Fonds Louis Athallin (1784-1856)
Cours
<div style="text-align: justify;">Louis Marie Baptiste, baron Atthalin, né à Colmar (Haut-Rhin) le 22 juin 1784 et décédé dans la même ville le 3 septembre 1856, est un général et homme politique français, qui se distingua également comme peintre, lithographe et aquarelliste. Le fonds contient des notes prises aux cours de l'École polytechnique en 1802-1804 (Prony, Berthollet, Guyton, Monge, Hassenfratz, Poisson, Désormes, Durand etc.).</div>
Atthalin, Louis (1784-1856)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a>, Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
6 carnets et 21 petits cahiers
français
Manuscrits
1802-1804
Fonds Pierre Auger (1899-1993)
Physique
<div style="text-align: justify;">Pierre-Victor Auger est un physicien français, né le 14 mai 1899 à Paris 5e, et mort le 24 décembre 1993 à Paris 14e. Fils du professeur de chimie Victor Auger (1864-1949), il a travaillé en physique atomique, physique nucléaire et sur les rayons cosmiques.Élève à l’École normale supérieure et à la faculté des sciences de l'université de Paris de 1919 à 1922, il est lauréat du concours d'agrégation de physique en 1922, et rejoint ensuite le laboratoire de chimie-physique de la faculté des sciences de l'université de Paris, dirigé par Jean Perrin, pour y travailler sur l'effet photoélectrique composé. Il obtient en 1926 devant la faculté des sciences de Paris le doctorat ès sciences physiques. En 1927, il est nommé assistant à la faculté des sciences de Paris ainsi que chef de service adjoint à l'Institut de biologie physico-chimique. Nommé chef de travaux à la faculté en 1934 et secrétaire général des tables annuelles des constantes en 1936, il est nommé maître de conférences de physique à la faculté le premier novembre 1937 (arrêté du 17 novembre 1937, maîtrise déléguée à l'École normale supérieure et précédemment occupée par Georges Bruhat) et chargé jusqu'en 1940 du cours sur les bases expérimentales de la théorie des quanta au sein de la chaire de physique théorique et physique céleste dont Georges Bruhat vient de devenir titulaire à la suite du transfert d'Eugène Bloch à la chaire de physique déléguée à l'École normale supérieure rendue vacante par le départ à la retraite d'Henri Abraham. Il est également directeur-adjoint du laboratoire de chimie-physique.<br />De 1941 à 1943, Pierre Auger est associé de recherches à l'université de Chicago, où il travaille sur les rayons cosmiques, puis, de 1943 à 1944 il est directeur du laboratoire de physique du groupe anglo-canadien de recherche sur l'énergie atomique à Montréal. Alfred Kastler est alors chargé de sa suppléance pour le service de la maîtrise de conférences de physique de l'École normale supérieure.<br />Le 11 juillet 1944, dans une arrière-salle du consulat français d’Ottawa, Pierre Auger, Jules Guéron et Bertrand Goldschmidt informent le général de Gaulle du programme nucléaire secret des Américains, le Projet Manhattan, et des perspectives ouvertes par la fission nucléaire.<br />À la Libération, il est nommé directeur de l’Enseignement supérieur de 1945 à 1948, ce qui lui permet d'introduire la première chaire de génétique à la Sorbonne, confiée à Boris Ephrussi. Il est ensuite nommé professeur titulaire de la nouvelle chaire de physique quantique et relativité à la faculté des sciences de l'université de Paris.<br />Le « processus Auger », par lequel les électrons Auger sont émis par les atomes, porte son nom, bien qu'il ait été découvert par Lise Meitner quelques semaines plus tôt, en 1923. Cette appellation est apparue d'abord à l'étranger, et notamment sous la plume de Lise Meitner elle-même.<br />En 1953, il intègre le conseil culturel du cercle culturel de l'abbaye de Royaumont.<br />Nommé président du comité de la recherche spatiale en 1959, il devient le premier président du CNES en 1962 et le premier directeur général du Conseil européen de recherches spatiales de 1962 à 1967, l'un des ancêtres de l'Agence spatiale européenne et contribua au développement des grandes institutions internationales telles que le CERN ou l'UNESCO. Il est aussi président du Centre international de calcul (Rome). De 1948 à 1959, il dirige à l'UNESCO le département des sciences exactes et naturelles.<br />Il est élu membre de l'Académie des sciences en 1977.<br /><br />Il est l'auteur de deux ouvrages de philosophie scientifique : <em>L'Homme microscopique</em>, publié en 1966 chez Flammarion, et <em>Dialogues avec moi-même</em>, publié en 1987 chez Albin Michel.<br />De plus, il a écrit deux recueils de poèmes : <em>De ça De là</em> et <em>Lucarnes</em>, publiés à La Pensée universelle.<br />Il est enterré au cimetière de Clairefontaine-en-Yvelines aux côtés de son épouse Suzanne décédée en 1988 à 91 ans.</div>
Auger, Pierre (1899-1993)
<div style="text-align: justify;">Académie des sciences ; Éric Brian et Christiane Demeulenaere-Douyère (dir.), <em>Histoire et mémoire de l'Académie des sciences : guide de recherches</em>, Paris, 1996 (ISBN : 2-7430-0148-8) <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Auger" title="wikipedia" target="_blank">Wikipedia</a></div>
29 ml
français
Archives
Fonds Auger
Fonds Nándor Balázs (1926-2003)
Physique
Mathématiques
<div style="text-align: justify;">Nándor Balázs, né en Hongrie, quitte son pays en 1949. Après avoir obtenu un PhD à Amsterdam, il rejoint le laboratoire d'Erwin Schrödinger à Dublin puis devient l'assistant d'Albert Einstein à Princeton. Il a réuni à Stone Brooke University (New York) une bibliothèque personnelle de référence dont quelques monographies consacrées à la physique et aux mathématiques ont été données au CAPHÉS.</div>
Balázs, Nándor (1926-2003)
CAPHÉS
Fonds ouvert à tous.
69 titres
allemand
anglais
Ouvrages imprimés
Tirés à part
BAL
1849-1983
Mélanges de mathématiques et de mécanique
Mécanique
Hydraulique
Géométrie
Contenu du manuscrit : <br />
<ul>
<li>Mémoires et observations sur l'opinion des physiciens qui ont pensé que la vis d'Archimède ou vis hydraulique était en équilibre sur elle-même, par M. Barbot du Plessis</li>
<li>Machine à oscillations croissantes, par le même</li>
<li>Observations astronomiques</li>
<li>Propositions élémentaires de géométrie et de mathématiques</li>
</ul>
Barbot-Duplessis, D.-Ch.
Catalogue des archives et manuscrits <a href="http://aurelia.orleans.fr/archives-et-manuscrit" target="_blank" rel="noreferrer">Aurelia</a> de la médiathèque d'Orléans<a href="http://aurelia.orleans.fr/wrap/ead.pdf?id=FRCGMBPF-452346101-01a.xml&c=FRCGMBPF-452346101-01a.xml_D18012984" target="_blank" rel="noreferrer"><br /></a>
Pour toute information sur la consultation de ce manuscrit, contactez le service Patrimoine :
mediatheque-patrimoine[@]orleans-mediatheque.fr.
75 feuillets
Dimensions : formats différents
français
Manuscrits
Mélanges de mathématiques et de mécanique - Ms 437
XVIIIe siècle
Fonds Adhémar Jean Claude Barré de Saint-Venant (1797-1886)
Génie rural
Mécanique
Ecole Nationale des Ponts et Chaussées
Résistance des matériaux
Géométrie
Adhémar Barré de Saint-Venant, né le 6 fructidor an V (soit le 23 août 1797) au château de Fortoiseau, à Villiers-en-Bière (Seine-et-Marne) et mort le 6 janvier 1886 à Saint-Ouen (Loir-et-Cher), est un ingénieur, physicien et mathématicien français.<br />Fils de Jean Barré de Saint-Venant (1737-1810), officier, colon à l’Île de Saint-Domingue, et de Marie-Thérèse Joséphine Laborie, il entre 2e à l’École polytechnique en 1813, est classé 1er à la fin de la première année, et en sort 6e. Élève de Gay-Lussac, il se passionne d’abord pour la chimie, ce qui le conduit à opter, à sa sortie, pour le service des poudres et salpêtres (qui est devenue l'École nationale supérieure de techniques avancées), où il se signale par la découverte d’un procédé rapide de dosage du chlore. Au bout de sept ans, il obtient de changer de carrière et d’entrer à l’École des ponts et chaussées d’où il sort premier en 1825.<br />Envoyé à Guéret comme ingénieur, il s’y fait remarquer par la construction d’un pont en charpente sur la Creuse, où il fait intervenir pour la première fois la théorie du « glissement » qu’il devait développer plus tard, et qui assoit sa réputation de physicien et de mathématicien.<br />Il est ensuite attaché au service du canal d’Arles, puis à celui du canal du Nivernais, et enfin au service de l’Yonne. Hydraulicien reconnu, il est cependant nommé en 1843 ingénieur en chef et attaché à la voirie (le "pavé") de la ville de Paris, où il contribue à faire accepter le principe des plantations d’arbres le long des grandes avenues. En 1848, il est mis à la retraite par le gouvernement provisoire. Il se voit confier, en 1850, le cours de génie rural de l’Institut agronomique. Cette institution ayant été supprimée en 1852, il rentre dans la vie privée tout en continuant ses travaux scientifiques qui donnent lieu à de nombreuses publications.<br />Bien qu’il n’ait jamais eu d’attaches professionnelles ou personnelles avec la Sologne, il s’intéresse très tôt à cette région alors réputée pour son insalubrité et sa misère, par pure philanthropie. En octobre 1826, il effectue un premier voyage dans la région, puis un second en 1828. Il conçoit alors le projet d’un canal permettant d’amener en Sologne la marne des confins du Berry, et les eaux chargées de marne de la Sauldre en vue de l’irrigation d’une partie de la région. En 1844, au cours d’un troisième voyage, il parfait son enquête et dresse les plans du canal de la Sauldre, qu’il propose vainement au ministère des Travaux publics, mais qui sera, avec d’importantes modifications par rapport au projet initial, effectivement réalisé de 1848 à 1868, sans que personne ne se réfère alors ni à ses travaux, ni à son rôle en faveur de la Sologne.<br />De 1838 à 1849, Adhémar Barré de Saint-Venant présente divers mémoires à l'Académie des sciences, dont deux portant sur la résistance et la flexion des pièces solides, dans lesquelles il expose la fameuse théorie du « glissement » qui lui doit son nom. Parmi les nombreux travaux qui suivirent, deux retiennent l’attention des scientifiques : un mémoire sur la torsion des prismes (1855), et un autre sur la flexion (1856) où il montre les déformations éprouvées par un corps cylindrique ou prismatique (« problème de Saint-Venant »). On lui doit encore de nombreuses publications (<em>La question du choc des barres</em>, 1853-1866 ; <em>La théorie générale de l’élasticité</em>, 1868 ; <em>Du roulis sur mer houleuse</em>, 1871, etc.). Toutes ces études lui valent d’être reçu en 1868 à l’Académie des sciences.<br />À partir de 1871 il publie une série d'articles sur les écoulements dans les cours d'eau qui donneront leur nom aux équations de Saint-Venant. Par la suite il continuera à s'intéresser à la mécanique des fluides.<br />Il est fait chevalier de la Légion d'honneur le 25 avril 1847, puis officier de la Légion d'honneur le 13 août 1865.<br />En 1869, Adhémar Barré de Saint-Venant avait reçu du pape Pie IX le titre de comte. Il est par ailleurs président de la Société archéologique du Vendômois ; à ce titre, il fait paraître en 1863 un <em>Rapport sur le projet de rédaction d’un dictionnaire géographique de l’arrondissement de Vendôme</em>, qui devait servir de point de départ à son fils Raoul (1845-1920) pour son <em>Dictionnaire topographique, historique, biographique, généalogique et héraldique du Vendômois</em> (3 volumes, 1914-1917).<br />Il est enfin le maître de Alfred-Aimé Flamant et de Joseph Boussinesq.<br /><br /><strong>Contenu</strong> : <br />-Notes prises aux cours de l’Ecole polytechnique de 1813 à 1816, dont ceux donnés par GAY-LUSSAC (chimie en 1813 et physique en 1815)<br />-Notes prises aux «leçons de mécanique» données par NAVIER à l’Ecole polytechnique en 1834 et 1837<br />-Institut Agronomique de Versailles (4 boîtes). Mission, organisation, programmes, leçons de génie rural, etc.<br />-Cours donnés à l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées(3 boîtes)<br />-Notes de recherche (mécanique, résistance des matériaux, géométrie, mathématiques, etc.)<br />-notes de lecture, manuscrits non publiés, etc.<br /><br />
Barré de Saint-Venant, Adhémar-Jean-Claude de (1797-1886)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
Informations complémentaires sur Barré de Saint-Venant dans le <a href="http://journals.openedition.org/sabix/597" target="_blank">Bulletin SABIX no 9</a>
52 boîtes
français
Archives
Manuscrits
IX SV
1759-1899
Fonds Jean-Louis Basdevant
Physique quantique
<div style="text-align: justify;">Jean-Louis Basdevant est un physicien français, enseignant, auteur de manuels de physique et de livres d'histoire des sciences. Ancien élève de l'ENS, il a été de 1975 à 2005 professeur de physique à l'École polytechnique, où il a enseigné la physique quantique à des générations d'élèves, et par ailleurs présidé le département de physique. En recherche, ses travaux ont porté sur le problème à trois corps en mécanique quantique, les particules élémentaires, la théorie quantique des champs et l'astrophysique. <br /><br />Contenu : Notes sur amphis de physique</div>
Basdevant, Jean-Louis
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a>, Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
2 boîtes
français
Archives
2003-2004
Fonds Henri et Jean Becquerel
Histoire de la physique
<div style="text-align: justify;">Le fonds se compose d’un cahier d’expériences d’Henri Becquerel, de correspondance reçue par Henri et par Jean Becquerel et de quelques articles scientifiques.</div>
Becquerel, Henri (1852-1908)
Becquerel, Jean (1878-1953)
Inventaire du fonds effectué par Florence Greffe
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/491" target="_blank">Fonds Henri Becquerel de la Bibliothèque de l'École Polytechnique</a>
Archives
52 J
Fonds Henri Becquerel (1852-1908)
<div style="text-align: justify;">Antoine Henri Becquerel (15 décembre 1852, Paris - 25 août 1908, Le Croisic, France) est un physicien français. Il est lauréat de la moitié du prix Nobel de physique de 1903 (partagé avec Marie Curie et son mari Pierre Curie). Son père, Alexandre Edmond Becquerel, et son grand-père, Antoine Becquerel, étaient des physiciens, professeurs au Muséum national d'histoire naturelle de Paris. Il naît même dans ces bâtiments, tout comme son père.</div>
<div style="text-align: justify;">Il effectue ses études au Lycée Louis-le-Grand. En 1872, il entre à l'École polytechnique, puis en 1874 obtient l'école d'application des Ponts et Chaussées.</div>
<div style="text-align: justify;">En 1874, il se marie avec Lucie Jamin, fille de Jules Jamin, un de ses professeurs de physique à l'École Polytechnique, avec qui il a un fils, Jean (1878-1953). En 1890, devenu veuf, il épouse en secondes noces Louise Lorieux (1864-1945), fille d'Edmond Lorieux, inspecteur général des Mines, et nièce du vice-président du Conseil général des ponts et chaussées.</div>
<div style="text-align: justify;">Il obtient son diplôme d'ingénieur en 1877, et s'oriente vers la recherche. Ses premiers travaux concernent l'optique, puis il s'oriente à nouveau à partir de 1875 vers la polarisation. En 1883, il étudie le spectre infrarouge des vapeurs métalliques, avant de se consacrer, en 1886, à l'absorption de la lumière par les cristaux. Il finit par soutenir sa thèse de doctorat en 1888 (Recherches sur l'absorption de la lumière).</div>
<div style="text-align: justify;">L'année suivante, il est élu à l'Académie des sciences, comme son père et son grand-père l'avaient été avant lui. Après la mort de son père en 1892, il poursuit son travail et finit par entrer comme professeur à l'École polytechnique en 1895, où il succède à Alfred Potier.</div>
<div style="text-align: justify;">En 1896, Becquerel découvre la radioactivité par hasard, alors qu'il fait des recherches sur la fluorescence des sels d'uranium. Sur une suggestion d'Henri Poincaré, il cherchait à déterminer si ce phénomène était de même nature que les rayons X. C'est en observant une plaque photographique mise en contact avec le matériau qu'il s'aperçoit qu'elle est impressionnée même lorsque le matériau n'a pas été soumis à la lumière du Soleil : le matériau émet son propre rayonnement sans nécessiter une excitation par de la lumière. Ce rayonnement fut baptisé hyperphosphorescence. Il annonce ses résultats le 2 mars 1896, avec quelques jours d'avance sur les travaux de Silvanus P. Thompson, qui travaillait en parallèle sur le même sujet à Londres. Cette découverte lui vaut la Médaille Rumford en 1900.</div>
<div style="text-align: justify;">En 1897, Marie Curie choisit ce sujet pour sa thèse de doctorat. Elle révèle les propriétés ionisantes de ce rayonnement puis, avec son époux Pierre Curie, découvre les éléments chimiques qui en sont à l'origine. Elle rebaptise cette propriété radioactivité.</div>
<div style="text-align: justify;">En 1903, après la découverte du polonium et du radium par Marie et Pierre Curie, Becquerel reçoit la moitié du prix Nobel de physique (l'autre moitié est remise aux époux Curie) « en reconnaissance des services extraordinaires qu'il a rendus en découvrant la radioactivité spontanée ». En 1908, il devient membre étranger de la Royal Society. Il meurt quelque temps plus tard, au manoir de Pen Castel, propriété que sa belle-famille, les Lorieux, possédait au Croisic.</div>
<div style="text-align: justify;"><br />Contenu :</div>
<div style="text-align: justify;">Manuscrits préparatoires aux cours de physique de l’Ecole polytechnique.</div>
Becquerel, Henri (1852-1908)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a>, Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/88" target="_blank">Fonds Henri et Jean Becquerel de l'Académie des sciences</a>
2 boîtes
français
Archives
III3b (1893-1908)
1893-1908
Fonds Charles Benoist (1902-1992)
radioélectricité
<div style="text-align: justify;"><strong>Biographie : </strong></div>
<div style="text-align: justify;">Né le 1er octobre 1902 à Bray sur Somme, c'est à Noyon que Charles Benoist accède à son premier poste, celui d'aide mécanicien à l'âge de 17 ans pour le compte du service des matériaux du Ministère des régions libérées. Après avoir rempli les fonctions d'ajusteur électricien dans divers ateliers parisiens, dont la succursale française de la firme américaine J. Calvin Brown, il entre en 1922 à l'école pratique de radioélectricité de Paris où il suit l'enseignement du Général Ferrie. Muni du "diplôme de lecteur manipulant à 800 mots à l'heure", Charles Benoist se spécialise dans les montages radioélectriques. Ses compétences dans ce secteur industriel alors nouveau et en pleine expansion le font entrer comme ingénieur dans les laboratoires de Radio L.L. le 1er juin 1926.</div>
<div style="text-align: justify;">Dans cette fonction, il est responsable du montage des prototypes de postes émetteurs-récepteurs de T.S.F. et, de 1928 à 1931, il assure l'équipement et la maintenance de la flotte aérienne de la compagnie de l'Aéropostale. Il s'embarque en mission sur les avions et les hydravions de la Méditerranée et de l'Atlantique sud où il aura l'occasion de rencontrer Antoine de Saint-Exupéry et Jean Mermoz ; en 1929 et 1930 il équipe le latécoère 28 de ce dernier en poste T.S.F. Charles Benoist est appelé sur d'autres théâtres d'opération : il équipe en matériel Radio L.L. le relais P.T.T. du Pic du midi et les services de la Marine à Toulon. <br />Parallèlement à la radioélectricité industrielle, il participe aux débuts de la radiodiffusion commerciale : Radio L.L. ayant fondé un poste privé émettant depuis Paris, il assure le premier reportage en direct d'une étape du Tour de France cycliste vers 1925. Quand Radio L.L. décide en 1926 d'ouvrir un poste de radiodiffusion sur la Côte d'Azur, elle charge Charles Benoist de monter les nouvelles installations au casino de Juan les Pins. Jusqu'en 1967, il sera le second ingénieur de la station qui se transporte sur les hauteurs d'Antibes, aux Plateaux fleuris, à partir de 1935 H assure la maintenance des appareils de Radio L.L. puis après 1931 de Radio-Méditerranée, le nouveau propriétaire, ainsi que la logistique technique des radioreportages. <br />Après la nationalisation du poste en 19M et la cessation des émissions radiodiffusées, Charles Benoist prend part à la mise en place du réseau de la télévision française, tout en restant attaché au poste d'Antibes devenu relais, jusqu'en 1967, date de son départ à la retraite. Il meurt à Antibes le 2 décembre 1992.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong><br />Le Fonds d'archives :</strong></div>
<div style="text-align: justify;"></div>
<div style="text-align: justify;">Fruits et témoins de sa vie professionnelle, les documents du fonds Charles BENOIST se divisent en deux catégories distinctes quoique complémentaires, quant à leur provenance : en effet, si d'une part les documents produits ou acquis par l'ingénieur constituent ce que nous avons appelé les papiers personnels, d'autre part sont aussi présents dans le fonds les papiers rassemblés par ses soins, provenant de l'activité des sociétés de production radioélectriques ou de radiodiffusion qui furent ses employeurs.</div>
<div style="text-align: justify;">Ainsi, après les papiers personnels, on trouvera les parties composant autant de petits fonds d'archives économiques : Radio L.L., Radio Côte d'Azur-Radio Méditerranée et de la radiodiffusion française. Ces divers chapitres trouvent leur articulation commune dans le fait qu'ils sont tous issus d'un même organisme, les services du premier poste de radiodiffusion commerciale privé installé dans le sud est de la France à Antibes : il s'agit de Radio L.L., poste du casino de Juan-les-Pins, monté par Charles BENOIST en 1926, qui deviendra Radio Côte d'Azur-Radio Méditerranée installée aux plateaux fleuris à Antibes à partir de 1935.</div>
<div style="text-align: justify;">S'étendant sur trois mètres linéaires pour sa partie papiers et documents figurés (pour le fonds sonore, se reporter à l'inventaire de la discothèque), le fonds Charles BENOIST est composé de documents de divers types (correspondance, pièces constitutives et du conseil d'administration, cours, plans, schémas radioélectriques, feuilles de programmes de radiodiffusion, scripts, documents comptables et du personnel, bibliothèque et fonds photographique).</div>
Benoist, Charles (1902-1992)
Alain Bottaro, <a href="https://www.departement06.fr/documents/A-votre-service/Culture/archives/recherches-regionales/rr126-1994-03.pdf" target="_blank">Le fonds d'archives Charles Benoist</a>
Voir les <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/752" target="_blank">conditions de communication</a>
3 mètres linéaires
français
Archives
Ouvrages imprimés
Photographies
038J Fonds Charles Benoist
1910-1967
Panopticon Lavoisier
Chimie
Physique
<p>Le Panopticon Lavoisier est une base de données sur l’œuvre et la vie du chimiste français Lavoisier (1743-1794). Elle rassemble des écrits sur la vie et la carrière scientifique de Lavoisier, un catalogue des manuscrits de Lavoisier qui regroupe les 5 000 manuscrits conservés dans les archives de l’Académie des Sciences et qui s’enrichit régulièrement du catalogage de manuscrits de ce dernier conservés dans d’autres bibliothèques et archives. Un catalogue raisonné des instruments de Lavoisier conservé au Musée des Arts et Métiers (environ 500 objets), un catalogue de la bibliothèque de Lavoisier, l'intégralité de l'édition nationale des œuvres complètes de Lavoisier (Oeuvres, Paris, 1862-1893, 6 vols.), la bibliographie des œuvres publiées de Lavoisier, une bibliographie sur Lavoisier, une iconographie de Lavoisier et de sa femme Marie Anne Pierrette, une bibliothèque numérique donnant accès à tous les matériaux imprimés dont une version numérique est disponible, une liste chronologique des principales expériences de Lavoisier et enfin un catalogue de la collection minéralogique de Lavoisier.</p>
Beretta, Marco (Directeur scientifique)
Scotti, Andrea (Responsable base de données)
Nuzzo, Daniele (Responsable interface)
Corsi, Pietro (Responsable numérisation (OCR))
Bange, Raphaël (Responsable traduction française)
Accès libre
Partenaires institutionnels :<br />
<ul>
<li>Museo Galileo ;</li>
<li>Centre de recherche en histoire des sciences et des techniques de la Cité des Sciences et de l'Industrie (Paris).</li>
</ul>
6 000 manuscrits, environ 500 instruments scientifiques et une collection minéralogique d'environ 2 000 échantillons.
Français
Ressources numériques
XVIII-XXe siècles