Fonds Victor Advielle (1833-1903)
Astronomie
Laplace, Pierre-Simon de (1749-1827)
Le Verrier, Urbain-Jean-Joseph (1811-1877)
<div style="text-align: justify;">Victor Advielle est né le 31 octobre 1833 à Arras. Il est mort le 27 décembre 1903 à Paris.<br /> Victor Advielle fut Bibliothécaire, membre de diverses sociétés savantes, membre des commissions du musée et de la bibliothèque d'Arras, de l'Académie d'Arras, vice-président de la Société contre l'abus du tabac. <br /><strong>Contenu :</strong><br />Notes sur Urbain Jean-Joseph Le Verrier , Laplace et autres astronomes.<br />Contient des lettres, tirages à part, coupures de journaux dont l'interview de Urbain Jean-Joseph Le Verrier par le New-York Herald du 14 avril 1877.</div>
Advielle, Victor (1833-1903)
<a href="http://www.wikipasdecalais.fr/index.php?title=Victor_Advielle" target="_blank">WikiPasdeCalais</a> et <a href="https://alidade.obspm.fr/cdc.html" title="Alidade" target="_blank">ALIDADE</a>
1 volume relié
français
Archives
Ms 1027
Fonds Charles-Marie de La Condamine (1701-1774)
Expéditions scientifiques
<div style="text-align: justify;">Charles Marie de La Condamine, né le 27 janvier 1701 à Paris et mort le 4 février 1774 à Paris, est un explorateur et un scientifique français, astronome et encyclopédiste du XVIIIe siècle.<br /> Chevalier des ordres royaux, militaires et hospitaliers de Saint-Lazare de Jérusalem et de Notre-Dame du Mont-Carmel, Secrétaire des commandements de Son Altesse Sérénissime Monseigneur le duc d'Orléans.<br /> Il est membre de l’Académie royale des sciences de Paris, de la Société royale de Londres, des Académies de Berlin, de Saint-Pétersbourg, de Bologne, de Cortone, et de l'Académie de Stanislas sise à Nancy. Il est élu à l'Académie française en 1760 et reçu par Buffon. Il est célèbre pour avoir mené, de 1735 à 1743, une expédition géodésique française en Équateur qui a mesuré trois degrés du méridien afin de déterminer la figure de la Terre. Il a acquis une notoriété particulière en tant que défenseur engagé dans l'inoculation contre la variole. Par son apport sur la botanique, la zoologie et la géographie de l'Équateur et de l'Amazonie il est considéré comme un précurseur de Humboldt.<br />
<p><strong>Présentation du contenu :<br /></strong></p>
<ul>
<li>Correspondance active</li>
<li>Voyage au Pérou</li>
<li>Correspondance passive</li>
</ul>
</div>
La Condamine, Charles-Marie de (1701-1774)
Site de l'Académie des sciences, Wikipedia
<div style="text-align: justify;">En complément à ce fonds, il convient de consulter, à l’Académie des sciences, les documents manuscrits du dossier biographique de La Condamine, ainsi que le fonds Maupertuis (43 J). Il est également rappelé qu’une correspondance du Pérou (50 lettres) se trouve à la Bibliothèque de l’Observatoire de Paris, et que le Département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France conserve plusieurs documents.</div>
français
Archives
50 J
18e siècle
Fonds André-Marie Ampère (1775-1836)
Arithmétique
Théorie des nombres
Algèbre
Géométrie
Analyse mathématique
Calcul des variations et applications
Probabilités
Mécanique analytique
Astronomie
Électromagnétisme
Physique
Optique
Chimie
<div style="text-align: justify;">André-Marie Ampère (Lyon, 20 janvier 1775 – Marseille, 10 juin 1836) est un mathématicien, physicien, chimiste et philosophe français. Il a été membre de l'Académie des sciences, ainsi que professeur à l'École polytechnique et au Collège de France. <br />Autodidacte, Ampère contribue au développement des mathématiques en les introduisant en physique. Il fait d'importantes découvertes dans le domaine de l'électromagnétisme. Il en édifie les fondements théoriques et découvre les bases de l'électronique de la matière. Il est également l'inventeur de nombreux dispositifs et appareils tels que le solénoïde, le télégraphe électrique et l'électroaimant. Ampère est considéré comme le précurseur de la mathématisation de la physique, et comme l'un des derniers savants universels. Il est le créateur du vocabulaire de l'électricité — il invente les termes de courant et de tension — et son nom a été donné à l'unité internationale de l'intensité du courant électrique : l'ampère. Il fait également partie des soixante-douze savants dont le nom est inscrit sur la tour Eiffel.<br /><strong>Contenu : </strong>Travaux manuscrits (originaux et copies) <br />Rapports d'inspection et documents administratifs<br />Correspondance<br />Papiers de famille</div>
Ampère, André-Marie (1775-1836)
<div style="text-align: justify;">Académie des sciences ; Éric Brian et Christiane Demeulenaere-Douyère (dir.), <em>Histoire et mémoire de l'Académie des sciences : guide de recherches</em>, Paris, 1996 (ISBN : 2-7430-0148-8) <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9-Marie_Amp%C3%A8re" title="wikipedia" target="_blank">Wikipedia</a></div>
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/141" target="_self">Papiers Joseph Bertrand, ms 2033</a>, <br />Fonds de la BnF
37 cartons, 18,5 ml
français
Archives
Manuscrits
Fonds Ampère
1779-1844
Fonds François Arago (1786-1853)
Astronomie
Magnétisme terrestre
<div style="text-align: justify;">François Arago (1786-1853) fut admis à l’âge de dix-sept ans à l’École polytechnique. Secrétaire du Bureau des Longitudes, il fut adjoint à Biot, chargé d’achever la mesure de l’arc du méridien terrestre (1806). Membre titulaire de l’Académie des sciences à vingt-trois ans, il fut nommé professeur d’analyse et de géodésie à l’École polytechnique où il exerça ces fonctions pendant vingt ans. Devenu directeur de l’Observatoire, il donna des cours d’astronomie restés célèbres par leur clarté. En 1830, Arago remplaça Fourier comme secrétaire perpétuel de l’Académie pour les sciences mathématiques. Après 1830, il entra à la Chambre comme député des Pyrénées-Orientales et siégea à l’extrême-gauche. En février 1848, Arago fut porté par l’acclamation populaire au Gouvernement provisoire et chargé de diriger les ministères de la Marine et de la Guerre. Il fit adopter l’abolition de l’esclavage dans les colonies françaises. Député à la Constituante, il appartint à la Commission exécutive, qui se démit en juin, puis il siégea à la Législative. En 1852, il ne voulut pas prêter serment au gouvernement nouveau.<br /><strong>Contenu du fonds : </strong>Notes (relevés d'observations, relevés barométriques, fontaines jaillissantes et puits artésiens, températures, magnétisme terrestre, divers) et correspondance, 1807-1847 ; registres d'observations astronomiques</div>
Arago, François (1786-1853)
<div style="text-align: justify;">Académie des sciences ; Éric Brian et Christiane Demeulenaere-Douyère (dir.), <em>Histoire et mémoire de l'Académie des sciences : guide de recherches</em>, Paris, 1996 (ISBN : 2-7430-0148-8) <a href="https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/POG/FRAN_POG_06/c614y151woa--52bx32dvzv8a" title="Archives nationales" target="_blank">Archives Nationales</a></div>
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/383" target="_self">Fonds conservé aux Archives Nationales</a>
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/141" target="_self">Papiers Joseph Bertrand, Bibliothèque de l'Institut de France, Ms. 2033 et Ms. 2043<br /></a>
<div style="text-align: justify;">1 liasse, 1 cahier d'observations et 4 registres</div>
français
Archives
Fonds Arago 1 J 24 (1 à 4)
1807-1847
Société Astronomique de France (SAF)
Astronomie -- Histoire
Astrophysique
Cosmologie
Histoire des instruments scientifiques
Histoire des relations entre sciences et techniques
<div style="text-align: justify;">L’association dite "Société Astronomique de France", fondée en 1887 par Camille Flammarion, a pour but de réunir les personnes qui s’intéressent à la pratique et à la théorie de l’astronomie, au développement de cette science et à l’extension de son influence pour l’éclairement des esprits. Ses efforts tendent à l’avancement et à la propagation de cette science et des sciences connexes ainsi qu’à faciliter les voies et moyens à tous ceux qui désirent entreprendre des études astronomiques.</div>
<div style="text-align: justify;">L’association est administrée par un Conseil composé de 24 membres, élus, au scrutin secret, pour trois ans par l’assemblée générale.<br /><strong><br /></strong></div>
<div style="text-align: justify;">Société astronomique de France</div>
<div style="text-align: justify;">BLONDEL, Christine et VAUGE, Anne-Cécile, <em>Répertoire de l’histoire des sciences et des techniques en France</em>, Nantes, Société Française d’histoire des sciences et des techniques, Diffusion Blanchard, 1994, p.290.</div>
<a href="http://www.culture.gouv.fr/culture/flammarion/accueil/index1.htm" title="Observatoire Camille Flammarion" target="_blank">http://www.culture.gouv.fr/culture/flammarion/accueil/index1.htm</a>
<a href="https://saf-astronomie.fr/" title="Société Astronomique de France" target="_blank">https://saf-astronomie.fr/</a>
Plus de 10 000 volumes.
Ouvrages imprimés
Revues
19e siècle - aujourd'hui
Fonds Bougainville
Bureau des Longitudes
Expéditions scientifiques
Navigation
<div style="text-align: justify;">Louis-Antoine de Bougainville (1729-1811) se fit d’abord recevoir avocat, puis entra comme aide-major dans le régiment de Picardie (1753). Il fut peu après envoyé à Londres comme secrétaire d’ambassade, et la publication de son <em>Traité du calcul intégral</em> (1754-1756) l’y fit recevoir membre de la Société royale. Il suivit Montcalm en Nouvelle-France en 1756 et y devint colonel. Après la paix de Paris, Bougainville, avec des fonds familiaux et l’encouragement du roi, mit sur pied une expédition et fonda aux îles Malouines une colonie où, le 5 avril 1764, il fit reconnaître la souveraineté de Louis XV. Dans le cadre du Pacte de famille, Louis XV décida de l’abandon de cette jeune colonie à l’Espagne (2 avril 1767). Admis dans la marine royale avec grade de capitaine de vaisseau Bougainville entreprit avec la frégate la <em>Boudeuse</em> et la flûte l’<em>Etoile</em> un voyage de circumnavigation qui lui fit découvrir dans la mer du Sud différents archipels de la Polynésie, et qui fut raconté par lui dans son <em>Voyage autour du monde</em> (1771). Bougainville prit part à la guerre d’Amérique dans l’escadre du comte d’Estaing (1778-1779), puis fut promu chef d’escadre dans l’armée navale du comte de Grasse (1781-1782). Placé en 1790 à la tête de l’escadre de Brest, il démissionna bientôt et se consacra désormais à des études scientifiques. Membre de l’Institut et du Bureau des longitudes, il fut nommé sénateur puis comte par Napoléon Ier. <br />Son fils, Hyacinthe de Bougainville (1781-1846), après des études à Polytechnique, participa à la campagne de découverte commandée par Baudin sur le Géographe, puis sur la corvette le <em>Naturaliste</em>. Attaché à l’état-major de l’amiral Brieux au camp de Boulogne, Hyacinthe de Bougainville prit part à de nombreux engagements contre les flottilles anglaises. Capitaine de frégate en 1811, il commanda en 1812 la <em>Cérès</em>. Attaqué par deux vaisseaux anglais, le 6 janvier 1814, il fut fait prisonnier. Traduit à cette occasion devant un conseil de guerre, il fut acquitté. Sous la Restauration, il fut nommé capitaine de vaisseau le 22 août 1821 et commanda la <em>Thétis</em> aux Antilles. Il fut promu au grade de contre-amiral, le 1er mai 1838 et nommé commandant supérieur de la marine à Alger. De 1841 à sa mort, il fut membre du Conseil d’amirauté et président du Conseil des travaux</div>
Bougainville, Louis-Antoine de (1729-1811)
Bougainville, Hyacinthe de (1781-1846)
Archives nationales
Conditions d’accès :
-achats (155 AP 3 d. 1 et 155 AP 4 d. 2, pièces 1-3) : libre.
- dépôt : sur autorisation.
Les Archives nationales (site de Paris) conservent, dans le fonds Marine, des journaux de navigation de Bougainville, dont celui du voyage autour du monde accompli sur la Boudeuse(B 4, 98, 107, 110, 112, 114, 144, 314, 4 JJ 1, 46, 142).
16 cartons, 2,40 ml
français
Archives
155 AP
11e-20e siècles
Fonds Arago
<div style="text-align: justify;">François Arago (1786-1853) fut admis à l’âge de dix-sept ans à l’École polytechnique. Secrétaire du Bureau des Longitudes, il fut adjoint à Biot, chargé d’achever la mesure de l’arc du méridien terrestre (1806). Membre titulaire de l’Académie des sciences à vingt-trois ans, il fut nommé professeur d’analyse et de géodésie à l’École polytechnique où il exerça ces fonctions pendant vingt ans. Devenu directeur de l’Observatoire, il donna des cours d’astronomie restés célèbres par leur clarté. En 1830, Arago remplaça Fourier comme secrétaire perpétuel de l’Académie pour les sciences mathématiques. Après 1830, il entra à la Chambre comme député des Pyrénées-Orientales et siégea à l’extrême-gauche. En février 1848, Arago fut porté par l’acclamation populaire au Gouvernement provisoire et chargé de diriger les ministères de la Marine et de la Guerre. Il fit adopter l’abolition de l’esclavage dans les colonies françaises. Député à la Constituante, il appartint à la Commission exécutive, qui se démit en juin, puis il siégea à la Législative. En 1852, il ne voulut pas prêter serment au gouvernement nouveau.<br /><br /> Son frère Étienne (1802-1892) dirigea le Vaudeville de 1830 à 1840. Homme politique, il prit part à toutes les luttes du parti républicain. Compromis dans la journée du 13 juin 1849, il se réfugia à Bruxelles et fut condamné par contumace à la déportation. Rentré à Paris en 1859, maire de Paris après le 4 septembre 1870, député des Pyrénées-Orientales (1871), il devint archiviste de l’École des Beaux-Arts (1878) et conservateur du musée du Luxembourg (1879).</div>
Arago, François (1786-1853)
Arago, Étienne (1802-1892)
Conditions d'accès : libre
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/admin/items/show/210" target="_self">Fonds de l'Académie des sciences</a>
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/141" target="_self">Papiers Joseph Bertrand, Bibliothèque de l'Institut de France, Ms. 2033 et Ms. 2043</a>
2 bobines de microfilm
français
Archives
348 AP [372 MI]
1797-1892
Journaux d'observations astronomiques de Pierre Joseph de Beauchamp
Astronomie -- Observations
Journal
Pierre Joseph de Beauchamp, né à Vesoul le 28 juin 1752 et mort à Nice le 18 novembre 1801, fils de l'avocat Xavier de Beauchamp, est un religieux, diplomate et astronome français.
Nommé vicaire général de son oncle Miroudot du Bourg, évêque de Babylone (autrement dit évêque de Bagdad), il part en compagnie de celui-ci pour Alep, en 1781. Malade, Miroudot renonce à se rendre à Bagdad et retourne en France au printemps 1782, laissant la responsabilité de l'évêché à son neveu. En octobre 1782, il gagne Bagdad avec la caravane du consul Jean-François Rousseau et en compagnie du botaniste André Michaux et, après une expédition en Perse, rentre en France en 1790.
Nommé consul à Mascate le 3 mars 1795, il part d'abord faire des observations sur les bords de la Mer Noire, mais au moment de partir pour son consulat, Bonaparte l'appelle en Égypte. Nommé membre de l'Institut d'Égypte le 7 septembre 1798, il est adjoint à la section de physique lors de la troisième séance de cet institut. Peu après, il est chargé par Bonaparte d'une mission conciliatrice avec la Porte. En quittant Alexandrie le 13 février 1799, son navire est capturé en mer par les Anglais. Les Turcs ayant déclaré la guerre à la France, il est emprisonné aux Sept Tours avec le chargé d'affaires à Constantinople, ainsi que tout le personnel de l'ambassade.
Il meurt en arrivant en France.
Beauchamp, Joseph de (1752-1801)
CALAMES ; Wikipedia
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La publication de documents inédits est soumise à l'autorisation de la Commission des bibliothèques et archives de l'Institut de France.
Un autre carnet est à la Bibliothèque nationale de France, Département des manuscrits, nouvelles acquisitions françaises
2 volumes
français
Manuscrits
Manuscrits de la Bibliothèque de l'Institut de France. Ms 2196-2197
1781-1795
Fragment des correspondances reçues l'une par J.-B. Biot et l'autre par Gabrielle Brisson, son épouse
Correspondance
Jean-Baptiste Biot (21 avril 1774 à Paris – 3 février 1862 à Paris, 5e) est un physicien, astronome et mathématicien français, pionnier de l'utilisation de la lumière polarisée pour l'étude des solutions.<br />Il commence des études d'ingénieur à l'École des ponts et chaussées en janvier 1794, puis rejoint l'École centrale des travaux publics (future École polytechnique) à son ouverture en décembre 1794 au Palais Bourbon. Il y est notamment chef de brigade. Un an plus tard (octobre 1795), il rejoint à nouveau l'École des ponts et chaussées pour terminer sa formation d'ingénieur.<br />C'est vers l'enseignement que Biot oriente sa carrière après ses études d'ingénieur. Il devient professeur de mathématiques à l'École centrale du département de l'Oise à Beauvais en mars 1797, poste qu'il occupe durant 4 ans, et publie le contenu de ses leçons destinées aux candidats à l’École polytechnique en 1802 (<em>Essai de géométrie analytique : appliquée aux courbes et aux surfaces du second ordre</em>). Grâce à l'appui de Laplace, il est nommé en novembre 1800, âgé de 26 ans, professeur de physique mathématique au Collège de France, succédant à Jacques Antoine Joseph Cousin, démissionnaire. Il enseigne à l'Athénée de Paris de 1803 à 1806. Nommé premier titulaire de la chaire d'astronomie de la faculté des sciences de Paris le 18 avril 1809, il devient docteur ès sciences par collation le 5 août de la même année. Il est entre 1816 et 1826 chargé de la moitié du cours de physique pour l'acoustique, le magnétisme et l'optique, Gay-Lussac, titulaire de la chaire de physique, enseignant la chaleur, les gaz, l'hygrométrie, l'électricité et le galvanisme. Il est rappelé aux fonctions de professeur d'astronomie en mars 1826 et c'est Claude Pouillet qui reprend ses enseignements pour le cours de physique. Il est doyen de la Faculté des sciences de Paris à partir de 1840, succédant à Louis Jacques Thénard. Il est mis à la retraite comme professeur de la faculté des sciences en 1849 et y est nommé professeur honoraire.<br />Biot est chargé de plusieurs missions scientifiques, en particulier en tant qu'astronome-adjoint (1806) puis titulaire (1825) du Bureau des longitudes. En juin 1803, à la demande du ministre de l'Intérieur Chaptal, il se rend à L'Aigle (Orne), où une météorite était tombée le 26 avril 1803, et fait un rapport considéré comme la première preuve de l'origine non terrestre des météorites. Il fait, à la demande de l'Institut de France, en 1804 une périlleuse ascension aérostatique avec Gay-Lussac, à l'altitude de 13 000 pieds (environ 4 000 mètres), afin d'étudier les caractéristiques magnétiques, électriques et chimiques de l'atmosphère. En août 1806 il est chargé par le Bureau des longitudes, conjointement avec Arago, secrétaire du Bureau, de continuer la mesure d'un arc de méridien en France et en Espagne commencée par Pierre Méchain. En août 1808 il est chargé par le Bureau, conjointement avec Claude-Louis Mathieu, de déterminer la longueur du pendule à Bordeaux. Une mission similaire lui est confiée en 1817 pour la mesure du pendule en Écosse et aux Îles Shetland, puis en Illyrie et aux Îles Baléares en 1824-25. En 1817, il est envoyé avec Arago à Dunkerque pour déterminer la latitude, concurremment avec une commission anglaise.<br /><br />
Biot, Jean-Baptiste (1774-1862)
Brisson, Gabrielle
CALAMES ; Wikipedia
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2 dossiers. 320 × 240 mm. Boîte
français
Manuscrits
Manuscrits de la Bibliothèque de l'Institut de France. Ms 4895-4896
18e-19e siècles
Papiers de Jean-Baptiste Joseph Delambre
Géométrie
Correspondance
Astronomie – Observations
<div style="text-align: justify;">Jean-Baptiste Joseph Delambre, né à Amiens le 19 septembre 1749 et mort à Paris le 19 août 1822, est un astronome et mathématicien français.</div>
<div style="text-align: justify;">Il fait ses premières études dans sa ville natale et c'est sous l'influence de l'abbé Jacques Delille qu'il devient un très fort humaniste et sous celle d'un autre maître, un helléniste profond.</div>
<div style="text-align: justify;">Il est très lié lors de sa jeunesse à la famille Favart et occupe un poste de précepteur à Compiègne.</div>
<div style="text-align: justify;">En 1774, il s'installe à Paris, où il devient le précepteur du fils de M. Dassy, receveur général des Finances, qui lui facilite ses études en lui permettant de suivre les cours de l'astronome Jérôme Lalande et installe dans les combles de son hôtel un observatoire. En 1781, il publie des tables d'Uranus, planète découverte par William Herschel, ainsi que plusieurs Mémoires.</div>
<div style="text-align: justify;">En 1786, il présente à l'Académie des sciences un compte-rendu d'observation du passage de Mercure devant le Soleil du 4 mai 1786, ce qui marque le début de sa carrière d'astronome observateur.</div>
<div style="text-align: justify;">En 1788, il est élu membre étranger à l'Académie royale des sciences de Suède.</div>
<div style="text-align: justify;">En 1792, il devient associé géomètre de l'Académie des sciences, où il est à partir de 1800, secrétaire pour les sciences mathématiques.</div>
<div style="text-align: justify;">Avec Pierre Méchain, il entreprend la mesure d'un arc du méridien de Paris, entre Dunkerque et Barcelone, pour servir à l'établissement du système métrique. Cette expédition dure de 1792 à 1799.</div>
<div style="text-align: justify;">En 1795, il entre au Bureau des longitudes. Il est nommé inspecteur général des études en 1802 et succède en 1807 à Lalande à la chaire d'astronomie du Collège de France. En 1808, il devient membre du conseil de l'université, d'où il est écarté en 1815.</div>
Delambre, Jean-Baptiste (1749-1822)
CALAMES ; Wikipedia
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Ces papiers sont inclus dans le <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/141" target="_self">fonds Joseph Bertrand</a>
113 pièces, 15 liasses
français
Manuscrits
Manuscrits de la Bibliothèque de l'Institut de France. Ms 2041-2042
18e-19e siècle