Albert Strupler (1871-1947)
<div style="text-align: justify;">Albert Strupler (1871-1947), né à Schaffhausen (Suisse), fréquente le Polytechnicum de Zürich d’octobre 1889 à août 1893 ( Chemisch-technische Schule ), au sein d’une promotion européenne d’étudiants, et sort diplômé ingénieur-chimiste (Technischer Chemiker) le 3 août 1893, avec une thèse rédigée en français. Docteur en chimie de l’université de Genève en 1895, il fut employé en qualité d’ingénieur-chimiste jusqu’à sa retraite en 1936, tant en France (Fontaines-sur-Saône, Creil, Villeneuve, Oissel), qu’en Allemagne (Höchst-an-Main), en Suisse (Bâle) ou en Angleterre (Manchester). Il spécialisa ses recherches de chimie appliquée dans la fabrication de matières colorantes (Indigo synthétique, Vert malachite, Vert acide, auramine notamment) et dans les procédés de teinture. Il est naturalisé français après la première guerre mondiale. <br />Le fonds 297 J conserve tous ses protocoles et procédés de fabrication développés dans les laboratoires de Villeneuve (1918-1919) et d’Oissel (1920- 1935).
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Strupler, Albert (1871-1947)
Librement communicable
0,25 ml
Français
Allemand
Anglais
Archives
297 J
1856-1974
Jean-René Claudel (1935-1976)
Spéléologie
<div style="text-align: justify;">Jean-René Claudel (1935-1976), expert comptable de profession, est un passionné d’archéologie. Vice-président du Groupe spéléo-préhistorique vosgien, il a participé à de nombreux chantiers de fouilles dans le département des Vosges. Il a travaillé notamment av ec Roger Ambruster, préhistorien vosgien, André Pierrot, président de la Société philomatique vosgi enne et conservateur de la bibliothèque de Saint-Dié-des-Vosges.</div>
Claudel, Jean-René (1935-1976)
Librement consultable
0,10 ml
français
Archives
97 J
Fonds Lucien Cordier (1923-1980)
Spéléologie
<div style="text-align: justify;">Lucien Cordier (1922-1980), originaire de Meurthe-et-Moselle, était un architecte passionné de spéléologie. Il obtient le diplôme de moniteur de l’École française de spéléologie en 1969 et adhère - sans doute à la fin des années 1940 - au groupe spéléo-préhistorique vosgien (GSPV ). Il y est chargé, dans un premier temps, des opérations topographiques du club : il cartographie les nombreuses cavités explorées par le club dans les Vosges et les départements limitrophes. Il devient président de l’association en 1956 et le reste jusqu’en 1971, date à laquelle il prend la tête du comité départemental de spéléologie, affilié à la Fédération française de spéléologie. Il est parallèlement nommé vice-président de la Ligue lorraine de spéléologie en 1975. <br />On lui doit un grand nombre d’articles dans<em> Le P’tit Minou</em>, la revue du GSPV, mais aussi dans le bulletin d’information de la Ligue lorraine de spéléologie, <em>Spéléo L</em>. Il rédige des articles variés consacrés aux explorations du GSPV, à l’organisation des secours en Lorraine (1977), aux techniques de spéléologie et de tracé des relevés topographiques.</div>
Cordier, Lucien (1923-1980)
Librement consultable
0,05 ml
français
Archives
272 J
1950-1980
Fonds du château du Plessis-Kaer
Chemin de fer
<div style="text-align: justify;">Les documents de ce fonds datent essentiellement du 19e et du début du 20e siècle, période pendant laquelle la famille Caillot-Jacqmin est propriétaire du Plessis-Kaër. Cet ensemble comporte : - les papiers de famille : famille Jacqmin et alliées, Despatys, Marquis, Mouton, documents généalogiques, correspondance privée (1869-1933), documents et rapports professionnels (ponts et chaussées, chemin de fer), guerre de 1870. - les titres de propriété et les documents concernant la gestion du domaine : château du Plessis-Kaër (1871-1927), lais de mer et parcs à huîtres, ferme de Lomarech (1454-1820), métairies (1879). - les dossiers de la rénovation du château (1870-1885).</div>
Familles Caillot et Jacqmin
accès libre
5 m.l.
français
Archives
119 J
XIXe s.
Fonds Marius Poussibet (1885-1967)
Agriculture
<div style="text-align: justify;">Marius Poussibet est né à Nice le 28 août 1885. Il s'oriente très tôt vers l'agronomie en suivant les cours de l'école pratique d'agriculture de Valabre (Bouches-du-Rhône) dont il sort major. Il obtient ensuite le titre d'ingénieur de l'école nationale supérieure d'agronomie de Montpellier et est nommé professeur à l'école supérieure d'agronomie d'Aix-en-Provence. Après 19 ans de pratique agricole dans son exploitation de Saint-Raphaël en Provence (où il développe l'appellation des vins rosés d'origine Saint-Raphaël), il enseigne entre 1930 et 1940 à Ploërmel à l'école pratique d'agriculture, futur lycée agricole privé La Touche. Durant sa longue carrière de professeur, Marius Poussibet a rédigé plus de 21 cours touchant à tous les domaines de l'agriculture : botanique, cultures potagères, arboriculture, viticulture, machines agricoles, zoologie, aviculture, économie rurale. Le contenu se révèle précieux pour l'histoire de ce domaine et de ses techniques. Durant la seconde guerre mondiale, il est chef de section à la direction départementale des services agricoles du Morbihan, puis chroniqueur scientifique du journal Le Ploërmelais de la Libération à 1957. Marius Poussibet est mort à Ploërmel en octobre 1967. Le fonds est constitué en majeure partie des cahiers consacrés à l'enseignement. La seconde partie comprend des chroniques écrites pour le journal Le Ploërmelais durant les années 1939-1957.</div>
Poussibet, Marius (1885-1967)
accès libre
Ce fonds comporte 150 cahiers manuscrits.
français
Archives
151 J
1902-1957
Fonds Auguste Leson (1883-1953)
Electricité
<div style="text-align: justify;">Ingénieur électricien, Auguste Leson (1883-1953) s'est vu confier la gestion du chantier de construction du barrage de Guerlédan, puis de l'usine et enfin des lignes de distribution. De promoteur et constructeur, il devient ingénieur puis exploitant du barrage et de l'usine en sa qualité de directeur de la société Union hydroélectrique armoricaine. Après les nationalisations de 1946, Auguste Leson rentre au service d'Electricité de France qui lui confie un autre site, l'usine marémotrice de la Rance. ll meurt à Pontivy le 27 novembre 1953.</div>
Leson, Auguste (1883-1953)
accès libre
8 cahiers
français
Archives
199 J
1919-1944
Le devoir de l'arpenteur ou la parfaite connaissance des mesures
Mesures
Géométrie
Arpentage
Manuscrit intitulé « Le devoir de l'arpenteur ou la
parfaite connaissance des mesures » rédigé par Pierre Paul Carlier, arpenteur juré et notaire royal à Tracy-le-Mont (1743). Ce document est illustré de nombreux croquis.
Carlier, Pierre Paul (XVIIIe siècle)
1 pièce
Français
Manuscrits
1 J 3611
Fonds Seguin Ainé (1786-1875)
Ponts suspendus
Chemins de fer
Mécanique
<div style="text-align: justify;">Marc Seguin (1786-1875), dit « Seguin Aîné » est un scientifique, inventeur, ingénieur et entrepreneur français. Disciple de Joseph de Montgolfier dont il est le petit-neveu, œuvrant en étroite collaboration avec ses quatre frères, il expérimente en 1822 le premier pont suspendu à fil de fer au monde au-dessus de la Cance puis construit sur ce modèle, en 1825, à Tournon-sur-Rhône, le premier grand pont suspendu d'Europe continentale. Il brevette en 1827 la chaudière tubulaire conçue pour des bateaux à vapeur navigant sur le Rhône, et deux ans après, il applique cette invention aux locomotives à vapeur. La locomotive Seguin fait ses premiers tours de roue le 1er octobre 1829, quelques jours avant la Rocket de George Stephenson. Auteur de très nombreuses publications scientifiques qu'il signe Seguin Aîné, il est élu en 1845 correspondant de l’Académie des sciences, dans la section de mécanique.</div>
Seguin, Marc, dit Seguin Aîné (1786-1875)
<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Marc_Seguin#Personnalit%C3%A9" target="_blank" rel="noopener">Marc Seguin sur Wikipédia</a>
Librement communicable
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/1021">Fonds d'archives Seguin à Varagnes</a>
Français
Archives
41 J
Fonds Baudouin Jurdant (né en 1942)
<div style="text-align: justify;">Baudouin Jurdant (né en 1942) est spécialiste des questions théoriques posées par la vulgarisation scientifique. D'abord journaliste il est diplômé de lettres, de sociologie et de psychologie. <br />Les domaines de recherche de Baudouin Jurdant sont très divers. Il est l’un des premiers penseurs français à avoir posé la question de la vulgarisation scientifique avec une approche théorique. Son expertise en sociologie et en philosophie des sciences l'amène à plaider pour un rapprochement entre science et grand public.<br />Directeur du Groupe d'Etudes et de Recherches sur la Science de l'université Louis Pasteur (GERSULP), il est également membre d’autres laboratoires et unités de recherche au sein de l’université Louis Pasteur, tels que le Centre de Recherches Transdisciplinaires sur les Sciences et les Techniques (CRTST), ou encore l’Institut de Recherche sur les Fondements des Sciences et des Techniques (IRFEST). Il quitte l'université Louis Pasteur en 1997 pour rejoindre Paris 7.<br />Le fonds se compose de documents administratifs liés à ses activités professionnelles en tant que directeur du GERSULP et en tant qu’enseignant à l’université Louis Pasteur. On y trouve de nombreux documents témoignant de ses activités scientifiques tout au long de sa carrière au sein de l’université de Strasbourg, des dossiers de projets de recherche entrepris dans le cadre du GERSULP, mais aussi de recherches plus personnelles. Le fonds contient également une grande partie de ses publications scientifiques, des notes manuscrites, des carnets de notes et des répertoires, des bandes magnétiques et des disquettes, sa correspondance à la fois scientifique et professionnelle, ainsi qu'une importante collection de publications et de documentation scientifique.</div>
Jurdant, Baudouin (né en 1942)
<div style="text-align: justify;">Une grande majorité du contenu du fonds est immédiatement communicable. Cependant, un certain nombre de documents du fonds contiennent des données sensibles et sont soumis à des délais de communicabilité, définis par la loi du 15 juillet 2008.</div>
4,9 ml
Français
Anglais
Autres langues
Archives
2244 W
1962-1998
Bibliothèque Schwilgué
<div style="text-align: justify;">Ce fonds est constitué de plus de 300 ouvrages (livres, tirés à part et revues) et des manuscrits de l’ingénieur horloger Jean-Baptiste Schwilgué (1776-1856). C’est la présence de ces documents qui a donné son nom au fonds, bien qu’il s’agisse de la bibliothèque des frères Albert (1813-1879) et Théodore (1822-1885) Ungerer, élèves de Schwilgué qui reprirent l’entreprise en 1858, et non de la bibliothèque proprement dite de Schwilgué. <br />On y trouve essentiellement des ouvrages techniques d’horlogerie, du XVIIe au XXe siècle, des descriptions d’horloges et de mécanismes fonctionnant dans le monde entier ainsi que des ouvrages sur l’histoire de l’horlogerie.</div>
Schwilgué, Jean-Baptise (1776-1856)
Ungerer, Albert (1813-1879)
Ungerer Théodore (1822-1885)
L’ensemble de ce fonds est librement communicable et reproductible.
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/924" target="_blank" rel="noopener">Fonds de l’entreprise d’horlogerie Ungerer aux archives départementales du Bas-Rhin</a>
2,84 ml
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Danois
Norvégien
Suédois
Latin
Ouvrages imprimés
Manuscrits
Tirés à part
170 J
1664-1982