Archives de la Société d’émulation des Vosges (fondée en 1825)
Sociétés savantes
Agriculture
Antiquités
Industrie et économie
Météorologie
Catastrophes naturelles
<div style="text-align: justify;">La Société d’émulation des Vosges, fondée à Épinal le 8 janvier 1825 de la fusion de la Société d’agriculture et de la Société des antiquités, est re connue d’utilité publique par ordonnance royale du 28 octobre 1829, statut qu’elle partage aujourd’hu i avec trois autres associations dans le département des Vosges. <br />Le fonds contient des documents administratifs, des dossiers concernant les membres, ainsi que les activités scientifiques de la société.</div>
Société d’émulation des Vosges (fondée en 1825)
Librement communicable
3, 5 ml
française
Archives
8 J
1806-1948
Archives de Marc Foëx, directeur du laboratoire des ultra-réfractaires au CNRS (1932-1983)
Chimie
CNRS
<div style="text-align: justify;">Marc Foëx est né en avril 1910. Après des études d'ingénieur à l'Institut de chimie de Paris (1932), il prépare une thèse jusqu'en 1936 au laboratoire dirigé par le professeur G. Urbain et obtient un doctorat d'État ès sciences physiques en 1939 (« Étude de solubilité et de séparations dans les verres »). Entre 1936 et 1939, il obtient une bourse de la Fondation Arconti Visconti. Sa première publication scientifique date de 1934. Sa première candidature au CNRS est rejetée en 1938 mais il y entre l'année suivante comme attaché de recherches. Il y étudie d'une part la trempe des verres et d'autre part, les conductibilités électriques et les chaleurs spécifiques des métaux des terres rares et de leurs alliages. Par ordre de réquisition, il est mis à la disposition du Centre national de la recherche scientifique appliquée (CNRSA) et affecté depuis le jour de la mobilisation générale en septembre 1939 à l'Institut de chimie, au Laboratoire de chimie minérale sous la direction de M. Champetier. Il se consacre à des études intéressant la Défense nationale demandées par le Centre et par le Comité scientifique des poudres et dirige des essais semi-industriels de nitration du coton par l'acide nitrique en vapeurs. A partir de 1941, il poursuit ses travaux au Laboratoire de recherches des hautes températures dirigé par Félix Trombe. Ses recherches portent à la fois sur les oxydes et sels fondus, les verres et les oxydes réfractaires, et sur l'estérification de la cellulose par les vapeurs d'acides. Son allocation est renouvelée en 1943 et le titre de chargé de recherches lui est accordé. Au cours des années suivantes, il est l'auteur de travaux importants sur la chimie des hautes températures, des terres rares et sur les propriétés physico-chimiques des verres. Il obtient en 1943 le prix Cahouro de l'Institut. A partir de 1946-1947, il consacre également une partie de son travail à l'utilisation du chauffage solaire pour la réalisation des très hautes températures, en collaboration avec Félix Trombe et Charlotte Henry la Blanchetais. Il réalise ses travaux au Laboratoire des hautes températures et des terres rares de l'Institut de chimie de Paris et au Laboratoire de chauffage solaire de l'Observatoire de Paris-Meudon. En janvier 1952, il est nommé sous-directeur du Laboratoire des recherches de l'énergie solaire de Mont-Louis, au sein duquel il avait commencé à travailler en 1949 sous la direction de Félix Trombe. Les premières recherches sur les hautes températures à l'aide de fours solaires ont eu lieu à Meudon à partir de 1946 ; en 1949, une partie de la citadelle de Mont-Louis est mise à disposition du CNRS pour la poursuite de ses recherches. Le Laboratoire de l'énergie solaire est officiellement créé en janvier 1952 ; la construction du Centre d'Odeillo débute en 1960 et la composition du groupe sera modifiée par la suite en 1964. Marc Foëx participe aux travaux de la sous-commission des recherches du comité central d'électrothermie en tant que secrétaire, où différents problèmes de production et d'utilisation des hautes températures intéressant l'industrie sont étudiés ; il participe également à ceux de la commission des hautes températures du CNRS. A la fin des années 1950, il devient secrétaire de la commission des hautes températures et des réfractaires de l'Union internationale de chimie pure et appliquée, présidée par le professeur Chaudron. Il donne des leçons sur les métaux des terres rares à l'École nationale supérieure de chimie (ENSC) et suit de nombreux étudiants et collaborateurs tels que Jean Loriers, Roland Cauville, Roger Chalmin... Marc Foëx prend également part à de nombreux colloques et séminaires (congrès international d'électrothermie, congrès de l'énergie solaire, congrès international de cristallographie...). A partir de 1955-1956, il étend ses recherches avec Félix Trombe à la production de froid à l'aide du rayonnement solaire. Il reçoit la médaille d'argent du CNRS en 1955 et est fait chevalier dans l'ordre des palmes académiques l'année suivante et chevalier de la légion d'honneur en 1957. En 1958, il est promu directeur de recherches et intègre à compter de janvier 1960, le corps des directeurs scientifiques du CNRS. En collaboration avec les spécialistes du Service des poudres, il travaille sur l'influence de l'énergie rayonnante sur l'inflammation des poudres. Son rapport d'activités de 1960-1961 mentionne des recherches sur la pyrométrie et l'analyse thermique des substances traitées aux fours solaires ainsi que des recherches sur les propriétés de quelques solides et composés à base d'oxyde de lanthane, la préparation de produits purs et la purification de substances au moyen de fours solaires, l'étude de surfaces sélectives utilisables pour le chauffage ou le refroidissement des habitations. Par décision du 29 janvier 1964, il est nommé directeur du Laboratoire des ultra-réfractaires nouvellement créé à Odeillo. Le Centre d'Odeillo est en effet scindé en deux laboratoires propres distincts, deux directeurs et un administrateur placé à la tête du groupe. Marc Foëx y met au point des fours à plasmas et des fours sous pression, tout en poursuivant ses recherches sur les hautes températures. Le four solaire de 1000 KW reste rattaché au Laboratoire de l'énergie solaire et mis en service en 1969. Du début des années 1950 jusqu'aux années 1970, Marc Foëx dépose en son nom ou en collaboration de nombreux brevets d'invention. Il est admis à faire valoir ses droits à la retraite en avril 1978 et reçoit le titre de directeur de recherches titulaire honoraire en janvier 1979.<br />Les dossiers relatifs à la carrière personnelle de Marc Foëx ont fait l'objet d'une première partie. On y retrouve notamment les éléments relatifs à ses propres travaux de recherches et aux nombreux brevets d'invention, déposés seul ou en collaboration avec d'autres chercheurs. Y ont été ajoutées ses publications, ainsi que la documentation conséquente qu'il a reçue et réunie. La seconde partie de ce classement porte sur les activités exercées par Marc Foëx dans le cadre de ses activités de directeur du Laboratoire des ultra-réfractaires. Les documents relatifs aux instances du laboratoire, les rapports d'activité de celui-ci, l'encadrement du personnel, ainsi que le suivi d'étudiants, la programmation scientifique du laboratoire, sa correspondance officielle, y sont conservés. La dernière partie s'attache enfin à réunir les archives propres aux relations entretenues par Marc Foëx, tant à titre de chercheur que de directeur d'unité. Ces collaborations scientifiques se sont exercées autant en interne au CNRS qu'en externe avec des organismes extérieurs, nationaux comme internationaux, publics comme privés.</div>
Foëx, Marc (1910-1991)
FranceArchives
Communication : Documents conservés sur le site de Pierrefitte-sur-Seine
17,67 mètres linéaires
français
Archives
1932-1983
Archives de Pierre Rambaud (1850-1936)
Pharmacie
Radiographie
Rayons X
Pierre Rambaud (3 novembre 1850- 28 octobre 1936) est né au Bourg-sous-la-Roche en Vendée. En 1870, au moment de la guerre franco-prussienne, il obtient son baccalauréat en lettres et en sciences à la Roche-sur-Yon. Puis, il s'engage à la défense de Paris. Après la guerre, il se lance dans des études de pharmacie. En 1876, il est reçu au concours d'interne des hôpitaux de Paris. En 1877, il décroche son diplôme de pharmacien. Il achète une officine à Poitiers et exerce sa profession de pharmacien. En 1896, il devient pharmacien en chef des hôpitaux de Poitiers. En 1898, il met en place le 1er appareil de radiologie à l'Hôtel-Dieu et par la suite, en 1899, il accepte d'occuper la fonction de directeur de radiologie de l'Hôtel-Dieu. Il développe également un intérêt pour la photographie. Il a été secrétaire du Conseil d'hygiène de la ville de Poitiers et du département de la Vienne, membre du jury des inspections des pharmacies, fondateur et président honoraire du syndicat des Pharmaciens et membre de la Société de Pharmacie de Paris. En 1901, il est admis parmi les membres de la Société des Antiquaires de l'Ouest . Il a par ailleurs été trois fois le président de cette société savante. Il est l'auteur de 67 publications, dont L'assistance publique à Poitiers jusqu'à l'an V et La Pharmacie en Poitou . Ces articles traitent principalement de l'histoire de la pharmacie et de la médecine en Poitou. Les revues qui ont reçu sa contribution sont : le Poitou médical , la Revue du Bas-Poitou , les Mémoires de la Société des Antiquaires de l'Ouest , le Bulletin de la Société des Antiquaires de l'Ouest , la revue hollandaise : Janus , le Bulletin de la société française d'Histoire de la Médecine , le Bulletin de la société d'Histoire de la Pharmacie et La France médicale <br />Le nom de Pierre Rambaud est lié à la famille Morichau-Beauchant car sa fille, Edith, a épousé en 1904 le docteur René Morichau-Beauchant (1873-1952). René Morichau-Beauchant est le premier médecin français à rejoindre le mouvement freudien, dès 1910. De nombreux médecins de Poitiers appartiennent à cette famille.<br /><br />Legs de la famille Morichau-Beauchant : correspondance, contrat (juillet 2001). Activités de Pierre Rambaud en qualité de photographe et de directeur de radiologie de l'Hôtel-Dieu : 11 clichés, originaux ( ?) ou copies, détaillés ci-dessous, [fin XIXe siècle - début XXe siècle]. Activités d'érudit : liste des membres de la société française d'histoire de la médecine (janvier 1922) ; bulletin de la fédération du Centre-Ouest de l'association générale des syndicats pharmaceutiques de France (octobre 1922) ; livret de présentation de l'Université de Poitiers (s.d.). Lettre des internes de l'Hôtel-Dieu à René Moricheau-Beauchamp, directeur de l'école (1806-1832)
Rambaud, Pierre (1850-1936)
<a href="http://archivesnumerisees.cg86.fr/console/ir_ead_visu.php?PHPSID=d7a6511f9ec1189d517e7f688eef9189&ir=12560#" target="_blank" rel="noopener">Inventaire en ligne</a>
La photographie n°1 est incommunicable du fait de son état matériel
Français
Ouvrages imprimés
Photographies
2558 W 44
1898-1918
Archives Delsarte & Bourbaki
Bourbaki, Algèbre, Topologie, Ensembles, Variétés, Intégration, Géométrie algébrique, Algèbre commutative
<h5><strong>Les liens entre Jean Delsarte et l’IECL</strong></h5>
<br />Jean Delsarte (1903-1968) est une personnalité importante dans l’histoire des mathématiques à Nancy :<br /><br />
<ul>
<li>Il fut nommé chargé de cours à la faculté des sciences de Nancy en 1927, maître de conférence en 1928, et enfin professeur d’Analyse supérieure en octobre 1936. A l’exception des années 1962 à 1965 où il fut nommé directeur de la maison franco-japonaise, il fit toute sa carrière à Nancy jusqu’à sa mort en 1968.</li>
<li>Il fut un des fondateurs de Bourbaki, et en tint longtemps le secrétariat.</li>
<li>Il participa en 1945 à la commission Langevin-Wallon de réforme de l’enseignement.</li>
<li>Il fit de Nancy un centre important de mathématiques, organisant en 1947, 1956 et 1962 trois colloques internationaux, et faisant venir comme enseignants ou comme étudiants de nombreux mathématiciens.</li>
<li><strong>Il fut également le créateur de l’Institut Elie Cartan en 1953, et du centre de troisième cycle de mathématiques pures de Nancy en 1954.</strong></li>
</ul>
Lire aussi Eguether Gérard, « Jean Delsarte », <a href="https://iecl.univ-lorraine.fr/files/2021/04/Un_siecle_de_mathematiques_a_Nancy_1903_2003_IECL.pdf" target="_blank" rel="noopener">1903-2003 Un siècle de mathématiques à Nancy : numéro spécial de la revue Institut Elie Cartan, Nancy, 2003. PDF</a><br /><br /><a href="https://iecl.univ-lorraine.fr/files/2021/04/DELSARTE_biographie.pdf" target="_blank" rel="noopener">Biographie de Jean Delsarte</a> <br />
<h5><strong>La présence du fonds Delsarte à la bibliothèque de l’IECL</strong></h5>
<ul>
<li>L’Institut Elie Cartan disposait, au moment de son déménagement en 1995, d’archives diverses qui sommeillaient dans un placard poussiéreux de l’ancienne bibliothèque.</li>
<li>Il s’agissait de textes liés à Bourbaki, et de corrigés de problèmes d’agrégation. Par ailleurs, dans la salle Elie Cartan, se trouvaient des classeurs contenant des photocopies de textes mathématiques attribués à Jean Delsarte. Tout cela partit s’entasser dans la réserve de la nouvelle bibliothèque.</li>
<li>Un peu après l’installation dans nos nouveaux locaux, le laboratoire put récupérer auprès de la fille de Jean Delsarte les originaux des textes photocopiés, ainsi que des ouvrages mathématiques de la bibliothèque personnelle de Jean Delsarte, et quelques autres documents administratifs ou personnels, concernant les activités de Jean Delsarte.</li>
<li>Une liste de ces documents fut établie, informatisée et mise en ligne par Gérard Eguether sur sa page web personnelle. Les archives furent classées par Monsieur Eguether, et sont désormais conservées à la bibliothèque de l’IECL de Nancy.</li>
<li>En avril 2021, les listes, inventaires et documents écrits par Gérard Eguether ont été renommés pour plus de praticité et ont été mis en ligne sur le nouveau site web de l’IECL.</li>
</ul>
<br />Cette page a été écrite à partir du document rédigé par Gérard Eguether <a href="https://iecl.univ-lorraine.fr/files/2021/04/DELSARTE_historique_des_archives_conservees_a_l_IECL_2011-1.pdf"><strong>DELSARTE historique des archives conservées à l’IECL PDF</strong></a>
Delsarte, Jean (1903-1968)
Présentation du fonds sur le <a href="https://iecl.univ-lorraine.fr/l-iecl/bibliotheque/archives-delsarte-bourbaki/" target="_blank" rel="noopener">site de la bibliothèque</a>
La consultation de ce fonds est possible sur place et sur rendez-vous à l’IECL de Nancy. <br />Merci de <a href="https://iecl.univ-lorraine.fr/l-iecl/bibliotheque/" target="_blank" rel="noopener">prendre contact avec les bibliothécaires ici</a>.
français
Archives
Archives départementales d'Indre-et-Loire
Crées à la Révolution, les Archives départementales ont pour mission de collecter, classer, conserver et communiquer les archives publiques produites dans le département (Préfecture, Conseil départemental, tribunaux, établissements scolaires…) et des fonds privés qui leur sont déposés ou donnés.
Archives départementales d'Indre-et-Loire
Accès libre sous réserve des conditions de don ou de dépôt pour les fonds privés et de l'état matériel des documents
Archives
Ouvrages imprimés
Revues
Photographies
Ressources audiovisuelles
Ressources numériques
Archives départementales de l'Ain
Archives départementales de l'Ain
<a href="http://www.archives.ain.fr/" target="_blank">http://www.archives.ain.fr/</a>
Conditions d'accès :
La salle de lecture des Archives départementales est accessible gratuitement, après inscription, sur présentation d'une pièce d'identité.
Archives
Archives départementales de l'Ardèche
<div style="text-align: justify;">Les archives départementales de l'Ardèche collectent, classent, conservent, communiquent et valorisent tous les documents d'origine publique et privée du département.</div>
Archives départementales de l'Aube
Archives
<div style="text-align: justify;">Le département de l’Aube est né avec la Révolution française, en 1790 et les Archives départementales ont été créées en 1796, avec pour but de recueillir les archives des institutions de l’Ancien régime. Un dépôt d’archives est institué dans chaque chef-lieu de département. Un décret datant de 1794 définit leurs missions comme suit : collecter, classer, conserver, communiquer les documents qui leur sont confiés. Tout citoyen a le droit d’en obtenir consultation sur place, dans la limite des horaires imposés par chaque dépôt. La communication des documents doit être gratuite. Ces principes fondateurs restent en vigueur aujourd’hui et régissent l’activité des services d’archives en France..</div>
Archives départementales de l'Aude
<div style="text-align: justify;">Situé à Carcassonne, sur le plateau de Grazailles, à proximité du Conseil départemental de l’Aude, le bâtiment des Archives départementales offre la silhouette pure d’un quadrilatère de soixante mètres de côté.</div>
<div style="text-align: justify;">Les espaces intérieurs du bâtiment sont répartis selon la triple logique de sa vocation (classement, conservation, communication) afin de transmettre ce patrimoine aux générations futures et de le rendre accessible au public dans les meilleures conditions.</div>
<div style="text-align: justify;">Les documents sont tout d’abord réceptionnés, triés et classés dans un espace de 180 m2 puis pour cette fonction essentielle qu’est la conservation quelques 25 kms linéaires de rayonnages, répartis en vingt-deux magasins, sont disponibles.</div>
<div style="text-align: justify;">La régulation de la température et de l’hygrométrie y est garantie par des aménagements et des équipements spécifiques tels que les revêtements extérieurs en bois composite, le filtrage de l’air et le système de régulation climatique perfectionnée.</div>
<div style="text-align: justify;">Quant aux vastes espaces de communication à l’attention du public, ils ont été conçus pour susciter un sentiment de quiétude et favoriser la qualité de l’attention indispensable à la recherche. Grâce à sa grande baie vitrée ouvrant sur le nord, la salle de lecture bénéficie d’une vue splendide sur la Montagne Noire et d’une grande luminosité. Qu’il s’agisse du hall d’accueil, des locaux de recherche, des salles pédagogiques, les volumes de plain-pied destinés à l’accueil du public sont d’une grande accessibilité. Les matériaux choisis contribuent à renforcer l’impression générale de sérénité qui se dégage de ces lieux agréablement contrastés. Ce sont le béton armé pour la structure et l’enveloppe, la vêture de bois composite pour les magasins de stockage, le grès de Carcassonne pour les parements intérieurs et extérieurs, le verre y est un élément clé du jeu architectural entre la lumière, les lignes, les volumes et la matière. <br />Quelles que soient leurs finalités fonctionnelles ou esthétiques, tous les équipements ou aménagements des Archives départementales de l’Aude ont été réalisées dans le respect des normes de conservation les plus strictes et pour le plus grand confort des usagers.</div>
Archives départementales de l'Aude
<a href="http://audealaculture.fr/archives" title="Archives de l'Aude" target="_blank" rel="noopener">Site web des Archives départementales de l'Aude</a>
<div style="text-align: justify;">Pour accéder à la salle de lecture, l'inscription est obligatoire : sur présentation d'une pièce d'identité, une carte de lecteur est délivrée à l'accueil. Le chercheur doit se conformer au règlement de la salle de lecture (<span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; color: #1f497d;">arrêté du président du Conseil départemental en date du 12 décembre 2018</span>).</div>
français
Archives
Archives départementales de l'Eure
Archives
<div style="text-align: justify;">Créées en 1796, et prenant la suite des archives du Directoire établies en 1791, les archives départementales ont été installées dans les locaux du directoire du département, puis de la préfecture. En 1859, elles s'installent dans un bâtiment spécialement construit pour elles, à proximité immédiate de la préfecture. En 1939, elles traversent la rue pour gagner leur bâtiment actuel, construit par l'architecte départemental Robert Victor Hugot sur l'emplacement de l'ancienne prison (séminaire des Eudistes détruit en 1924). Le bâtiment a été agrandi en 1965 (doublement de la capacité de stockage), puis restructuré et agrandi en 1991.</div>
La salle de lecture des Archives départementales est accessible gratuitement, après inscription, sur présentation d'une pièce d'identité.
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