Il est aussi l’auteur de nombreux articles de vulgarisation de la TSF dans des revues scientifiques internationales, et donnera de très nombreuses conférences sur le sujet.
Bien que n’en étant pas membre, il intervient régulièrement devant l’Académie des sciences, et certaines de ces interventions sont de véritables brevets d’invention. Il reçoit plusieurs prix et récompenses de cette Académie.
Ses travaux lui ont valu d’être appelé à participer au Comité de TSF scientifique, comité dont il fut l’un des membres les plus compétents et écoutés. Il était aussi membre de plusieurs autres sociétés scientifiques à travers le monde.
Il est incontestablement un des inventeurs de la TSF, oublié par l’histoire comme d’autres savants aussi désintéressés que lui, tel Eugène Ducretet ou bien encore Albert Turpain.
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Il est aussi l’auteur de nombreux articles de vulgarisation de la TSF dans des revues scientifiques internationales, et donnera de très nombreuses conférences sur le sujet.
Bien que n’en étant pas membre, il intervient régulièrement devant l’Académie des sciences, et certaines de ces interventions sont de véritables brevets d’invention. Il reçoit plusieurs prix et récompenses de cette Académie.
Ses travaux lui ont valu d’être appelé à participer au Comité de TSF scientifique, comité dont il fut l’un des membres les plus compétents et écoutés. Il était aussi membre de plusieurs autres sociétés scientifiques à travers le monde.
Il est incontestablement un des inventeurs de la TSF, oublié par l’histoire comme d’autres savants aussi désintéressés que lui, tel Eugène Ducretet ou bien encore Albert Turpain.
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La Mission nationale de sauvegarde et de valorisation du patrimoine scientifique et technique contemporain (PATSTEC) a pour objectif de préserver la mémoire des traces matérielles (instruments et documents) et immatérielles (savoir-faire des hommes et des femmes de la recherche), et de susciter des initiatives régionales de sauvegarde et de valorisation de ce patrimoine. Elle rassemble plus de dix-sept partenaires : laboratoires des universités et organismes de recherche publics et industriels, musées et Cnam régionaux et autres institutions nationales.
Les acteurs du réseau Patstec repèrent et trient les instruments selon leur intérêt scientifique, historique et patrimonial. L’ensemble des inventaires est versé dans la base de données nationale, consultable à partir du site de la mission. La mise en valeur de ce patrimoine fait aussi l’objet d’expositions, de manifestations et d’animations locales qui répondent à l’intérêt du public.
La Mission nationale poursuit sa réflexion sur le patrimoine scientifique et technique contemporain en développant des séminaires et des actions de recherches avec des laboratoires. Elle assure aujourd’hui un rôle de conseil et d’expertise, notamment pour la constitution des musées scientifiques et techniques, nouveaux musées encyclopédiques du XXIe siècle, et ouvre de nombreuses collaborations à l’international.
Musée des arts et métiers - le Cnam
Mission nationale Patstec
292 rue Saint-Martin
75141 Paris cedex 03
La Mission nationale de sauvegarde et de valorisation du patrimoine scientifique et technique contemporain (PATSTEC) a pour objectif de préserver la mémoire des traces matérielles (instruments et documents) et immatérielles (savoir-faire des hommes et des femmes de la recherche), et de susciter des initiatives régionales de sauvegarde et de valorisation de ce patrimoine. Elle rassemble plus de dix-sept partenaires : laboratoires des universités et organismes de recherche publics et industriels, musées et Cnam régionaux et autres institutions nationales.
Les acteurs du réseau Patstec repèrent et trient les instruments selon leur intérêt scientifique, historique et patrimonial. L’ensemble des inventaires est versé dans la base de données nationale, consultable à partir du site de la mission. La mise en valeur de ce patrimoine fait aussi l’objet d’expositions, de manifestations et d’animations locales qui répondent à l’intérêt du public.
La Mission nationale poursuit sa réflexion sur le patrimoine scientifique et technique contemporain en développant des séminaires et des actions de recherches avec des laboratoires. Elle assure aujourd’hui un rôle de conseil et d’expertise, notamment pour la constitution des musées scientifiques et techniques, nouveaux musées encyclopédiques du XXIe siècle, et ouvre de nombreuses collaborations à l’international.
Musée des arts et métiers - le Cnam
Mission nationale Patstec
292 rue Saint-Martin
75141 Paris cedex 03
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Henry-Louis Duhamel du Monceau (1700-1782) fit des études scientifiques au jardin du Roy, actuel jardin des plantes, en 1724. Associé-botaniste à l’Académie des sciences en 1739, inspecteur général de la Marine en 1739, membre de l’Académie des sciences de Paris et de la Société royale de Londres, Duhamel du Monceau écrivit en 1745 un Essai sur la conservation des grains et en 1747, un Traité de la fabrique des manœuvres pour les vaisseaux ou l’art de la corderie perfectionnée. On lui doit aussi un Traité de la culture des terres (1750), un Traité général des forêts (1755-1767), un Traité des arbres fruitiers (1768) ainsi qu’un Traité général des pêches et histoire des poissons (1763-1782). Il fonda en 1765, l’École des ingénieurs constructeurs de la Marine (génie maritime).
Son frère aîné, Duhamel de Denainvillers, qui hérita du domaine paternel, s’occupait dans ses terres, de culture d’arbres et d’expériences diverses.
Leur neveu, Auguste-Denis Fougeroux de Bondaroy (1732-1789) parcourut l’Anjou et la Bretagne afin d’étudier l’ardoise. À la mort de son oncle, il devint propriétaire du domaine du Monceau. Il fut membre de l’Académie des sciences et auteur de plusieurs traités et mémoires : Art de tirer des carrières la pierre d’ardoise, de la fendre et de la tailler (1762), Mémoire sur la formation des os (1763), Observations faites sur les côtes de Normandie, avec Tillet (1773). Il avait un frère, Fougeroux de Secval qui fut capitaine de vaisseau et inspecteur d’artillerie de la marine.