<span class="pl-dv-unittitle">Fonds Eugène <span class="pl-hilite">Revelière (1822-1892)<br /></span></span>
Botanique
Zoologie
<div align="justify">Naturaliste, issu d'une famille de notables - son grand-père fut général de division sous le Premier Empire et gouverneur de Hollande - Eugène <span class="pl-hilite">Revelière</span> naquit à Blain en 1822.<br />Après de solides études à Angers, le jeune Eugène voit rapidement sa santé s'altérer. Atteint de la tuberculose, il s'établit dès 1856 à Porto-Vecchio en Corse où il se consacre à ses recherches en sciences naturelles et notamment aux insectes de l'île.<br />A nouveau affecté par la maladie dès 1880, il s'éteint à Porto-Vecchio à l'âge de 70 ans en 1892.<br /><br /></div>
<div align="justify">Le fonds Eugène <span class="pl-hilite">Revelière</span> se compose essentiellement de la correspondance entretenue par Eugène <span class="pl-hilite">Revelière</span> et par son frère Jules, receveur de l'Enregistrement à Angers, qui gérait ses biens et lui adressait ses revenus. Elle décrit la faune, la flore et le climat du Sud de la Corse ainsi que parfois, les mœurs de ses habitants.</div>
<div align="justify">On notera aussi la présence de cartes et plans de la villes de Paris et des environs datés de 1871 (Eugène participa au siège de Paris), ainsi que de quelques papiers concernant les autres membres de la famille.</div>
Revelière, Eugène (1822-1892)
<a href="https://archives.loire-atlantique.fr/jcms/chercher/inventaires-des-archives-fr-c_5561" target="_blank" rel="noopener">Catalogue des archives départementales de Loire Atlantique</a>
Communicable sur place
Métrage linéaire : 0,50 ml
Français
Archives
111 J - Fonds de la famille Revelière.
1855-1900
Archives départementales de Loire-Atlantique
Archives départementales de Loire-Atlantique
<a href="https://archives.loire-atlantique.fr/jcms/accueil-fr-j_6" target="_blank" rel="noopener">site internet des Archives départementales de Loire-Atlantique</a>
L'accès aux espaces de consultation est gratuit. La consultation des archives se fait sous réserve de l’acceptation du règlement des salles de lecture.
français
Archives
Fonds Ange Guépin (1805-1873)
Ophtalmologie
Chimie industrielle
<div style="text-align: justify;"><strong>Biographie</strong><br /><br />Ange Marie François Guépin nait le 30 août 1805 à Pontivy (Morbihan). Il est le fils de Victor Guépin, avocat. Ce dernier est l'un des premiers membres du comité révolutionnaire de Pontivy. Nommé procureur de la commune en 1790, il la dirige jusqu'en 1794. Ange Guépin étudie au collège de sa ville natale, où il rencontre le futur romancier Émile Souvestre.<br />En 1824, il se présente au concours de l'école Polytechnique. En raison des ses opinions politiques jugées trop libérales, il est rayé de la liste des candidats reçus. Il se tourne alors vers la médecine et les sciences.<br />A partir de septembre 1824, Ange Guépin suit des cours à la faculté de médecine de Paris et devient préparateur pour les cours de chimie médicale du professeur Orfila. Pendant cette période et grâce au monde de la presse, il est en contact avec les milieux républicains et saint-simoniens de Paris. Après ses études, Ange Guépin revient à Nantes et ouvre un cabinet médical, place du Pilori. Il pratique d'abord la médecine générale puis se tourne vers l'ophtalmologie. Il se lie d'amitié avec Camille Mellinet, imprimeur et éditeur à Nantes, fondateur de la revue <span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Le lycée armoricain</span></span> et responsable du journal monarchiste <span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Le Breton</span></span>. Il publie des articles dans le journal littéraire et scientifique Le globe fondé en 1824.Ange Guépin est également engagé dans la vie politique locale : il est conseiller municipal de Nantes (1846) et conseiller général de Loire-Inférieure - aujourd'hui Loire-Atlantique (1845 et 1864). Il est également nommé commissaire du gouvernement provisoire pendant la deuxième République et préfet en 1870. Parallèlement à ces différentes activités, il est très actif dans les milieux scientifiques et intellectuels, notamment celui de la presse.<br />Marié trois fois, il a deux enfants : Ange Victor, né en 1831, et Marie, née en 1838. Il décède le 21 mai 1873 à Nantes.<br />
<p class="pl-ead-p"><br /><strong>Présentation du contenu :</strong> <br /><br />Afin de faciliter les recherches, les documents entrés aux Archives départementales en 1955, 1956 et 2012 ont été réunis pour faire l'objet d'un seul inventaire. Le fonds conservé reste malgré tout très lacunaire. Il concerne les activités professionnelles de Guépin, ses activités publiques et politiques, ainsi que ses activités intellectuelles.</p>
</div>
Guépin, Ange (1805-1873)
<a href="https://archives.loire-atlantique.fr/jcms/chercher/inventaires-des-archives/cadre-de-classement-fr-p1_8559" target="_blank" rel="noopener">Cadre de classement des Archives départementales de Loire-Atlantique</a>
Communicable
89 articles, 17 boîtes
Métrage linéaire : 2,10 ml
français
Archives
019 J - Fonds Ange Guépin
1663-1893
Fonds de l'association Entreprise et Patrimoine industriel
Patrimoine industriel
<div style="text-align: justify;"><strong>Histoire : </strong><br /><br /></div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">L'association est issue des réflexions et actions menées au sein de la Jeune Chambre économique de Nantes ; les expositions "Suifs, savons, bougies" de 1993 et "Créations et innovations nantaises" de 1994 présentées au Palais de la Bourse à Nantes ont mis en évidence l'intérêt du public pour l'histoire industrielle et pointé le manque de structure permettant de conserver et valoriser le patrimoine industriel.</div>
<p class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Afin de poursuivre ces initiatives et d'oeuvrer de façon durable en faveur du patrimoine industriel (au sens large : bâtiments, mais aussi savoir-faire...), l'association Entreprise et Patrimoine industriel (E+PI) est créée en janvier 1995.</p>
<strong>Présentation du contenu :<br /></strong><br />
<div style="text-align: justify;">Le fonds se compose de documents produits par l'association E+PI, mais aussi de documents collectés par l'association concernant les famillles d'industriels nantais et les entreprises qu'ils ont dirigés.</div>
Association Entreprise et Patrimoine industriel (Nantes)
<a href="https://archives.loire-atlantique.fr/jcms/chercher/inventaires-des-archives/cadre-de-classement-fr-p1_8559" target="_blank" rel="noopener">Cadre de classement des Archives départementales de Loire-Atlantique</a>
Communicable
50 articles soit 1,90 mètres linéaires
français
Archives
Ouvrages imprimés
265 J - Fonds de l'association Entreprise et Patrimoine industriel
1808-2008
Fonds de la corporation des apothicaires
Pharmacie
Enseignement professionnel
<div style="text-align: justify;"><strong>Histoire :</strong><br /><br /></div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Si l'origine de l'art d'« apothicairerie » se perd dans la nuit des temps, la Corporation des Apothicaires de Nantes se voit octroyer des statuts dans la deuxième moitié du XVe siècle par François II, duc de Bretagne, qui donnent notamment à ses membres le monopole du commerce des remèdes.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Dès sa création, la corporation tient tout à la fois le rôle de collège d'enseignement, de jury de réception pour les grades (apprenti, serviteur pharmacien et maître apothicaire juré de la ville de Nantes), de conseil disciplinaire et de société de défense de ses membres sous le patronage de Sainte Madeleine.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Le renouvellement des lettres patentes et la confirmation des statuts de la corporation par les rois Charles IX en 1563, Henri IV en 1598, Louis XIII en 1619 et enfin, Louis XIV en 1672, révèle cependant l'impuissance des apothicaires à faire respecter le monopole que leur disputeront toujours droguistes, épiciers et chirurgiens.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Par ailleurs, en 1687, la ville met à la disposition de la corporation à l'emplacement appelé la Butte sur la motte Saint-Nicolas (actuel emplacement de la cour du lycée Jules Verne), un terrain pour former un « jardin des simples » qui devient Jardin royal par une ordonnance de 1726, avec obligation pour les capitaines au long cours d'y apporter des graines et des plantes étrangères et devoir pour les apothicaires d'envoyer à Paris celles qui ne s'y trouvent déjà. La corporation y fera ériger successivement une salle commune et un laboratoire. Malgré tout, la corporation connaît des difficultés financières certaines tout au long du XVIIIe siècle surtout du fait des impôts royaux.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">A la Révolution, les interprétations de la loi sur les patentes et le décret Le Chapelier conduisent à de nouveaux abus des droguistes et des épiciers alors que le jardin est vendu comme bien national en l'an V avant d'être finalement restitué. A la corporation se substitue tout d'abord la Société des pharmaciens, puis un arrêté du préfet Letourneur érige celle-ci en Collège de pharmacie. Néanmoins, en 1808, une loi abolie les collèges de pharmacie locaux et seules les trois écoles de pharmacie de Paris, de Montpellier et de Strasbourg décernent alors le diplôme de pharmacien.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Le collège prend le nom de Société des pharmaciens de Nantes, puis de Société des pharmaciens de l'Ouest en 1845 et de Société des pharmaciens de la Loire-Inférieure en 1866. Enfin, en 1877, après un long procès, la municipalité de Nantes enlève à une société moribonde l'usage de son jardin.<br /><br /><strong>Présentation du contenu :</strong></div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;"><br />Le fonds de la Corporation des apothicaires se divise en deux parties distinctes suivant la période historique : avant et après la Révolution française.
<p class="pl-ead-p">La partie relative à la corporation d'Ancien Régime rassemble les statuts et les privilèges accordés, les registre de délibérations, les admissions au sein de la corporation, les comptes des syndicats et des dossiers de contentieux (souvent relatifs à la vente illicite de remèdes).</p>
<p class="pl-ead-p">La partie concernant le collège et les sociétés des pharmaciens reflète la nouvelle organisation après la Révolution française. Le chercheur y trouvera notamment les délibérations, des documents relatifs au personnel et des comptes de gestion, ainsi que de la correspondance générale reçue.</p>
</div>
Corporation des apothicaires
<a href="https://archives.loire-atlantique.fr/jcms/chercher/inventaires-des-archives/cadre-de-classement-fr-p1_8559" target="_blank" rel="noopener">Cadre de classement des Archives départementales de Loire-Atlantique</a>
Communicable.
Reproduction libre sauf impossibilité matérielle
1,50 mètres linéaires
Archives
105 J - Fonds de la corporation des apothicaires
1598-1879
Fonds de la SEITA (Nantes)
Tabac
Patrimoine industriel
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;"><strong>Histoire :</strong> <br /><br />Les premières cigarettes françaises furent fabriquées en 1845 dans la manufacture de Tabac du Gros-Caillou, située à l'angle du quai d'Orsay et de la rue Surcouf, à Paris. C'est ici que s'implante en 1926 le SEITA (Service d'Exploitation Industrielle des Tabacs et des Allumettes), créé par Poincaré et destiné à remplir la Caisse Autonome d'Amortissement de la Dette publique. Pour se faire, la gestion du monopole des tabacs (1926) puis celle du monopole des allumettes (1935) lui sont successivement attribuées.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Responsable de la distribution des célèbres cigarettes « Gitanes » et « Gauloises », le SEITA est transformé en 1959 un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) avant de perdre le monopole de la culture du tabac en 1970 avec l'abolition des barrières douanières au sein du Marché Commun. En 1976, c'est le monopole d'importation et de commercialisation en gros des tabacs manufacturés en provenance des Etats membres de la CEE qui à son tour est supprimé. Les fabricants étrangers confient dorénavant la distribution de leur marque au SEITA dans le cadre de contrats.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Enfin, en 1980, le SEITA devient une société nationale (la SEITA) dont l'actionnaire unique est l'Etat avant d'être finalement privatisé en 1995. Fin 2000, la fusion entre la SEITA et l'espagnol Tabacalera donne naissance au Groupe Altadis, leader européen sur le marché des cigarettes et leader mondial du cigare.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">A Nantes, l'ancienne Manufacture des tabacs témoigne de l'ancrage de cette filière dans l'histoire économique locale. Succédant à des ateliers provisoires installés en 1857, la manufacture de Nantes est construite boulevard Stalingrad à Nantes, entre 1861 et 1865, par l'architecte Joseph Chenantais sur le modèle des manufactures Rolland pour répondre à l'accroissement de la consommation des cigares en France.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Dans l'histoire de la SEITA, l'établissement se distingue pour avoir expérimenté et fondé de nombreuses œuvres sociales : une société de secours mutuels en 1858, une crèche en 1861 ou encore un bureau d'Epargne en 1876. La qualité de ces œuvres incitera d'ailleurs l'Administration des Tabacs à ouvrir des services analogues dans la plupart des autres établissements manufacturiers.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Elle ferme néanmoins définitivement ses portes en 1974, un an après l'ouverture d'une nouvelle usine implantée sur la commune de Carquefou. Ses archives sont déposées aux Archives départementales avant une campagne de réhabilitation menée par la ville de Nantes au début des années 1980. L'ancienne manufacture est alors transformée en structure mêlant un pôle municipal, des services de proximité ainsi que des équipements répondant à des besoins municipaux plus précis tels qu'une maison des associations ou une auberge de jeunesse.<br /><br /><strong>Présentation du contenu :</strong><br /><br />Les archives d'entreprise de la Manufacture des Tabacs de Nantes rassemblent notamment les registres de conférence du personnel supérieur, sorte de carnet de bord de l'entreprise, particulièrement digne d'intérêt du point de vue historique. On notera aussi la présence des dossiers "domaines" permettant de suivre les étapes de la construction de la manufacture ainsi que de très riches archives du personnel (registres matricule et correspondance).</div>
Service d'Exploitation Industrielle du Tabac et des Allumettes. Manufacture des Tabacs de Nantes
<a href="https://archives.loire-atlantique.fr/jcms/chercher/inventaires-des-archives/cadre-de-classement-fr-p1_8559" target="_blank" rel="noopener">Cadre de classement des Archives départementales de Loire-Atlantique</a>
Non communicable.
Reproduction soumise à autorisation du déposant
9,60 mètres linéaires
français
Archives
5 ET et 29 ET - Fonds de la SEITA, 1857-1973
1857-1973
Fonds de la Société anonyme des Chantiers nantais de constructions
Patrimoine industriel
Construction navale
<strong>Histoire :</strong> <br /><br />
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Le 27 avril 1899, plusieurs personnalités de l'armement nantais, parmi lesquelles Henri Le Cour Grandmaison, Eugène Pergeline, directeur de la Société des Voiliers nantais, ou encore Prosper Sevestre s'associent pour fonder la Société anonyme des Chantiers nantais de constructions maritimes. Située à Chantenay, près des chantiers Dubigeon, l'entreprise se spécialise dans la construction de grands voiliers destinés au commerce maritime. La direction de la société est confiée à Louis Tuauden, ancien ingénieur des Chantiers de la Loire. Un an à peine après sa création, l'<span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Amiral-Courbet</span></span>, premier voilier construit par les Chantiers nantais, sort des cales de Chantenay le 25 avril 1900.<br /><br /></div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Néanmoins, l'activité florissante est de courte durée, puisque dès 1902 l'entreprise se heurte aux premières difficultés, conséquences, entre autres, de la loi du 7 avril 1902 sur la marine marchande qui, en vue favoriser les navires à vapeur, diminue notablement les primes à la construction instaurées en 1893 pour les voiliers. Les Chantiers nantais poursuivent et réorientent leurs activités en construisant notamment quatre cargos vapeurs (<span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Belle-Île</span></span>, <span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Charles Le Cour</span></span>, <span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Longwy</span></span> et <span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Trignac</span></span>) pour le compte d'une société d'armement nouvellement créée, les Chargeurs de l'Ouest, dont les fondateurs des Chantiers nantais sont, pour partie, actionnaires.</div>
<p class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Néanmoins, après 1902, les difficultés s'accumulent – procès avec la société d'armement Celtique maritime concernant le navire <span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Armen</span></span>, dernier voilier sorti des Chantiers en 1902, crise des commandes – contraignant les administrateurs à réduire puis cesser complètement l'activité en 1904. Au total, en deux années effectives d'existence, les Chantiers chantenaysiens auront construit 33 voiliers et 4 cargos.</p>
<strong>Présentation du contenu :</strong> <br /><br />Le fonds contient, pour l'essentiel, les dossiers de commandes de quelques-uns des voiliers et des cargos construits par l'entreprise. Composés de plans, devis, fiches de spécifications, ils permettent ainsi d'appréhender les principales étapes de construction des navires. Quelques documents renseignent également sur la vie de l'entreprise, notamment les comptes rendus d'assemblées générales qui témoignent des difficultés grandissantes de l'entreprise dans ses dernières années d'existence. Enfin, quelques dossiers concernant les équipements et l'outillage complètent le fonds d'archives. On notera également la présence de quelques plans, en particulier de chalutier, chaloupe, canot, <span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">etc. </span></span>, dont la provenance n'ayant pu être déterminée ont été regroupés sous l'intitulé « Autres constructions et documentation ».
Société anonyme des Chantiers nantais de constructions maritimes
<a href="https://archives.loire-atlantique.fr/jcms/chercher/inventaires-des-archives/cadre-de-classement-fr-p1_8559" target="_blank" rel="noopener">Cadre de classement des Archives départementales de Loire-Atlantique</a>
Nombre d'éléments : 26 boîtes
Métrage linéaire : 3,29 ml
français
Archives
043 J - Fonds de la Société anonyme des Chantiers nantais de constructions maritimes.
1895-1911
Fonds Édouard Guéguen (1885-1974)
Pharmacie
Recherche historique
Recherche scientifique
Patrimoine ethnologique
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;"><strong>Biographie :</strong> <br /><br />Edouard Guéguen (1885-1974), né à Saint-Nazaire, élève à la faculté de médecine de Paris, devient spécialiste des algues océaniques et se distingue bientôt à ce titre dans le milieu des naturalistes marins. Revenu en Loire-Inférieure, à la tête du laboratoire marin du Croisic, il enseigne à l'école de Pharmacie de Nantes comme professeur de Botanique.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;"></div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Indépendamment de sa réussite professionnelle, Edouard s'illustre aussi comme patriote quand, au cours de la seconde guerre mondiale, il est otage volontaire près l'occupant allemand d'août 1940 à mars 1942 comme responsable de l'ordre public à Nantes.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;"></div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Historien éclairé, il est membre de la société polymathique du Morbihan et fait notamment paraître de nombreux articles sur l'histoire de la médecine en Bretagne. Il intègre en outre les cercles régionalistes et fonde, avec le compositeur Paul Ladmirault, le cercle celtique de la « Chorale Kan Ar Vro » à Nantes dans le souci de défendre, de conserver et de promouvoir la culture bretonne.<br /><br /><strong>Présentation du contenu :</strong> <br /><br />Le fonds Guéguen rassemble à la fois les articles ayant fait l'objet de parution et des notes d'érudits qui reflètent les centres d'intérêts du professeur Guéguen. Outre sa célèbre thèse sur "Les constituants glucidiques des algues rouges" présentée à la faculté de Pharmacie de Paris en 1931, on pourra y trouver des notes nombreuses relatives notamment à ses recherches sur Vannes (Monastère de Carmélite du Bondon, Cadastre), sur la famille morbihannaise de La Landelle, sur les médecins et les épidémies en Bretagne, sur les Apothicaires de la Marine Royale, enfin, sur Saint-Brévin et l'estuaire de la Basse Loire.</div>
Guéguen, Édouard (1885-1974)
<a href="https://archives.loire-atlantique.fr/jcms/chercher/inventaires-des-archives/cadre-de-classement-fr-p1_8559" target="_blank" rel="noopener">Cadre de classement des Archives départementales de Loire-Atlantique</a>
Accès soumis à autorisation.
Reproduction libre sauf impossibilité matérielle
0,10 mètre linéaire
français
Archives
048 J - Fonds Guéguen (pharmacien)
1930-1970
Fonds Félix Cadiou
Télégraphie
<br /><strong>Biographie :</strong> <br /><br />Félix Cadiou était fonctionnaire des services télégraphiques dans la deuxième moitié du XIXe siècle.<br /><br /><strong>Présentation du contenu :</strong> <br /><br />
<div style="text-align: justify;">Le fonds Félix Cadiou est composé de deux liasses, l'une rassemblant des papiers professionnels (concernant notamment les réseaux télégraphiques de Loire-Inférieure et d'Algérie) et l'autre des papiers plus personnels reflétant sa vie associative (association française pour l'avancement des sciences, société internationale des électriciens, comité des fêtes du quartier Rovigo d'Alger) et sa vie privée (correspondance familiale et amicale).</div>
Cadiou, Félix
<a href="https://app-archives-inventaires.loire-atlantique.fr/pleade/embed/functions/ead/attached/FRAD044_cadredeclassement/FRAD044_cadredeclassement_e0035178.pdf" target="_blank" rel="noopener">Fichier pdf de l'inventaire en ligne</a>
Communicable.
Reproduction libre sauf impossibilité matérielle
0,15 mètre linéaire
Archives
087 J - Fonds Félix Cadiou (fonctionnaire des services télégraphiques)
1870-1898
Fonds François Briau (1812-1890)
Transports ferroviaires
Patrimoine industriel
<br /><strong>Biographie :<br /></strong><br />
<div style="text-align: justify;">François Briau était ingénieur et constructeur de chemin de fer à Varades dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Il débute semble-t-il dans la région parisienne et la vallée de la Loire, s'aventure ensuite jusqu'en Italie où il participe à la construction des chemins de fer romains, puis revient dans sa région natale pour créer et diriger la Compagnie des Chemins de fer Nantais.<br /><br /><strong>Présentation du contenu :</strong><br /><br />On trouvera dans le fonds François Briau un ensemble de documents à caractère foncier relatifs aux investissements personnels de François Briau sur la commune de Varades (titres de propriété, baux, états, plans du château de la Madeleine, registres de comptabilité domestique, etc.) puis un ensemble plus important en volume et en intérêt historique, ayant trait à son activité "professionnelle" en tant que constructeur de chemin de fer (lignes de Tour à Nantes, embranchements de Rueil à Port-Marly et de Paris à Boulogne, chemin de fer romain) ainsi que des documents issus de l'activité de la Compagnie des chemins de fer nantais (documents comptables et de gestion, dossiers de travaux et plans, etc.).</div>
Briau, François (1812-1890)
<a href="https://app-archives-inventaires.loire-atlantique.fr/pleade/embed/functions/ead/attached/FRAD044_cadredeclassement/FRAD044_cadredeclassement_e0031864.pdf" target="_blank" rel="noopener">Fichiers pdf de l'inventaire en ligne</a>
Communicable.
Reproduction libre sauf impossibilité matérielle
16 mètres linéaires
français
Archives
167 J - Fonds François Briau
1830-1905