences aux Etats‑Unis, notamment sur A. Camus et A. Malraux. Amie de longue date avec Jacques Monod et son frère Philippe Monod, elle crée, en 1979, la Fondation Jacques Monod. Elle a obtenu plusieurs distinctions : chevalier de la Légion d'honneur, Croix de guerre et Médaille de la Résistance. Décès à Paris en 1998.</div>
Bernard, Jacqueline (1913-1998)
Consultation libre. Reproduction sur autorisation des Archives et de la Photothèque.
3 cartons ; 220 (environ) pièces. ; 0,30 m.l.
français, anglais
Archives
Ouvrages imprimés
Tirés à part
Photographies
FR‑AIP‑BEJ.
1910‑2007
Fonds Noël Bernard (1875‑1971)
Choléra
Paludisme
Instituts Pasteur d'Indochine
Instituts Pasteur d'Outre-mer
Yersin Alexandre
<div style="text-align: justify;">Médecin et biologiste français né le 04/10/1875, mort en 1971. Sous‑directeur (1917‑1918), puis directeur (1919‑1922) de l'Institut Pasteur de Saigon. Mandataire de l'Institut Pasteur de Paris en Indochine et directeur des Instituts Pasteur d'Indochine (1923‑1935). Directeur des Instituts Pasteur d'Outre‑mer (1938‑1958).</div>
Bernard, Noël (1875-1971)
Consultation libre. Reproduction sur autorisation des Archives et de la Photothèque.
Collections particulières
5 cartons ; 300 pièces. (environ) ; 0,50 m.l.
français
Archives
Ouvrages imprimés
Tirés à part
Photographies
FR‑AIP‑BRN.
1903‑1953
Fonds Gabriel Bertrand (1867‑1962)
Agronomie
Champignon
Enseignement
Guerre 1914-1918
Hygiène
Institut Pasteur
Oligo-élément
<div style="text-align: justify;">Chimiste et biologiste français né à Paris (France), le 17/05/1867, mort à Paris en 1962. Chef du Service de chimie biologique à l'Institut Pasteur, Paris (1900‑1962). Professeur de chimie biologique à la Faculté des sciences de Paris (1905‑1936). Nommé, en 1920, président de la Société chimique de France.</div>
Bertrand, Gabriel (1867-1962)
<div style="text-align: justify;">Consultation libre. Reproduction sur autorisation des Archives et de la Photothèque.</div>
<div style="text-align: justify;">Académie des sciences, Paris (dossier de membre, fonds G. Bertrand : 63 J) ; Musém d'histoire naturelle, Paris (boîtes de correspondance)</div>
63 cartons ; 2400 pièces. ; 6,30 m.l.
français
Archives
Ouvrages imprimés
Tirés à part
Photographies
FR‑AIP‑BER.
1890‑1962
Bibliothèque littéraire Jacques Doucet
Littérature française
Surréalisme
<div style="text-align: justify;">La Bibliothèque littéraire Jacques Doucet est une bibliothèque patrimoniale consacrée à la littérature française de la seconde moitié du XIXe siècle à nos jours. Créée par le grand couturier Jacques Doucet, léguée à l’Université de Paris en 1929, elle relève depuis 1972 de la Chancellerie des Universités de Paris. <br />Collectionneur et mécène, le couturier Jacques Doucet (1853-1929) se constitue à partir de 1916, une bibliothèque littéraire d’exception, offrant la particularité de réunir, autour d’une oeuvre, non seulement l’édition rare, mais tout document permettant d’en suivre la formation et l’élaboration (manuscrit, épreuves corrigées, correspondance).<br /><br />Le legs de Jacques Doucet est accepté par l’Université de Paris en 1932. En 1933, à l’initiative du recteur Charléty, la bibliothèque est transférée et ouverte au public dans une salle de la nouvelle Réserve de la Bibliothèque Sainte-Geneviève. Depuis cette date, la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet n’a cessé et ne cesse de s’enrichir de dons prestigieux ou d’acquisitions. Une extension lui fut accordée dans les années 1960, puis 1980 au premier, puis au deuxième étage du 8 place du Panthéon.</div>
Bibliothèque littéraire Jacques Doucet
Site web de la <a href="https://www.sorbonne.fr/la-chancellerie-des-universites-de-paris/une-bibliotheque-consacree-a-la-litterature-du-xixe-et-xxe-la-bibliotheque-jacques-doucet/" target="_blank">Chancellerie de Paris</a><br /><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Biblioth%C3%A8que_litt%C3%A9raire_Jacques-Doucet" target="_blank">Wikipédia</a>
Ouvrages imprimés
Archives
Manuscrits
Photographies
Revues
Objets
Ressources numériques
Bibliothèque nationale de France (BNF)
<div style="text-align: justify;">La Bibliothèque nationale de France (BnF), ainsi dénommée depuis 1994, est la bibliothèque nationale de la République française, inaugurée sous cette nouvelle appellation le 30 mars 1995 par le président de la République François Mitterrand et héritière des collections royales constituées depuis la fin du Moyen Âge. Première institution chargée de la collecte du dépôt légal, à partir de 1537, elle est la plus importante bibliothèque de France et l’une des plus importantes au monde.<br />Ses activités sont réparties sur sept sites, dont le principal est la bibliothèque du site François-Mitterrand ou Tolbiac, située dans le 13e arrondissement de Paris, sur la rive gauche de la Seine. Le site historique, datant du XVIIe siècle, qui occupe désormais un îlot entier, se trouve dans le 2e arrondissement de Paris, sur le lieu du palais Mazarin qui hébergeait également la Bourse de Paris au XVIIIe siècle. On a coutume de le nommer «quadrilatère Richelieu», du nom de la rue de son entrée principale.<br /><br />La Bibliothèque nationale de France comporte <strong>quatorze départements</strong> et plusieurs collections principalement conservées sur ses quatre sites parisiens, incluant le Département des monnaies, médailles et antiques, héritier du Cabinet des Médailles. L'ensemble des collections conserve environ 40 millions de documents imprimés et spécialisés. Hors de Paris, elle comprend la maison Jean-Vilar à Avignon et deux centres techniques de conservation à Bussy-Saint-Georges et Sablé-sur-Sarthe. Elle est également de plus en plus connue pour sa bibliothèque numérique, <strong>Gallica</strong>, qui permet de consulter la reproduction de plus de 3 400 000 documents sous format texte, image ou sonore. Ses collections, qui s'accroissent d'environ 670 000 documents par an, hors fichiers internet, par le dépôt légal et par acquisition, dont environ 170 000 volumes, s'élèvent à un nombre total de 14 millions de livres et d’imprimés (11 millions à Tolbiac), dont près de 12 000 incunables. Outre des livres imprimés, ses collections comprennent plusieurs millions de périodiques, comptés pour 360 000 titres, environ 250 000 manuscrits, dont 2 500 vélins et 10 000 manuscrits enluminés médiévaux (ce qui en fait la plus grande bibliothèque au monde dans ce domaine), des cartes, estampes, photographies, partitions, monnaies, médailles, documents sonores, vidéos, multimédias, numériques ou informatiques (16,5 milliards d'adresses URL), des objets et objets d’art, décors et costumes… Une grande partie des références est consultable en ligne sur le catalogue général de la BnF et ses catalogues spécialisés. Le site François-Mitterrand accueille également l'Inathèque de France chargée du dépôt légal de la radio-télévision qui comporte aussi un fonds de cinéma.<br /><br />La BnF a une <strong>mission</strong> de collecte, d’archivage et d’entretien (conservation, restauration), en particulier de tout ce qui se publie ou s'édite en France, mais aussi des activités de recherche et de diffusion de la connaissance, grâce notamment à l’organisation régulière d’expositions à destination du grand public, et de multiples manifestations culturelles, conférences, colloques, concerts, dans ses locaux et sur son site internet.</div>
Bibliothèque nationale de France
<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Biblioth%C3%A8que_nationale_de_France" target="_blank">Wikipédia</a>
Ouvrages imprimés
Archives
Manuscrits
Revues
Tirés à part
Photographies
Ressources audiovisuelles
Ressources numériques
Cartes
Objets
Fonds Jean Binot (1867‑1909)
Astronomie
Charbon
Diphtérie
Exposition universelle
Institut Pasteur
Paludisme
Phylloxera
Syphilis
Tétanos
Tuberculose
<div style="text-align: justify;">Médecin et biologiste français, né le 11/08/1867, mort à Paris le 25/11/1909. Préparateur, puis chef de laboratoire à l'Institut Pasteur, Paris (1894-1909). Auditeur au Conseil supérieur d'hygiène publique de France.</div>
Binot, Jean (1867-1909)
Consultation libre. Reproduction sur autorisation des Archives et de la Photothèque.
Archives nationales, Paris (fonds de la Légion d'honneur) ; Musée des Arts océaniens et africains, Paris (fonds Jean Binot : DJB)
16 cartons ; 700 (environ) pièces. ; 1,60 m.l.
français
Archives
Ouvrages imprimés
Tirés à part
Photographies
FR‑AIP‑BIN.
1810‑1910