Fonds Albert Caquot (1881-1976)
Aéronautique
Mécanique
Génie civil
<div style="text-align: justify;">Élève de l'École Polytechnique (Promotion 1899).</div>
<div style="text-align: justify;">Albert Irénée Caquot, né le 1er juillet 1881 à Vouziers (Ardennes) et mort le 28 novembre 1976 à Paris, a été considéré comme « le plus grand des ingénieurs français vivants » pendant un demi-siècle.</div>
<div style="text-align: justify;">Il est croix de guerre 1914-1918, membre de l'Académie des sciences (1934-1976), grand-croix de la Légion d’honneur (1951) et titulaire de nombreuses décorations étrangères (notamment DSO et ordre de Saint-Michel et Saint-Georges britanniques et Distinguished Service Medal des États-Unis).</div>
<div style="text-align: justify;">Doté d’une faculté d’invention féconde et variée, son génie mécanicien et visionnaire s’applique aussi bien à la construction aéronautique naissante qu’à la réalisation d’ouvrages en béton armé, avec plus de trois cents ponts et barrages de tous types dont plusieurs ont été des records du monde, et des œuvres de génie civil les plus variées. Il est un exemple des premières décennies du XXe siècle qui ont vu de jeunes intelligences issues des milieux les plus divers manifester la volonté de s’élever dans la société en s’illustrant dans les sciences s'appliquant à l’art de construire.</div>
<div style="text-align: justify;"><br />Contenu :</div>
<div style="text-align: justify;">-Manuscrits et imprimés</div>
<div style="text-align: justify;">-Éléments biographiques</div>
<div style="text-align: justify;">-Notes, travaux et textes de conférences</div>
<div style="text-align: justify;">-Photothèque</div>
Caquot, Albert (1881-1976)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a>
Consultation sur rendez-vous
3 boîtes
français
Archives
Photographies
Ouvrages imprimés
IX AC
1881-1997
Le devoir de l'arpenteur ou la parfaite connaissance des mesures
Mesures
Géométrie
Arpentage
Manuscrit intitulé « Le devoir de l'arpenteur ou la
parfaite connaissance des mesures » rédigé par Pierre Paul Carlier, arpenteur juré et notaire royal à Tracy-le-Mont (1743). Ce document est illustré de nombreux croquis.
Carlier, Pierre Paul (XVIIIe siècle)
1 pièce
Français
Manuscrits
1 J 3611
Collection Albert Châtelet
Acoustique
Mécanique
Théorie des nombres
Aviation
Algèbre
Géométrie
Le fonds rassemble tous les documents porteurs d’un ex-libris imprimé d’Albert Châtelet : supports de travail et d’enseignement, correspondance avec d’autres chercheurs, rapports et tirés à part. <br />On peut y trouver une série de rapports rédigés sous la Première Guerre Mondiale par Ernest Esclangon pour la Commission de Gâvre, une traduction manuscrite anonyme de « "Neue Geometrie des Raumes » de Julius Plücker, ainsi qu’une correspondance accompagnée d’un support de cours d’André Martinot-Lagarde, professeur de mécanique à l’Institut de mécanique des fluides de l’Université de Lille.
Après avoir enseigné les mathématiques et la mécanique rationnelle à Tours, Toulouse et Lille et travaillé pour la Mission du Tir Aérien de Gâvre sous la Première Guerre Mondiale, Albert Châtelet devient en 1924 recteur de l’Académie de Lille, où il se montre très dynamique dans la reconstruction d’infrastructures étudiantes et hospitalières et la diffusion de méthodes nouvelles. Il sera chargé de l’enseignement du second degré sous le Front Populaire. <br />Après l’Occupation, il est nommé à la chaire d’arithmétique et théorie des nombres de la faculté des sciences de Paris. Il est candidat de la gauche face à Charles de Gaulle lors des élections de 1958, et a mené le comité anticolonial Audin. <br />Auteur de plusieurs manuels, Albert Châtelet a grandement contribué à diffuser les recherches de l’école allemande sur la théorie des nombres et la théorie des groupes.
Châtelet, Albert (1883-1960)
Communication libre sur demande.
2 boîtes
français
CHA
1895-1954
Fonds Pierre Chevenard (1888-1960)
Métallurgie industrielle
Pierre Chevenard est né le 31 décembre 1888 à Thizy (Rhône), où son père, mort peu après, possédait une usine. Pierre sort premier de l'Ecole nationale des Mines de Saint-Etienne en 1910 et est engagé par la Société de Commentry-Fourchambault et Decazeville, d'abord à Decazeville, puis à l'aciérie d'Imphy (janvier 1911). Le directeur Henri Fayol le charge de diriger de créer et diriger un service de recherches pour les fabrications spéciales. Chenevard publie les résultats de ses recherches scientifiques dans la Revue de métallurgie dès 1914. Il est reçu à l'Académie des Sciences en 1946 et devient commandeur de la Légion d'Honneur en 1954
Chenevard, Pierre (1888-1960)
<a href="http://archives.nievre.fr/ark:/60877/a011322559663PfLTIS">Inventaire en ligne</a>
Consultation sur place
96 boîtes, 1 liasse
10, 20 ml
français
Archives
Photographies
95 J 1 - 95 J 403
1865-1978
Jean-René Claudel (1935-1976)
Spéléologie
<div style="text-align: justify;">Jean-René Claudel (1935-1976), expert comptable de profession, est un passionné d’archéologie. Vice-président du Groupe spéléo-préhistorique vosgien, il a participé à de nombreux chantiers de fouilles dans le département des Vosges. Il a travaillé notamment av ec Roger Ambruster, préhistorien vosgien, André Pierrot, président de la Société philomatique vosgi enne et conservateur de la bibliothèque de Saint-Dié-des-Vosges.</div>
Claudel, Jean-René (1935-1976)
Librement consultable
0,10 ml
français
Archives
97 J
Album des ouvrages d’art et bâtiments du chemin de fer de La Réunion (vers 1878)
Chemin de fer
Ponts
Ouvrages d'art
<div style="text-align: justify;">Le projet d’un chemin de fer reliant Saint-Pierre à Saint-Benoît capable de transporter les marchandises, et notamment la canne à sucre, combiné à un port en eau profonde, situé à la Pointe des Galets, vit le jour en 1875. La compagnie du Chemin de fer et port de La Réunion (CPR) fut fondée le 29 février 1878 et les travaux commencèrent la même année sur les terrains concédés par l’Etat. La ligne fut inaugurée en 1882. Après de nombreuses difficultés, la compagnie du CPR passa sous régie départementale en 1951, sous le nom de compagnie du Chemin de fer de La Réunion (CFR), le port étant désormais géré par la Chambre de commerce. Les lignes furent progressivement fermées entre 1955 et 1976. <br /><br />L'album compte 78 planches gravées, numérotées de 1 à 78. Il ne comporte ni page de titre ni table. Les planches portent toutes l'intitulé de la Compagnie du chemin de fer et du Port de La Réunion, créée en 1878. Elles ont sans doute été gravées vers 1878 sur la base des prospections et relevés des années précédentes. Après une planche de « profils en travers types », les planches de l'album décrivent les ouvrages d'art de Saint-Benoît à Saint-Pierre (plans, profils, coupes, vues intérieures, élévations). L'album s'achève sur des planches de bâtiments (gares de 1e, 2e et 3e classe, disposition des voies en gare, halle à marchandise, remise à voitures).</div>
Compagnie du chemin de fer et du Port de La Réunion (crée en 1878)
Un lien de téléchargement des planches numérisées est fourni sur simple demande.
Un album relié de 52 x 52 x 8 cm.
Ressources iconographiques
118 FI
vers 1878
Fonds des Manuscrits de la bibliothèque centrale du Conservatoire national des arts et métiers
Sciences -- Histoire
Techniques -- Histoire
<div style="text-align: justify;"><span>Jusqu'en 2010, les manuscrits conservés par la bibliothèque centrale du Conservatoire national des arts et métiers étaient versés aux imprimés, sans par ailleurs être signalés de manière spécifique ; depuis, un inventaire a été établi pour créer un fonds clairement identifiable et oeuvrer à son signalement dans Calames. Ces documents, fruits d'acquisition ou de don, illustrent l'histoire du Conservatoire national des arts et métiers, dans toute sa diversité : des notes de cours aux recueils de dessin, des catalogues de textile aux journaux d'expérience, des traités de construction civile ou militaire aux mémoires techniques ; le fonds des manuscrits du Cnam est une source vivante pour l'histoire des sciences et des techniques.</span></div>
Conservatoire national des arts et métiers
Calames
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'accès :</strong> <br />Accès soumis à autorisation ; communication sur rendez-vous. Écrire à bib.patrimoine[@]cnam.fr ou renseigner le formulaire de demande en ligne.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'utilisation :<br /></strong>Toute publication ou reproduction est soumise à autorisation.<strong><br /></strong></div>
Fonds vivant, en cours d'accroissement
Manuscrits
Fonds Lucien Cordier (1923-1980)
Spéléologie
<div style="text-align: justify;">Lucien Cordier (1922-1980), originaire de Meurthe-et-Moselle, était un architecte passionné de spéléologie. Il obtient le diplôme de moniteur de l’École française de spéléologie en 1969 et adhère - sans doute à la fin des années 1940 - au groupe spéléo-préhistorique vosgien (GSPV ). Il y est chargé, dans un premier temps, des opérations topographiques du club : il cartographie les nombreuses cavités explorées par le club dans les Vosges et les départements limitrophes. Il devient président de l’association en 1956 et le reste jusqu’en 1971, date à laquelle il prend la tête du comité départemental de spéléologie, affilié à la Fédération française de spéléologie. Il est parallèlement nommé vice-président de la Ligue lorraine de spéléologie en 1975. <br />On lui doit un grand nombre d’articles dans<em> Le P’tit Minou</em>, la revue du GSPV, mais aussi dans le bulletin d’information de la Ligue lorraine de spéléologie, <em>Spéléo L</em>. Il rédige des articles variés consacrés aux explorations du GSPV, à l’organisation des secours en Lorraine (1977), aux techniques de spéléologie et de tracé des relevés topographiques.</div>
Cordier, Lucien (1923-1980)
Librement consultable
0,05 ml
français
Archives
272 J
1950-1980
Fonds Paul Dislère (1840-1928)
École Polytechnique
Génie maritime
<div style="text-align: justify;">Paul Dislère, né à Douai le 1er décembre 1840, mort le 7 avril 1928, est un polytechnicien français, fils d'Augustin Félix Joseph Dislère et de Sophie Augustine Thérèse Vanhacken. Il est décédé à Paris, à la suite d'un accident de la circulation en avril 1928. <br />Polytechnicien (promotion 1859), ingénieur naval et grand administrateur français, maître des requêtes, conseiller d'État, président de section des Finances puis de l'Intérieur et du Culte au Conseil d'État, il est le rédacteur de la loi de séparation de l'Église et de l'État. Il est président de section honoraire du Conseil d'État le 1er octobre 1911.<br /> Cette acquisition se compose de 87 lettres de Paul Dislère écrites entre 1859 et 1861 (à l’École polytechnique) et de 27 lettres à sa mère entre 1871 et 1875. Le lot comportait également un dossier sur la généalogie de la famille Dislère.</div>
Dislère, Paul (1840-1928)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia ; article d'Olivier Azzola dans le <a href="http://journals.openedition.org/sabix/1089" target="_blank">Bulletin SABIX, no 51</a>
Consultation sur rendez-vous
1 pochette
français
Archives
IX DISLERE
1859-1861, 1872-1875
Fonds Duhamel du Monceau, Duhamel de Denainvillers, Fougeroux de Bondaroy, Fougeroux de Secval
Agriculture
Pêche
Botanique
Fonderies
Ardoise
Arts et métiers
<p style="text-align: justify;">Henry-Louis Duhamel du Monceau (1700-1782) fit des études scientifiques au jardin du Roy, actuel jardin des plantes, en 1724. Associé-botaniste à l’Académie des sciences en 1739, inspecteur général de la Marine en 1739, membre de l’Académie des sciences de Paris et de la Société royale de Londres, Duhamel du Monceau écrivit en 1745 un <em>Essai sur la conservation des grains</em> et en 1747, un <em>Traité de la fabrique des manœuvres pour les vaisseaux ou l’art de la corderie perfectionnée</em>. On lui doit aussi un <em>Traité de la culture des terres</em> (1750), un <em>Traité général des forêts</em> (1755-1767), un <em>Traité des arbres fruitiers</em> (1768) ainsi qu’un <em>Traité général des pêches et histoire des poissons</em> (1763-1782). Il fonda en 1765, l’École des ingénieurs constructeurs de la Marine (génie maritime). <br />Son frère aîné, Duhamel de Denainvillers, qui hérita du domaine paternel, s’occupait dans ses terres, de culture d’arbres et d’expériences diverses. <br />Leur neveu, Auguste-Denis Fougeroux de Bondaroy (1732-1789) parcourut l’Anjou et la Bretagne afin d’étudier l’ardoise. À la mort de son oncle, il devint propriétaire du domaine du Monceau. Il fut membre de l’Académie des sciences et auteur de plusieurs traités et mémoires : <em>Art de tirer des carrières la pierre d’ardoise, de la fendre et de la tailler</em> (1762), <em>Mémoire sur la formation des os</em> (1763), <em>Observations faites sur les côtes de Normandie, avec Tillet</em> (1773). Il avait un frère, Fougeroux de Secval qui fut capitaine de vaisseau et inspecteur d’artillerie de la marine.</p>
<p> </p>
Duhamel du Monceau, Henry-Louis (1700-1782)
Duhamel de Denainvillers, Alexandre (1697-1775)
Fougeroux de Bondaroy, Auguste-Denis (1732-1789)
Fougeroux de Secval, André (1739-1819)
Archives nationales, Wikipedia
Conditions d'accès : libre
Les Archives nationales (site de Paris) conservent, sous la cote 145 Mi 1 à 9 [127 AP 8-19], le microfilm de documents conservés à la Houghton Library d’Harvard (dessins et descriptions de plantes, traités des arbres et des bois, botanique, Marine). La documentation sur les pêches rassemblée par Le Masson puis Duhamel du Monceau est répartie dans différentes bibliothèques, aux États-Unis (Houghton Library d’Harvard mais aussi American Philosophical Society de Philadelphie, Newberry Library de Chicago) ou en France (Bibliothèque municipale de Lyon, Académie des sciences à Paris).
8 cartons, 1 ml
français
Archives
127 AP
1700-1788