Cahiers d'expériences d'Augustin-Jean Fresnel (1788-1827)
Physique -- Cahiers d'expériences
<div style="text-align: justify;">
<p>Augustin Jean Fresnel, né le 10 mai 1788 à Broglie et mort le 14 juillet 1827 à Ville-d'Avray, est un ingénieur et physicien français. Fondateur de l’optique moderne, il proposa une explication de tous les phénomènes optiques dans le cadre de la théorie ondulatoire de la lumière.</p>
<p>Contenu des manuscrits:</p>
<ul>
<li>« Réflexions théoriques et projets d'expériences — Recherches physiques (juillet 1822) »</li>
<li>Notes, formules et croquis</li>
</ul>
Papier. Demi-reliure.</div>
Fresnel, Augustin (1788-1827)
Wikipédia et <a href="http://www.calames.abes.fr/pub/ms/IF2C13344" target="_blank">CALAMES</a>
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'accès :</strong> <br />Les chercheurs souhaitant être admis comme lecteurs doivent être présentés au directeur de la bibliothèque par deux membres de l'Institut.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'utilisation :</strong><br /> La publication de documents inédits est soumise à l'autorisation de la Commission des bibliothèques et archives de l'Institut de France.</div>
198 et 228 pages. 230 × 170 et 250 × 190 mm.
français
Manuscrits
Ms 3411-3412
1822-1823
Cahiers de cours ayant appartenu à Jean-Marie-Constant Duhamel et manuscrits physiques
<div style="text-align: justify;">Jean Marie Duhamel, dont le père est au bagne durant tout l'enfance, fait ses études secondaires au lycée de Rennes. Il part ensuite en 1814 étudier à Paris à l'École polytechnique, cependant l'ensemble des élèves est licencié en 1816. Il s'inscrit alors à la faculté de droit de Rennes, mais en est exclu pour ses opinions libérales. Il retourne alors à Paris en 1819 et se voue à l'enseignement. Il enseigne chez M. Berthier et aux institutions Massin et Mayer, et parallèlement obtient le baccalauréat ès sciences et les licences ès sciences mathématiques et physiques à la faculté des sciences de Paris. Le 26 décembre 1826 il est nommé agrégé pour les sciences au lycée Louis-le-Grand, puis chargé de l'enseignement des mathématiques en seconde le 26 septembre 1827. Il quitte cet emploi le 30 juin 1829 pour ouvrir, rue de Vaugirard, une école préparatoire pour l'admission aux écoles polytechnique, militaire et de marine. En 1835 celle-ci est incorporée au sein du collège Sainte-Barbe et Duhamel en restera le directeur des études jusqu'en 1837. En 1834 il obtient le doctorat ès sciences devant la faculté des sciences de Paris, il a alors 37 ans, et l'année suivante on lui confie la suppléance de Francœur à la chaire d'algèbre supérieure de la faculté des sciences de Paris, charge qu'il conserve jusqu'en 1840. Il est ensuite en 1841 chargé de conférences de mécanique et calcul différentiel à l’École normale puis y est nommé maitre de conférences de calcul différentiel en remplacement d'Abélard Lévy. Il quitte ces fonctions en 1849 (remplacé par Victor Puiseux), pour occuper la chaire d'algèbre supérieure et géodésie à la faculté des sciences en remplacement de Francœur, admis à la retraite.</div>
<div style="text-align: justify;">Parallèlement à son enseignement dans les établissements du second degré puis à l’École normale et à la faculté des sciences, Duhamel enseigne à l’École polytechnique durant près de 40 ans. En 1830 il est chargé de remplacer provisoirement Coriolis pour les répétitions d'analyse et mécanique (auprès de Mathieu et Navier), puis est nommé répétiteur de géodésie, machines et arithmétique sociale l'année suivante (en remplacement de Savary nommé professeur). En novembre 1836 il succède à Navier, décédé, comme professeur d'analyse et de mécanique (Le Verrier le remplace comme répétiteur). En 1840 il est, après trois échecs en 1836, élu membre de l'Académie des sciences, en remplacement de Poisson dans la section de physique (il en sera le président pendant l'année 1862). Cette même année il prend la place d'examinateur permanent laissée vacante par le décès de Poisson (Liouville lui succède comme professeur). À la suite du décès de Coriolis, directeur des études, en septembre 1843, Duhamel lui succède en 1844. Pour remplacer Duhamel dans ses fonctions d'examinateur l'Académie et le conseil de perfectionnement présente un seul candidat, Lamé, mais le ministre refuse de le nommer et maintient provisoirement Duhamel dans ses fonctions d'examinateur. Les problèmes d'impartialité que pose alors ce cumul de deux fonctions incompatibles selon le règlement de l'école entraine un mouvement de contestation des élèves qui conduit au licenciement de la promotion et à la réorganisation du conseil de perfectionnement. Celui-ci, dorénavant seul habilité à proposer le classement des candidatures aux fonctions vacantes, propose Lamé pour le poste d'examinateur, proposition cette fois acceptée par le ministre. Duhamel quitte ses fonctions de directeur des études en janvier 1851, il y est remplacé par Bomart. Deux mois plus tard il remplace comme professeur d'analyse Liouville, contraint de démissionner en raison d'une nouvelle loi restreignant les cumuls. Il y professe selon un « style classique », se permettant cependant des pointes contre « des gens qui se croient géomètres ». En 1869 il prend sa retraite et est remplacé dans ses deux chaires, à la faculté des sciences et à l’École polytechnique, par Charles Hermite.</div>
<br />Il meurt à Paris le 29 avril 1872.
Duhamel, Constant (1797-1872)
CALAMES ; Wikipedia
Les chercheurs souhaitant être admis comme lecteurs doivent être présentés au directeur de la bibliothèque par deux membres de l'Institut.
La publication de documents inédits est soumise à l'autorisation de la Commission des bibliothèques et archives de l'Institut de France.
Les manuscrits physiques sont inclus dans le <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/141" target="_self">fonds Joseph Bertrand</a>
13 liasses
français
Manuscrits
Manuscrits de la Bibliothèque de l'Institut de France. Ms 2034-2036, 2045
19e siècle
Carnet de cours de Charles Stapfer (1799-1880)
Gay-Lussac, Louis-Joseph (1778-1850)
Élève de l'École Polytechnique (Promotion 1818). <br /><strong>Contenu</strong> : Notes prises au cours de Gay-Lussac.
Stapfer, Charles (1799-1880)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a>
Consultation sur rendez-vous.
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/509" target="_blank">Fonds Gay-Lussac</a> de l'École Polytechnique
1 carnet
français
Archives
IX GL boîte N°26
1818-1825
Carnets de Hippolyte Renaud (1803-1874)
Machines
Géodésie
Arithmétique
Arago, François (1786-1853)
Dulong, Pierre-Louis (1785-1838)
<div style="text-align: justify;">Né à Besançon (Doubs) en 1803, mort à Épinal en 1874. Élève au collège d’Épinal, puis à l’École polytechnique où il entra en 1820, il était en stage à l’École d’artillerie de Metz quand il fit la connaissance de Victor Considerant qui le gagna aux théories de Fourier. Si une situation de fortune familiale médiocre lui interdit de donner sa démission, il fut cependant un adepte fidèle des idées fouriéristes, qu’il développa aussi bien pendant son passage dans l’armée que lorsqu’il prit sa retraite comme colonel d’artillerie. On lui doit en particulier une étude originale et commode de la doctrine qu’il ne cessa jamais de défendre : <em>Solidarité, Vue synthétique de la doctrine de Charles Fourier</em> (Paris, 1842), rééditée six fois (jusqu’en 1898).</div>
<div style="text-align: justify;"><strong><br />Contenu</strong> : Notes prises aux cours de l'Ecole polytechnique entre 1823 et 1825 : cours de physique de Dulong, de machines, de géodésie et d'arithmétique d'Arago</div>
Renaud, Hippolyte (1803-1874)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; <a href="http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article36899" title="Maitron en ligne" target="_blank">Dictionnaire en ligne Maitron</a>
Consultation sur rendez-vous
2 carnets
français
Archives
III 3B(1825)
1823-1825
Collection Albert Châtelet
Acoustique
Mécanique
Théorie des nombres
Aviation
Algèbre
Géométrie
Le fonds rassemble tous les documents porteurs d’un ex-libris imprimé d’Albert Châtelet : supports de travail et d’enseignement, correspondance avec d’autres chercheurs, rapports et tirés à part. <br />On peut y trouver une série de rapports rédigés sous la Première Guerre Mondiale par Ernest Esclangon pour la Commission de Gâvre, une traduction manuscrite anonyme de « "Neue Geometrie des Raumes » de Julius Plücker, ainsi qu’une correspondance accompagnée d’un support de cours d’André Martinot-Lagarde, professeur de mécanique à l’Institut de mécanique des fluides de l’Université de Lille.
Après avoir enseigné les mathématiques et la mécanique rationnelle à Tours, Toulouse et Lille et travaillé pour la Mission du Tir Aérien de Gâvre sous la Première Guerre Mondiale, Albert Châtelet devient en 1924 recteur de l’Académie de Lille, où il se montre très dynamique dans la reconstruction d’infrastructures étudiantes et hospitalières et la diffusion de méthodes nouvelles. Il sera chargé de l’enseignement du second degré sous le Front Populaire. <br />Après l’Occupation, il est nommé à la chaire d’arithmétique et théorie des nombres de la faculté des sciences de Paris. Il est candidat de la gauche face à Charles de Gaulle lors des élections de 1958, et a mené le comité anticolonial Audin. <br />Auteur de plusieurs manuels, Albert Châtelet a grandement contribué à diffuser les recherches de l’école allemande sur la théorie des nombres et la théorie des groupes.
Châtelet, Albert (1883-1960)
Communication libre sur demande.
2 boîtes
français
CHA
1895-1954
Collection des archives et des manuscrits de la bibliothèque Jacques Hadamard
Analyse
Théorie des groupes
Logique
Algèbre
Échanges entre chercheurs
Enseignement
Aviation
Astronomie - enseignement
Le fonds rassemble toutes les archives stockées dans les magasins de la bibliothèque mathématique depuis sa création et ne portant pas de marques d’appartenance ou de dédicaces manuscrites explicites. On y trouve des publications scientifiques, de la littérature grise, des travaux préparatoires ; plusieurs jubilés et ouvrages dédiés à la figure d’un chercheur ; un fonds de notices scientifiques de chercheurs de toutes disciplines probablement envoyées dans le cadre d’une candidature à l’entrée du Collège de France ou de l’Académie des Sciences ; ainsi que différents rapports dactylographiés inédits et des lettres de chercheurs manuscrites.
Communication libre
Reproduction et diffusion autorisée à condition de respecter l'obligation de citation.
5 boîtes
français
allemand
anglais
russe
Manuscrits
Tirés à part
Ouvrages imprimés
BJH Ms
1921-1987
Collection des polycopiés de cours et d'exercices d'Orsay
Enseignement
Calcul différentiel
Calcul intégral
Algèbre
Probabilités
Cet ensemble réunit des polycopiés d'exercices couvrant les niveaux actuels de licence et de master, conçus par des équipes d'enseignants. On y retrouve des préparations à des diplômes divers sur une période de 50 ans, comme le certificat d'études supérieures avant 1966, puis le diplôme universitaire d'études scientifiques, aux quatre certificats composant la maîtrise, au CAPES et à l'agrégation, etc. <br />La collection est composée principalement de dons d'Anne-Marie Chollet, de Dominique Hulin et de Marie-Claude David.
Collectif
Communication et reproduction libre
14 boîtes
français
POLY
1955-2008
Collection Szolem Mandelbrojt
Analyse complexe
Analyse harmonique
Échanges entre scientifiques
Le fonds est composé de documents de travail et publications de Szolem Mandelbrojt et plus particulièrement de travaux scientifiques qui lui ont été personnellement envoyées. <br />En tant que titulaire d’une chaire au Collège de France, il a reçu un certain nombre de titres et travaux de scientifiques de toutes disciplines. <br />Ces documents ont été récupérés par Jean-Pierre Kahane, qui fut un des étudiants en thèse de Mandelbrojt.
Szolem Mandelbrojt est né en Pologne en 1899 dans une famille juive d’origine lituanienne. Arrivé en France où il sera naturalisé en 1926, il est un des fondateurs du groupe Bourbaki en 1934, mais préfère se spécialiser dans l’analyse complexe et harmonique. Professeur à l’université de Clermont-Ferrand et à l’Institut Rice à Houston, titulaire de la chaire de mécanique analytique et de mécanique céleste au Collège de France – dont il sera un temps suspendu sous Vichy pour avoir rejoint les Forces Françaises Libres – il était également membre de l’Académie des Sciences à partir de 1972. Il était aussi l’oncle du mathématicien Benoît Mandelbrot.
Mandelbrojt, Szolem (1899-1983)
Communication libre
2 boîtes
français
anglais
polonais
russe
MAN
1909-1971
Fonds Achille Veilhan (1818-1868)
Machines
Élève de l'École Polytechnique (Promotion 1837) <br /><strong>Contenu</strong> : Notes prises au cours de chimie, machines, astronomie.
Veilhan, Achille (1818-1868)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a>
Consultation sur rendez-vous
3 manuscrits
français
Manuscrits
III 3B (1837-1839)
1837-1839
Fonds Adhémar Jean Claude Barré de Saint-Venant (1797-1886)
Génie rural
Mécanique
Ecole Nationale des Ponts et Chaussées
Résistance des matériaux
Géométrie
Adhémar Barré de Saint-Venant, né le 6 fructidor an V (soit le 23 août 1797) au château de Fortoiseau, à Villiers-en-Bière (Seine-et-Marne) et mort le 6 janvier 1886 à Saint-Ouen (Loir-et-Cher), est un ingénieur, physicien et mathématicien français.<br />Fils de Jean Barré de Saint-Venant (1737-1810), officier, colon à l’Île de Saint-Domingue, et de Marie-Thérèse Joséphine Laborie, il entre 2e à l’École polytechnique en 1813, est classé 1er à la fin de la première année, et en sort 6e. Élève de Gay-Lussac, il se passionne d’abord pour la chimie, ce qui le conduit à opter, à sa sortie, pour le service des poudres et salpêtres (qui est devenue l'École nationale supérieure de techniques avancées), où il se signale par la découverte d’un procédé rapide de dosage du chlore. Au bout de sept ans, il obtient de changer de carrière et d’entrer à l’École des ponts et chaussées d’où il sort premier en 1825.<br />Envoyé à Guéret comme ingénieur, il s’y fait remarquer par la construction d’un pont en charpente sur la Creuse, où il fait intervenir pour la première fois la théorie du « glissement » qu’il devait développer plus tard, et qui assoit sa réputation de physicien et de mathématicien.<br />Il est ensuite attaché au service du canal d’Arles, puis à celui du canal du Nivernais, et enfin au service de l’Yonne. Hydraulicien reconnu, il est cependant nommé en 1843 ingénieur en chef et attaché à la voirie (le "pavé") de la ville de Paris, où il contribue à faire accepter le principe des plantations d’arbres le long des grandes avenues. En 1848, il est mis à la retraite par le gouvernement provisoire. Il se voit confier, en 1850, le cours de génie rural de l’Institut agronomique. Cette institution ayant été supprimée en 1852, il rentre dans la vie privée tout en continuant ses travaux scientifiques qui donnent lieu à de nombreuses publications.<br />Bien qu’il n’ait jamais eu d’attaches professionnelles ou personnelles avec la Sologne, il s’intéresse très tôt à cette région alors réputée pour son insalubrité et sa misère, par pure philanthropie. En octobre 1826, il effectue un premier voyage dans la région, puis un second en 1828. Il conçoit alors le projet d’un canal permettant d’amener en Sologne la marne des confins du Berry, et les eaux chargées de marne de la Sauldre en vue de l’irrigation d’une partie de la région. En 1844, au cours d’un troisième voyage, il parfait son enquête et dresse les plans du canal de la Sauldre, qu’il propose vainement au ministère des Travaux publics, mais qui sera, avec d’importantes modifications par rapport au projet initial, effectivement réalisé de 1848 à 1868, sans que personne ne se réfère alors ni à ses travaux, ni à son rôle en faveur de la Sologne.<br />De 1838 à 1849, Adhémar Barré de Saint-Venant présente divers mémoires à l'Académie des sciences, dont deux portant sur la résistance et la flexion des pièces solides, dans lesquelles il expose la fameuse théorie du « glissement » qui lui doit son nom. Parmi les nombreux travaux qui suivirent, deux retiennent l’attention des scientifiques : un mémoire sur la torsion des prismes (1855), et un autre sur la flexion (1856) où il montre les déformations éprouvées par un corps cylindrique ou prismatique (« problème de Saint-Venant »). On lui doit encore de nombreuses publications (<em>La question du choc des barres</em>, 1853-1866 ; <em>La théorie générale de l’élasticité</em>, 1868 ; <em>Du roulis sur mer houleuse</em>, 1871, etc.). Toutes ces études lui valent d’être reçu en 1868 à l’Académie des sciences.<br />À partir de 1871 il publie une série d'articles sur les écoulements dans les cours d'eau qui donneront leur nom aux équations de Saint-Venant. Par la suite il continuera à s'intéresser à la mécanique des fluides.<br />Il est fait chevalier de la Légion d'honneur le 25 avril 1847, puis officier de la Légion d'honneur le 13 août 1865.<br />En 1869, Adhémar Barré de Saint-Venant avait reçu du pape Pie IX le titre de comte. Il est par ailleurs président de la Société archéologique du Vendômois ; à ce titre, il fait paraître en 1863 un <em>Rapport sur le projet de rédaction d’un dictionnaire géographique de l’arrondissement de Vendôme</em>, qui devait servir de point de départ à son fils Raoul (1845-1920) pour son <em>Dictionnaire topographique, historique, biographique, généalogique et héraldique du Vendômois</em> (3 volumes, 1914-1917).<br />Il est enfin le maître de Alfred-Aimé Flamant et de Joseph Boussinesq.<br /><br /><strong>Contenu</strong> : <br />-Notes prises aux cours de l’Ecole polytechnique de 1813 à 1816, dont ceux donnés par GAY-LUSSAC (chimie en 1813 et physique en 1815)<br />-Notes prises aux «leçons de mécanique» données par NAVIER à l’Ecole polytechnique en 1834 et 1837<br />-Institut Agronomique de Versailles (4 boîtes). Mission, organisation, programmes, leçons de génie rural, etc.<br />-Cours donnés à l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées(3 boîtes)<br />-Notes de recherche (mécanique, résistance des matériaux, géométrie, mathématiques, etc.)<br />-notes de lecture, manuscrits non publiés, etc.<br /><br />
Barré de Saint-Venant, Adhémar-Jean-Claude de (1797-1886)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
Informations complémentaires sur Barré de Saint-Venant dans le <a href="http://journals.openedition.org/sabix/597" target="_blank">Bulletin SABIX no 9</a>
52 boîtes
français
Archives
Manuscrits
IX SV
1759-1899