Sorbonne Université. Bibliothèque (BSU)
Sorbonne Université est constituée d'un réseau de bibliothèques :<br />6 <a href="https://www.sorbonne-universite.fr/les-bibliotheques-de-lettres" target="_blank" rel="noopener">bibliothèques de lettres</a> ;<br />5 <a href="https://www.sorbonne-universite.fr/les-bibliotheques-de-medecine" target="_blank" rel="noopener">bibliothèques de médecine</a>, dont la Bibliothèque Charcot conservant notamment le fonds Jean-Martin Charcot et le fonds Achille Souques ;<br />2 <a href="https://www.sorbonne-universite.fr/les-bibliotheques-de-sciences-et-ingenierie" target="_blank" rel="noopener">bibliothèques de sciences et ingénierie</a>, dont les <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/969" target="_blank" rel="noopener">bibliothèques Mathématiques, Informatique, Recherche, MIR</a>)<br />de <a href="https://www.sorbonne-universite.fr/les-bibliotheques-associees">bibliothèques associées</a> : 21 littéraires et 11 scientifiques.<br /><br />La Bibliothèque de Sorbonne Université, riche d'un patrimoine considérable, le valorise, depuis 2021, à travers une bibliothèque numérique, <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/1012" target="_blank" rel="noopener">SorbonNum</a>.
Sorbonne Université. Bibliothèque (BSU)
Site de Sorbonne Université
Archives
Manuscrits
Ouvrages imprimés
Revues
Tirés à part
Photographies
Ressources numériques
Cartes
Objets
SobonNum
La Bibliothèque de Sorbonne Université (BSU) assure la gestion des collections documentaires de l’établissement. La bibliothèque a suspendu au début des années 2010 son activité de numérisation des collections patrimoniales imprimées, qui étaient accessibles jusque fin 2020 sur la Jubilothèque. L’existence de nombreuses bases de données et interfaces a mené à une réflexion sur la structuration d’un portail de valorisation de l’ensemble des collections patrimoniales. Le projet de bibliothèque numérique SorbonNum a vu le jour en début d’année 2021, et vise à offrir à l’ensemble de la communauté de Sorbonne Université, aux chercheurs mais aussi au grand public un outil dédié à la consultation, à la valorisation et à l’enrichissement des collections patrimoniales, notamment par le biais d’outils d’annotation collaborative. Cet outil a donc pour objectif d’être la porte d’entrée unique à toutes ces collections.<br />La Bibliothèque de Sorbonne Université a relancé ses numérisations et prévoit des mises en ligne régulières.<br /><br />Les documents sont présentés par collections réparties par champs disciplinaires et par fonds particuliers : collections de géologie, de mathématiques, de musicologie, de physique-chimie, <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/1014" target="_blank" rel="noopener">fonds Charcot</a>, fonds Lacaze-Duthiers, fonds Giard, <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/970">fonds Montessus de Ballore</a>, les thèses de l'Académie des sciences de Paris.
Sorbonne Université. Bibliothèque (BSU)
Site de SorbonNum
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Ressources numériques
Fonds Botanique
Botanique
Créé au XIXe siècle comme les laboratoires de zoologie et de géologie, le laboratoire de botanique fut absorbé en 1987 par le Département de biologie nouvellement créé.
Archives provenant de la bibliothèque de Botanique et du laboratoire de Biologie végétale.
École normale supérieure. Laboratoire de botanique
Catalogue CALAMES
Une partie du fonds ancien de la bibliothèque du Laboratoire de botanique a été déposée à la Réserve de la bibliothèque des Lettres
2 cartons, quelques registres.
Archives
BOT
1906?-1962?
Fonds Bloch
Le fonds de la famille Bloch regroupe trois sous-fonds : Hélène Bloch Ms 1-15 I 1-2, II 1-6, III ; Eugène Bloch Ms 1-26 I-X ; Léon Bloch Ms 1-12 I 1-62, II.
Léon Bloch est né à Soult en Alsace le 18 juillet 1876. Son frère cadet, Eugène, est également né à Soult en Alsace le 10 juin 1878. La famille quitte l'Alsace sous domination allemande et s'installe à Paris.
Léon Bloch est reçu au concours d'entrée de l’École normale supérieure en 1894 (section lettres). Agrégé de philosophie, puis docteur ès lettres en 1908 (sa thèse porte sur "la Philosophie de Newton"), il s'oriente à partir de 1912 vers la physique et s'associe avec son frère Eugène pour étudier le spectre des atomes. Chevalier de la Légion d'honneur, il est mort à Paris le 11 avril 1947.
Élève brillant, Eugène Bloch entre à l’École normale supérieure en 1897, cacique de la promotion sciences. Reçu premier à l'agrégation de sciences physiques en 1900, il consacre sa thèse à l'ionisation par le phosphore et devient docteur ès sciences en 1904. Préparateur à l'ENS en 1905, chargé de conférences à L’École supérieure d’Électricité en 1919 à la section de Radiotélégraphie, professeur à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts en 1920, et professeur à la Sorbonne (1922-1940), il succède en 1937 à Henri Abraham à la direction du Laboratoire de Physique de l'ENS. Sous l'occupation allemande, il doit quitter l’École en 1940 ; chargé de mission à la Faculté des sciences de Lyon, il cherche à se réfugier en Suisse. Il est mort en déportation à Auschwitz le 12 mars 1944. Eugène Bloch est Chevalier de la Légion d'honneur (1921).
Docteur en sciences naturelles, Hélène Bloch est la femme d'Eugène Bloch. Née Ellen Kahn, le 26 décembre 1882 à La Rochelle, elle est décédée à Paris en 1978.
Le fonds est constitué de manuscrits, papiers officiels, lettres, photos, programmes de "revues" de l’École normale supérieure et d'une abondante correspondance familiale.
Bloch, Léon (1876-1947)
Bloch, Eugène (1878-1944)
Bloch, Hélène (1882-1978)
Catalogue CALAMES
La bibliothèque possède également un fonds d'imprimés "Offert en souvenir de M. et Mme Eugène Bloch"
14 cartons et 1 malle.
Archives
Manuscrits
Ressources iconographiques
BLO
18..-19..
Archives du Laboratoire de biologie et évolution des insectes principalement cicadomorphes
Entomologie
Ce fonds témoigne des liens administratifs et financiers de Michel Boulard avec la IIIe section de l’École pratique des hautes études. Il contient des documents très divers, dont des arrêtés, des bons de commandes, des factures, des commentaires de projets mais ausssi des correspondances, des comptes rendus de commissions budgétaires et des documents issus de l'activité de la IIIe section. Les documentations scientifiques de Jacques Carayon et de Michel Boulard, composées de leurs rapports d'étude, de leurs thèses de doctorat, ainsi que les livres reçus de Michel Boulard, viennent compléter ce fonds. D'autres documents relatifs à la communication du laboratoire sont également présents : affiche, cartes imprimées, brochure.
Laboratoire de biologie et évolution des insectes principalement cicadomorphes
Boulard, Michel
Carayon, Jacques
Catalogue <a href="http://www.calames.abes.fr/pub/#details?id=FileId-2225" target="_blank" rel="noopener">Calames</a>
La totalité des documents contenus dans ce fonds est librement communicable.
Museum d'Histoire Naturelle de Paris, cote : AM 640
École normale supérieure, Centre documentaire du CAPHES, cote YBO 64.3
4 cartons Dimabs, soit 13 articles qui composent ce fonds. 1.3 mètre linéaire.
Archives
Ouvrages imprimés
Cotes : EPHE SA 3 BOU 1-9
1937-2013
Fonds Pierre Mollaret (1898‑1987)
Institut Pasteur
leptospirose
maladie de Nicolas et Favre
paludisme
poliomyélite
sodoku
syphilis
trypanosomiase
Médecin et biologiste français, né en 1898 et décédé le 03/12/1987. Chargé du Centre de malariathérapie de l'Hôpital de la Sapétrière, Paris (1930). Assistant (1932‑1935), chef de laboratoire (1935‑1941), chef de service (1941‑1966), puis professeur à l'Institut Pasteur (Paris). Secrétaire général de la «Revue de Neurologie» (1938)
Mollaret, Pierre (1898‑1987)
libre.
Académie de médecine, Paris (Prix Herpin, 1931) ; Académie des sciences, Paris (Prix Lallemand, 1935)
14 Cartons ; 300 (environ) pièces.
français
Archives
Ouvrages imprimés
Tirés à part
Photographies
FR‑AIP‑MLP.
1936‑1980
Fonds Henri Mollaret (1923-2008)
Baltazard, Marcel
Histoire de la médecine
Institut Pasteur
Peste
Médecin et biologiste français né le 23/07/1923, à Paris, décédé à Angers, le 11/07/2008. Carrières à l'Institut Pasteur (1925-1990) : Service de microbie générale (J. Dumas), Service des leptospires (B. Kolochine-Erber), Service des anaérobies (A.-R. Prévot), Service de la peste (G. Girard), direction de l'Unité d'écologie microbienne, chef du Département de bactériologie et mycologie (1982-1990). Parmi les missions scientifiques : Congo Belge (1958) ; Institut Pasteur d'Iran (études des foyers de peste au Kurdistan, avec M. Baltazard, 1963) ; Enseignement en Pologne (1961).
Mollaret, Henri (1923-2008)
libre
44 Cartons ; 2000 (environ) pièces. ;
français, anglais, russe, allemand, chinois
Archives
Ouvrages imprimés
Tirés à part
Photographies
FR-AIP-MLH.
1720-2003
Fonds Claire Salomon-Bayet (1932-2016)
Institutions scientifiques
Pasteur, Louis (1822-1895)
<div style="text-align: justify;">Claire Salomon-Bayet, née en 1932, et morte à Paris le 9 octobre 2016, est philosophe, professeure émérite à la Sorbonne, spécialiste de Rousseau, Pasteur et Cournot. Agrégée de philosophie (1957), Claire Salomon-Bayet soutient en 1976 un doctorat ès-lettres (Philosophie et histoire des sciences) sous la direction de Georges Canguilhem. De 1957 à 1959, elle est professeure de lettres supérieures au lycée Louis-Pasteur de Besançon. Puis, de 1960 à 1964, elle est secrétaire de rédaction de la <em>Revue de l’enseignement supérieur</em> et des <em>Études philosophiques</em>. Peu après, elle est assistante à la Sorbonne (1964-1968), avant d'intégrer le CNRS où elle reste jusqu'en 1981. De 1981 à 1988, elle est élue professeure à l’Université Lille III. En parallèle, de 1986 à 1990, elle est également directrice scientifique adjointe du Département des « Sciences de l’homme et de la société » du CNRS. Enfin, de 1988 à 1998, elle dirige le Centre d’histoire des sciences et des mouvements intellectuels (Université de Paris I "Panthéon-Sorbonne"). Professeure invitée à plusieurs reprises (Harvard, Université de Montréal, Wissenschaftskolleg de Berlin), elle est membre de l’Institute for Advanced Study (Princeton, New Jersey, USA) depuis 1981. Elle est également membre de l'Académie internationale d'histoire des sciences, du Haut Comité des célébrations nationales, ainsi que du Comité national français d'histoire et de philosophie des sciences.<br /><br />Le fonds est constitué de ses archives de travail et de sa bibliothèque personnelle qui est venue compléter celle de son mari Jean-Jacques Salomon qui avait fait don de ses ouvrages au Caphés.</div>
Salomon-Bayet, Claire (1932-2016)
Wikipedia (pour la notice)
Fonds Jean-Jacques Salomon
12 ml
français
Archives
Ouvrages imprimés
Tirés à part
Photographies
Cote des ouvrages : SAL
20e siècle
Fonds Pierre Schlienger
Radiothérapie
Radiothérapeute à l’Institut Curie, Pierre Schlienger a voulu donner ses archives de travail au CAPHÉS, à la suite du dépôt d’une collection imprimée par l’Institut Curie. Le fonds est en cours de constitution et il n’a fait l’objet d’aucun traitement documentaire pour le moment.
Schlienger, Pierre
Certains documents sont non communicables
10 mètres linéaires
français, anglais
Archives
Ouvrages imprimés
20e siècle
Fonds Michel Jouvet (1925-2017)
Rêves
Neurophysiologie
Michel Jouvet, né le 16 novembre 1925 à Lons-le-Saunier et mort le 3 octobre 2017 à Villeurbanne, est un neurobiologiste français.
Il est considéré comme l'un des pionniers de l'hypnologie et l'un des découvreurs du sommeil paradoxal.
Son père médecin les encourage, lui et son frère, à se livrer à des jeux scientifiques à l'âge de 10 ans. Michel Jouvet fait ses études secondaires au lycée Rouget-de-Lisle de Lons-le-Saunier. Désirant devenir marin, la Seconde Guerre mondiale, au cours de laquelle il est sergent, refroidit ses ambitions après le sabordage de la flotte française à Toulon et son évacuation sanitaire.
Après ses études à la faculté de médecine de Lyon, il devient en 1951 Interne des hôpitaux de Lyon et docteur en médecine de la faculté de médecine de Paris en 1956. Parallèlement, il s'est inscrit en faculté de lettres pour préparer un certificat en ethnologie, c'est ainsi qu'il s'est spécialisé en neurobiologie, neurochirurgie et neuropsychiatrie, disciplines qu'il juge indispensable pour devenir ethnologue.
De 1954 à 1955, il travaille avec des équipes de neurophysiologistes (notamment celle du neuroscientifique Horace Winchell Magoun) au Veteran’s Hospital de Long Beach en Californie puis revient en France effectuer sa carrière à l’université Claude-Bernard à Lyon.
Il décrit en 1959 les signes électroencéphalographiques de la mort cérébrale. Il est l'inventeur — par sérendipité, pour reprendre ses propres mots — en 1961 du concept de sommeil paradoxal et l'auteur de la classification du sommeil en ses différents stades, télencephalique (sommeil lent, en raison des ondes lentes qui l'accompagnent sur les tracés d'EEG) et rhombencéphalique (sommeil paradoxal, durant lequel sont enregistrés des mouvements oculaires rapides, d'où son nom en anglais de REM-sleep, REM pour l'anglais : rapid eye movements).
Jouvet propose la théorie spéculative selon laquelle la fonction du rêve serait « une reprogrammation neurologique itérative pour préserver chez l'individu l'hérédité psychologique à la base de sa personnalité ». Ses hypothèses concernant la fonction du rêve invalident, selon lui, celles de Freud ; elles sont en revanche similaires aux théories jungiennes sur la fonction des rêves.
Il résidait à Sainte-Croix dans l'Ain.
Le fonds est constitué de la bibliothèque personnelle de Michel Jouvet.
Jouvet, Michel (1925-2017)
Wikipedia pour la biographie
58 mètres linéaires
multilingue
Ouvrages imprimés
Tirés à part
Cote des ouvrages : JOU