Fonds Aimé Laussedat (1819-1907)
Cartographie
Géodésie
Conservatoire national des arts et métiers
Topographie
Photographie
<div style="text-align: justify;">Aimé Laussedat né le 19 avril 1819 à Moulins, mort le 19 mars 1907 (à 87 ans), à Paris est un scientifique français aujourd'hui méconnu en France, tout à la fois astronome spécialiste de l'instrumentation et la géodésie, géomètre, photographe, topographe, arpenteur et cartographe. Élève, répétiteur de géodésie (1853) puis professeur d’astronomie (1856-1870) à l'École polytechnique, il fut ensuite responsable éminent au Conservatoire national des arts et métiers et aussi un ingénieur militaire au début de sa carrière jusqu'en 1851, commandant du Génie de Paris rive gauche pendant la guerre de 1870 à 1871, puis à nouveau officier du génie chargé des nouvelles frontières de 1871 à 1881. En effet, malgré sa démission de professeur à l'École polytechnique et sa demande de retraite de l'armée au début 1871, il est choisi par son ami d'adolescence, le général Louis Doutrelaine, pour le seconder à la commission de la délimitation de la frontière franco-allemande à Bruxelles.</div>
<div style="text-align: justify;">Ce fils d'une bonne famille républicaine bourbonnaise, attachée à Yzeure, officier du Génie, polytechnicien de la promotion 1838, est un des pionniers français de l'iconométrie photographique et de la photogrammétrie, applications de la photographie respectivement à la mesure et au lever des plans ou à la reconnaissance de formes. Il contribue patiemment à développer cette dernière mise au point en 1851 qu'il dénomme métrophotographie par des applications pratiques dès 1861 lorsque la technique permet des mesures métriques précises, aussi bien en topographie qu'en architecture. Le colonel Laussedat est mort à Paris, au terme d'une carrière scientifique auréolée d'une reconnaissance académique.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong><br />Contenu</strong> :</div>
<div style="text-align: justify;">-Cours de topographie et de cartographie donnés au Conservatoire National des Arts et Métiers</div>
<div style="text-align: justify;">-Cours d’astronomie et de géodésie donnés à l’Ecole polytechnique</div>
<div style="text-align: justify;">-Notes de recherches et mémoires, portant principalement sur la géodésie, la topographie, l’astronomie, la photographie</div>
Laussedat, Aimé (1819-1907)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
7 boîtes
français
Archives
IX LAUSSEDAT
1846-1895
Papiers d'Urbain-Jean-Joseph Le Verrier (1811-1877)
Mécanique céleste
Astronomie
Mathématiques
<div style="text-align: justify;">Urbain Le Verrier est un astronome et mathématicien français spécialisé en mécanique céleste, découvreur de la planète Neptune et fondateur de la météorologie moderne française, membre de l'Académie des sciences et directeur de l'Observatoire de Paris.<br /><strong><br />Contenu :</strong><br />
<ul>
<li>Correspondance</li>
<li>Notes diverses, spécialement relatives aux cours de Charles Choquet, son beau-père</li>
<li>Dossier relatif aux démêlés d'Urbain Le Verrier avec l'administration, avec Charles Delaunay et les fonctionnaires de l'Observatoire</li>
<li>Collaboration de Le Verrier à l'<em>Histoire de Jules César</em> de Napoléon III<br />Pièces relatives à l'affaire Vrain-Lucas</li>
</ul>
</div>
Le Verrier, Urbain-Jean-Joseph (1811-1877)
<div style="text-align: justify;"><a href="http://www.calames.abes.fr/pub/ms/IF2C13718" title="Calames" target="_blank">CALAMES </a>et <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Urbain_Le_Verrier" title="Calames" target="_blank">Wikipedia</a></div>
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'accès :</strong> <br />Les chercheurs souhaitant être admis comme lecteurs doivent être présentés au directeur de la bibliothèque par deux membres de l'Institut.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'utilisation :</strong><br /> La publication de documents inédits est soumise à l'autorisation de la Commission des bibliothèques et archives de l'Institut de France.</div>
Papier. 9 dossiers. Formats divers.
français
Archives
Manuscrits
Ms 3710-3718
19e siècle
Manuscrits de Fréderic Marguet
Navigation
<div style="text-align: justify;">Fréderic Marguet entre à l'École navale en 1891, dont il sort premier de sa promotion. Après une douzaine d'années passées en mer, il revient à l'École navale en qualité de professeur d'architecture navale, puis d'astronomie et de navigation maritime. Il y fait toute sa carrière, dans le cadre actif d'abord, puis dans le cadre «de résidence fixe» réservé aux officiers dont certaines aptitudes spéciales étaient utiles à la Marine nationale dans d'importantes fonctions sédentaires exclusives du service général.</div>
<div style="text-align: justify;">Parvenu à la limite d'âge en 1933, au grade de capitaine de vaisseau, il est maintenu à l'École à titre civil comme secrétaire archiviste, en fait Directeur des études. Il se retire ensuite à Paris, en 1937, puis à Villeneuve-Loubet en 1940.</div>
<div style="text-align: justify;">Son enseignement a sur les jeunes générations maritimes une influence considérable aussi bien dans la marine marchande que dans la marine militaire.</div>
<div style="text-align: justify;">Cet enseignement se trouve exposé dans deux ouvrages : <em>Cours d'astronomie de l'École Navale</em> et <em>Cours de navigation et de compas</em>. Ce dernier expose de nombreux développements sur la théorie des courbes de hauteur et les propriétés des segments capables sphériques. En 1926, l'Académie reconnaît la haute valeur de ces innovations en lui attribuant le prix Plumey.</div>
<div style="text-align: justify;">Fréderic Marguet s'est montré aussi très habile observateur. Une longue série d’observations précises des satellites de Jupiter entreprise à Brest attire l'attention de l’astronome Marie-Henri Andoyer qui utilise ces résultats pour rectifier les tables des satellites dans la Connaissance des Temps. Fréderic Marguet contribue aussi largement par ses publications dans la <em>Revue maritime</em> et dans les mémoires de l'académie de Marine à divulguer les idées nouvelles sur les mouvements généraux de l’atmosphère et la genèse des marées.</div>
<div style="text-align: justify;">Enfin, Frédéric Marguet a consacré une partie importante de son œuvre à l'histoire des sciences et à la philosophie. Son<em> Histoire de la longitude à la mer au XVIIIe siècle</em> lui vaut, en 1915, une part du prix Binoux de l'Académie des sciences et une médaille d'or de la Société de géographie. Cette remarquable esquisse est complétée par une <em>Histoire générale de la navigation du XVe au XXe siècle</em> (1931) qui constitue un ouvrage très complet.</div>
<div style="text-align: justify;">Il est, en 1937, élu Correspondant de l'Académie dans la Section de géographie et navigation, dernière consécration d'une carrière vouée au service du pays, de la marine et de la science.</div>
Marguet, Frédéric (1874-1951)
CALAMES ; Wikipedia
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La publication de documents inédits est soumise à l'autorisation de la Commission des bibliothèques et archives de l'Institut de France.
Papier. 3 cahiers. 230 × 175, 260 × 180, 300 × 190 mm
français
Manuscrits
Manuscrits de la Bibliothèque de l'Institut de France. Ms 4665-4667
1921-1939
Fonds Claude-Louis Mathieu (1783-1875)
Analyse
Mécanique
Stéréotomie
Calcul différentiel
Calcul intégral
<div style="text-align: justify;">Claude-Louis Mathieu, né le 25 novembre 1783 à Mâcon et mort le 5 mars 1875 à Paris, est un astronome français</div>
<div style="text-align: justify;">Son père, simple ouvrier menuisier sans fortune, ne put l'envoyer que dans une petite école où l'on n’apprenait qu’à lire et à écrire, et à un cours gratuit de dessin. Montrant de rares aptitudes pour les sciences exactes, qu’il étudiait seul, il fut distingué par l’abbé de Sigorgne, un prêtre savant, vicaire général du diocèse de Mâcon, qui l’encouragea dans ses dispositions et lui enseigna les premiers principes des mathématiques. Le premier préfet de Saône-et-Loire, Buffaut, ayant reconnu ses mérites, le fit partir pour Paris, en 1801, avec une lettre de recommandation pour un allié de sa famille, l’astronome Delambre, qui porta bien vite intérêt au jeune homme. Sa femme prit également dans une véritable affection de famille le jeune Mathieu, qui vivait avec une grande économie, logeant, au Marais, dans une modeste chambre que Delambre lui avait offerte sous son observatoire et suivant les cours gratuits du collège des Quatre-Nations.</div>
<div style="text-align: justify;">En 1803, sa persévérance lui permit d’intégrer, à l’âge de 20 ans, l’École Polytechnique (X1803), dans un bon rang. Peu de temps après, il refusa néanmoins de signer, ainsi que son ami François Arago et trente-quatre autres de leurs camarades, les registres ouverts pour l’adhésion à l’Empire, mais cet incident n’eut pas de suite car Napoléon ne voulut pas sacrifier des sujets d’élite, dont plusieurs étaient en tête de leur promotion. Sorti de l’école en 1805, sans doute sous l’influence de Delambre, il se sentait attiré par l’astronomie lorsque celui-ci fit désigner, le 1er novembre 1806, Mathieu pour remplacer provisoirement Arago, qui, dès sa sortie de l’école, avait été nommé secrétaire à l’Observatoire de Paris, et venait d’être envoyé en Espagne pour le prolongement de la méridienne de France. Après le retour d’Arago, qui fut aussitôt élevé d’un grade, Mathieu fut nommé à titre définitif. Il entreprit alors, avec Biot, une longue série de mesures d’intensité de la pesanteur sur le parallèle moyen et sur la grande méridienne, dont il fut récompensé par des prix de l’Académie, en 1809 et 1812.</div>
<div style="text-align: justify;">Nommé répétiteur du cours d’astronomie et de géodésie de l’Ecole Polytechnique, professé par Arago, le 27 décembre 1816, Mathieu fut, l’année suivante, à l’âge de 34 ans, élu à l’Académie des Sciences, dans la section d’Astronomie, en remplacement de Messier. Travailleur infatigable, chargé de rapports sur les sujets les plus variés, il y remplit toutes les fonctions, depuis celles de président jusqu’à celles d’administrateur de la fortune académique. La même année 1817, il fut nommé membre adjoint du Bureau des Longitudes, et Delambre lui confia sa suppléance dans le cours d'astronomie du Collège de France, chaire dont il devait être titulaire, cinq ans plus tard. En 1828, il fut chargé du cours d’analyse et de mécanique à l’École Polytechnique, cours fondamental formant le centre de l’enseignement de l’école, qu’il conserva jusqu’en 1838, date à laquelle il devint examinateur de sortie, fonction qu’il exerça jusqu’en 1863.</div>
<div style="text-align: justify;">L’un de ses premiers travaux scientifiques de Mathieu fut de terminer la période du XVIIIe siècle de l’<em>Histoire de l’astronomie</em> de son maitre et ami Delambre, qu’il compléta et enrichit de notes. Au Bureau des Longitudes, il fut chargé de diriger les calculs et la publication de la <em>Connaissance des Temps</em>, suppléant lui-même à l’insuffisance de certains calculateurs, jusqu’à ce que, pouvant se reposer sur son gendre Laugier de veiller à la <em>Connaissance des Temps</em>, il s’occupa surtout de l’Annuaire du Bureau des Longitudes, et c’est à lui qu’on doit, dans ce recueil, les indications relatives à l’astronomie, à la physique et aux questions les de la statistique. Quelques semaines avant sa mort, il terminait encore, de sa main les derniers feuillets de l’Annuaire.</div>
<div style="text-align: justify;"><br /><strong>Contenu</strong> : Manuscrit des cours d’analyse, mécanique, stéréotomie (1829-1832). Notes sur le calcul différentiel et intégral Résistance des matériaux (1840).</div>
Mathieu, Claude-Louis (1783-1875)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
1 boîte
français
Archives
IX MATHIEU
1829-1840
Fonds Adolphe Auguste Mille (1812-1894)
Savary, Félix (1797-1841)
Adolphe Auguste Mille, né le 9 octobre 1812 à Lille, mort en 1894, est un ingénieur français, le constructeur du Dépotoir municipal à Paris, l'apôtre de l'épuration agricole des eaux d'égout (il utilise les eaux d’égouts comme engrais liquide).<br />Adolphe Mille sort de l'École polytechnique en 1832, devient responsable du dépotoir de la Villette (mis en service en 1849) ainsi que de la voirie de Bondy dans les années 1850, ingénieur de la ville de Paris, inspecteur général des Ponts et Chaussées. chevalier de la Légion d'honneur le 12 juin 1846, officier en 1876. Retraité en 1877.<br /><strong>Contenu</strong> : Notes prises au cours d’astronomie et machines de Félix Savary<br /><br />
Mille, Adolphe-Auguste (1812-1894)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
1 boîte
français
Archives
IX MILLE
1833-1834
Fonds Théophile Moreux (1867-1954)
Observatoire de Bourges
<div style="text-align: justify;">Théophile Moreux dit l'abbé Moreux (1867-1954) est un astronome et un météorologue français, célèbre par de nombreuses publications de vulgarisation destinées à faire connaître l'état des sciences du début du XXe siècle au plus large public possible. En 1891, il est ordonné prêtre et enseigne au petit séminaire comme professeur de sciences et de mathématiques (jusqu'en 1906). Il adhère en 1893 à la Société astronomique de France, puis fonde en 1899 son premier observatoire d'astronomie qu'il installe au petit séminaire Saint-Célestin. En 1907, il construit son propre observatoire au 22 de la rue Ranchot à Bourges. Il fait de nombreuses conférences pour obtenir le soutien financier nécessaire pour la construction de l’observatoire et l’achat d’instruments. Le fonds des archives départementales du Cher conservent une collection photographique et iconographique réunie par l’abbé Moreux, en vue surtout de l’illustration de ses ouvrages. Celle-ci contient de nombreuses photographies, dessins originaux et reproductions tirées de diverses publications anciennes et modernes. On y trouve aussi quelques numéros de revues ou de périodiques, des coupures de presse, tirages à part, etc. Quelques rares notes manuscrites de l’abbé Moreux et de la correspondance complètent ce fonds.</div>
Moreux, Théophile (1867-1954)
<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ophile_Moreux" target="_blank" rel="noopener">Article Théophile Moreux sur Wikipédia</a>
Librement communicable
français
Archives
Photographies
Ressources iconographiques
8 J
Fonds de l'Observatoire de Paris
Observatoire de Paris
<div style="text-align: justify;">Ce fonds rassemble six sous-fonds constituant les archives de l’Observatoire de Paris.</div>
Observatoire de Paris
ALIDADE et CALAMES
Archives
1816-1971
Papiers de Gustave Le Doulcet (1795-1874), comte de Pontécoulant
Astronomie
<div style="text-align: justify;">Philippe Gustave le Doulcet, Comte de Pontécoulant est un astronome français, colonel d'artillerie, géomètre, membre associé de la Société royale de Londres et de l'Académie des sciences de Berlin.<br /> Élève de l'École polytechnique, Gustave de Pontécoulant s'était pris d'une belle passion pour les sciences mathématiques. En 1829, à peine âgé par conséquent de 34 ans, il se sentait la force de commencer la publication de la Théorie analytique du système du Monde (quatre volumes in-X°: les deux, premiers ont paru en 1829, et les deux derniers en 1834 et 1836 ; une seconde édition des deux premiers a été publiée en 1856), ouvrage considérable, dont l'objet était de rassembler dans un même livre les travaux faits par les géomètres pendant un demi-siècle pour perfectionner la théorie du système du monde; avec la seule ambition de composer un ouvrage utile, facilitant l'intelligence du grand Traité de Laplace, qu'il ne pouvait être question de refaire.<br /> L'ouvrage de Gustave de Pontécoulant eut un véritable succès. Le soin que l'auteur prend de suivre Laplace, en évitant de modifier les notations consacrées par l'usage; la préférence qu'il donne aux méthodes simples et générales assurèrent cette faveur.<br /> Mais Pontécoulant ne s'est pas borné à offrir au monde savant ce qu'on pourrait appeler une réduction de la Mécanique céleste. Le quatrième volume de son ouvrage renferme une théorie complète et nouvelle du mouvement de la Lune, méthode à laquelle les contemporains de l'auteur ne paraissent pas avoir payé un juste tribut d'éloges et qu'un juge compétent, M. Tisserand, estime parfaitement appropriée au but à atteindre.<br /><br /><strong>Contenu :</strong> <br />
<ul>
<li>Cours divers</li>
<li>Astronomie</li>
<li>Notes sur différents savants</li>
<li>Brouillons et calculs</li>
<li>Mémoires sur les perturbations du mouvement elliptique des comètes, sur la partie des grandes inégalités résultant de l'action mutuelle de Jupiter et de Saturne ; notes sur le déplacement des pôles, les moments d'inertie, l'équation séculaire, la mesure du mètre, etc.</li>
<li>Voyage à travers les cantons de Neuchâtel, de Berne, de Lucerne, d'Unterwald, d'Uri, des Grisons, de la province de Novare et du Valais</li>
<li>Brouillons et notes de Pontécoulant</li>
</ul>
</div>
Pontécoulant, Gustave de (1795-1874)
<a href="http://www.calames.abes.fr/pub/ms/IF5010556" title="Calames" target="_blank">CALAMES </a>et <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Gustave_le_Doulcet,_comte_de_Pont%C3%A9coulant" title="wikipedia" target="_blank">Wikipedia</a>
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'accès :<br /></strong>Les chercheurs souhaitant être admis comme lecteurs doivent être présentés au directeur de la bibliothèque par deux membres de l'Institut.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'utilisation :<br /></strong>La publication de documents inédits est soumise à l'autorisation de la Commission des bibliothèques et archives de l'Institut de France.</div>
9 liasses
français
Archives
Manuscrits
Ms 4068-4076
19e siècle
« Sur la dépression de l'horizon », par François Quenot
François Marie Quénot, né le 5 février 1761 à Lorient, est un astronome français.
Membre de l'expédition d'Égypte. Membre de l'Institut d'Égypte le 22 août 1798, dans la section de mathématiques.
Quenot, François
CALAMES ; Wikipedia
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Manuscrit inclus dans la <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/141" target="_self">Papiers de Joseph Bertrand</a>
français
Manuscrits
Manuscrits de la Bibliothèque de l'Institut de France. Ms 2041 / 61
Fonds Jean Saugère
Astronomie
Astronome
Saugère, Jean
<a href="http://archives.creuse.fr/arkotheque/client/ad_creuse/_depot_arko/articles/462/13jfondssaugere.pdf" target="_blank">http://archives.creuse.fr/arkotheque/client/ad_creuse/_depot_arko/articles/462/13jfondssaugere.pdf</a>
30 volumes
français
Archives
Ouvrages imprimés
13J Fonds Jean Saugère
1921-1986