Collection des archives et des manuscrits de la bibliothèque Jacques Hadamard
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Enseignement
Aviation
Astronomie - enseignement
Le fonds rassemble toutes les archives stockées dans les magasins de la bibliothèque mathématique depuis sa création et ne portant pas de marques d’appartenance ou de dédicaces manuscrites explicites. On y trouve des publications scientifiques, de la littérature grise, des travaux préparatoires ; plusieurs jubilés et ouvrages dédiés à la figure d’un chercheur ; un fonds de notices scientifiques de chercheurs de toutes disciplines probablement envoyées dans le cadre d’une candidature à l’entrée du Collège de France ou de l’Académie des Sciences ; ainsi que différents rapports dactylographiés inédits et des lettres de chercheurs manuscrites.
Communication libre
Reproduction et diffusion autorisée à condition de respecter l'obligation de citation.
5 boîtes
français
allemand
anglais
russe
Manuscrits
Tirés à part
Ouvrages imprimés
BJH Ms
1921-1987
Fonds Cleuvenot, archives de géomètres vosgiens (XVIIIe s.-1878)
Cartes et plans
Géométrie
<div style="text-align: justify;">Le fonds entré par don aux Archives départementales des Vosges rassemble les derniers documents professionnels de la famille Poirot (Isidore Poirot, né à Légéville-et-Bonfays le 3 avril 1821, et son fils Alexandre Isidore Poirot, arpenteur forestier demeurant à Golbey). Le fonds contient de la documentation professionnelle, des tracés de routes et chemin, des plans parcellaires, des plans de forêts ou étangs, et des notes manuscrites</div>
Librement communicable
Français
Archives
49 J
(XVIIIe s.-1878)
Traités des grandeurs et d'algèbre ; notions sur les planisphères, les horloges, la calligraphie et la fonte des cloches
Algèbre
Planisphères
Horloges
Particularités physiques du manuscrit : Figures, reliure veau
Pour toute information sur la consultation de ce manuscrit, contactez le service Patrimoine :
mediatheque-patrimoine[@]orleans-mediatheque.fr.
492 feuillets
Dimensions : 435 × 280 mm
français
Manuscrits
Traités des grandeurs et d'algèbre ; notions sur les planisphères, les horloges, la calligraphie et la fonte des cloches - Ms. 433
XVIIIe siècle
Lettres autographes et mémoires lus à l'Académie d'Orléans
Académie d'Orléans
Lettres et autographes issus de la collection de l'abbé Pataud.
On y trouve parmi les nombreuses pièces celles de Berthollet, Cabanis, Chaptal, Jacques Antoine Joseph Cousin, Étienne Geoffroy-Saint-Hilaire, Pierre-André Latreille, Jacques Lieutaud,Jean-François Pilâtre de Rozier, Pierre Varignon
Catalogue des archives et manuscrits <a href="http://aurelia.orleans.fr/wrap/ead.html?id=FRCGMBPF-452346101-01a.xml&c=FRCGMBPF-452346101-01a.xml_D18014622&qid=eas1539606752137#!{%22content%22:[%22FRCGMBPF-452346101-01a.xml_D18014258%22,false,%22eas1539606752137%22],%22fragment%22:%22ead-fragment.xsp?c=FRCGMBPF-452346101-01a.xml_D18014622&qid=sdx_q0%22}" target="_blank">Aurelia</a>
Académie d'Orléans
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/711" target="_blank">Fonds de la Société d'Agriculture, Sciences, Belles lettres et Arts d'Orléans (Académie).</a>
Plusieurs cartons
français
latin
Archives
943-955 : Lettres autographes et mémoires lus à l'Académie d'Orléans
Mission nationale de sauvegarde et de valorisation du patrimoine scientifique et technique contemporain (PATSTEC)
Sciences
Techniques
<div style="text-align: justify;">Au cours des cinquante dernières années, les sciences et les technologies ont connu une évolution particulièrement rapide et occupent aujourd’hui une place de plus en plus importante dans nos sociétés. Les instruments scientifiques et techniques, témoins de cette recherche et de ces innovations, sont progressivement remplacés. Simultanément, un grand nombre de chercheurs, mémoire de ce demi-siècle d’évolution technique et scientifique, quittent la vie professionnelle. Au XXIe siècle, il est devenu nécessaire de sauvegarder et de valoriser ce patrimoine en le replaçant dans le cycle de l’innovation qui l’a vu naître. Il constitue pour demain l’un des outils privilégiés permettant à nos concitoyens de se familiariser avec les savoirs, les techniques et les innovations.
<p>La <strong>Mission nationale de sauvegarde et de valorisation du patrimoine scientifique et technique contemporain (PATSTEC)</strong> a pour objectif de préserver la mémoire des traces matérielles (instruments et documents) et immatérielles (savoir-faire des hommes et des femmes de la recherche), et de susciter des initiatives régionales de sauvegarde et de valorisation de ce patrimoine. Elle rassemble plus de dix-sept partenaires : laboratoires des universités et organismes de recherche publics et industriels, musées et Cnam régionaux et autres institutions nationales.</p>
<p class="Pa1">Les acteurs du réseau <strong>Patstec</strong> repèrent et trient les instruments selon leur intérêt scientifique, historique et patrimonial. L’ensemble des inventaires est versé dans la base de données nationale, consultable à partir du site de la mission. La mise en valeur de ce patrimoine fait aussi l’objet d’expositions, de manifestations et d’animations locales qui répondent à l’intérêt du public.</p>
<p>La <strong>Mission nationale</strong> poursuit sa réflexion sur le patrimoine scientifique et technique contemporain en développant des séminaires et des actions de recherches avec des laboratoires. Elle assure aujourd’hui un rôle de conseil et d’expertise, notamment pour la constitution des musées scientifiques et techniques, nouveaux musées encyclopédiques du XXIe siècle, et ouvre de nombreuses collaborations à l’international.<br /><br />Musée des arts et métiers - le Cnam<br />Mission nationale Patstec <br />292 rue Saint-Martin <br />75141 Paris cedex 03</p>
</div>
<a href="http://www.patstec.fr/PSETT" title="Accueil" target="_blank">http://www.patstec.fr/PSETT</a>
Objets
Ressources audiovisuelles
Ressources numériques
Années 1945 à nos jours
Fonds Paul Vieille (1854-1934)
Explosifs
Paul Marie Eugène Vieille, né le 2 septembre 1854 à Paris 11e et décédé à Paris le 14 janvier 1934 (à 79 ans), est un ingénieur et chimiste français, découvreur avec Marcellin Berthelot de l'onde explosive et inventeur de la poudre sans fumée (poudre blanche, poudre B) à base de nitrocellulose. <br />Si Paul Vieille est passionné par la physique, la chimie, la thermodynamique et la balistique, ses préférences vont à la mécanique. Sorti de l'École polytechnique en 1875, il choisit le corps militaire des ingénieurs des poudres et explosifs et entre au Service des études du Corps des poudres. De 1882 à 1913, il est répétiteur, professeur de physique et examinateur à l'École polytechnique ; il met fin à ces fonctions, par déontologie, au moment où son fils Henri intègre l'École en 1912.<br />En 1884, il invente la poudre sans fumée. Les avantages de celle-ci par rapport à l'ancienne poudre noire, la font rapidement adopter, tant pour les armes portatives que pour l'artillerie :<br />• elle réduit des deux tiers la quantité de poudre nécessaire au chargement des munitions d'infanterie et d'artillerie ;<br />• elle ne génère qu'un encrassement négligeable des armes ;<br />• ne générant plus de fumée, elle rend plus difficile le repérage de la zone d'où proviennent les tirs.<br />Dès 1886, la France l'utilise dans le fusil Lebel modèle 1886. Les autres puissances militaires de l'époque ne tarderont pas à suivre.<br />Pour ses travaux en mécanique, l'Académie des sciences lui décerne en 1887 le prix Montyon et en 1889 le prestigieux prix Leconte.<br />Il est nommé en 1904 ingénieur général des poudres et directeur du Laboratoire central des poudres et salpêtres à Paris. La même année, il est élu membre de l'Académie des sciences.<br />Il est élevé à la dignité de grand croix de la Légion d'honneur, le 28 décembre 1928. Ses insignes lui sont remis le 18 janvier 1929 par Louis Lépine.<br /><br /><strong>Contenu</strong> : Carnets de laboratoire de Paul Vieille (1881-1887, 1894) sur les poudres et explosifs et divers, notes
Vieille, Paul (1854-1934)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous.
2 boîtes
français
Archives
Manuscrits
IX POUDRES ET SALPÊTRES
Fonds AF3P, Association Française de Pyrotechnie, de l’Amicale des Ingénieurs des Poudres et de l’Association des Amis du Patrimoine Poudrier et Pyrotechnique
1881-1897
Papiers du capitaine Camille-Papin Tissot (1868-1917)
Télégraphie sans fil
<div style="text-align: justify;">Recommandé par son père, Camille Tissot entre à<a> l'École navale</a>, à<a> Brest </a>en 1884, il n’est alors âgé que de 16 ans.<br />Il fait ses classes sur le navire école<a> <span class="mw-redirect">Le <i>Borda</i></span> jus</a>qu’en 1886. Il est ensuite affecté au <a><span class="mw-redirect">port</span> de </a><a>Brest.</a><br />Dans les premières années de sa carrière dans la marine, il voyage beaucoup puisqu’en 1887 il embarque successivement sur le navire-école <i>Iphigénie</i>, sur le <i>Nive</i>, sur le <i>Bretagne</i>, sur le <i>Magellan</i>, puis en 1888, sur le <a>cuirassé </a><i>Océan</i>. Camille Tissot gardera un bel album photo souvenir de ses différentes expéditions et de ses expériences maritimes.<br />En 1890, il embarque sur le <a>croiseur </a>à<a> barbettes</a> <i>Primauguet</i>, puis sur le <i>Calédonien</i> ; pour finir il est affecté sur le croiseur <i>Coetlogon</i>, duquel il met définitivement sac à terre le 23 janvier 1891. Sur proposition de sa hiérarchie, et volontaire pour ce poste, il accepte d’occuper provisoirement une des chaires de <a>physique </a>et <a>chimie </a>de l'<a>École navale, </a>rendue vacante par l'absence de son titulaire.<br />Il restera en fait 21 ans <a><span class="mw-redirect">professeur</span> </a>à l'<a>École navale.</a><br />La passion des sciences lui ayant été transmise par son père, il obtient sans effort les grades de licencié ès-sciences physiques et licencié ès-sciences mathématiques pendant son service actif. C’est aussi en qualité d'<a>officier <span class="mw-redirect">professeur</span> à</a> l'<a>École navale </a>qu'il se consacre à l'étude des oscillations électriques et de leur application dans le domaine maritime, il fait d'ailleurs participer ses élèves-officiers à ses expérimentations.<br />Son côté passionné et quelque peu original lui vaut une caricature en ombre baille que l’on peut admirer aujourd’hui encore sur les murs du hall tradition du musée de l’École navale.<br />Il a écrit trois ouvrages très détaillés et clairs :
<ul>
<li>Mémoire de thèse de doctorat sur la résonance des antennes (1905).</li>
<li>Traité sur les oscillations électriques (1906)</li>
<li>Manuel de TSF théorique et pratique (1912), réédité jusqu’en 1932 (<abbr class="abbr" title="Sixième">6<sup>e</sup></abbr> édition).</li>
</ul>
<p>Il est aussi l’auteur de nombreux articles de vulgarisation de la <a>TSF </a>dans des revues scientifiques internationales, et donnera de très nombreuses conférences sur le sujet.<br />Bien que n’en étant pas membre, il intervient régulièrement devant l’<a>Académie des sciences, </a>et certaines de ces interventions sont de véritables <a>brevets </a>d’invention. Il reçoit plusieurs prix et récompenses de cette Académie.<br />Ses travaux lui ont valu d’être appelé à participer au Comité de <a>TSF </a>scientifique, comité dont il fut l’un des membres les plus compétents et écoutés. Il était aussi membre de plusieurs autres sociétés scientifiques à travers le monde.<br />Il est incontestablement un des inventeurs de la <a>TSF, </a>oublié par l’histoire comme d’autres savants aussi désintéressés que lui, tel <a>Eugène Ducretet </a>ou bien encore <a>Albert Turpain.<br /><br /><strong>Contenu :</strong> <br /></a></p>
<ul>
<li><a><span class="title" title="Cahiers d'expériences">Cahiers d'expériences</span></a></li>
<li><span class="title" title="Notes biographiques">Notes biographiques</span></li>
<li><span class="title" title="Notes biographiques"><span class="title" title="Cours à l'École de Télégraphie sans fil">Cours à l'École de Télégraphie sans fil</span></span></li>
<li><span class="title" title="Notes biographiques"><span class="title" title="Travaux postérieurs à 1914">Travaux postérieurs à 1914</span></span></li>
<li><span class="title" title="Notes biographiques"><span class="title" title="Correspondance et notes diverses">Correspondance et notes diverses</span></span></li>
</ul>
</div>
Tissot, Camille Papin (1868-1917)
<a href="http://www.calames.abes.fr/pub/ms/IF2C11787" title="Calames" target="_blank">CALAMES</a> et <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Camille_Papin_Tissot" title="wikipedia" target="_blank">Wikipedia</a>
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'accès :</strong> <br />Les chercheurs souhaitant être admis comme lecteurs doivent être présentés au directeur de la bibliothèque par deux membres de l'Institut.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'utilisation :</strong><br /> La publication de documents inédits est soumise à l'autorisation de la Commission des bibliothèques et archives de l'Institut de France.</div>
<div style="text-align: justify;">Papier. 25 cahiers. 260 × 220 mm, les quatre derniers 350 × 200 mm. Cartonnés.</div>
français
Archives
Manuscrits
Ms 2611-2635
1898-1917
Albert Strupler (1871-1947)
<div style="text-align: justify;">Albert Strupler (1871-1947), né à Schaffhausen (Suisse), fréquente le Polytechnicum de Zürich d’octobre 1889 à août 1893 ( Chemisch-technische Schule ), au sein d’une promotion européenne d’étudiants, et sort diplômé ingénieur-chimiste (Technischer Chemiker) le 3 août 1893, avec une thèse rédigée en français. Docteur en chimie de l’université de Genève en 1895, il fut employé en qualité d’ingénieur-chimiste jusqu’à sa retraite en 1936, tant en France (Fontaines-sur-Saône, Creil, Villeneuve, Oissel), qu’en Allemagne (Höchst-an-Main), en Suisse (Bâle) ou en Angleterre (Manchester). Il spécialisa ses recherches de chimie appliquée dans la fabrication de matières colorantes (Indigo synthétique, Vert malachite, Vert acide, auramine notamment) et dans les procédés de teinture. Il est naturalisé français après la première guerre mondiale. <br />Le fonds 297 J conserve tous ses protocoles et procédés de fabrication développés dans les laboratoires de Villeneuve (1918-1919) et d’Oissel (1920- 1935).
<div style="text-align: justify;"></div>
</div>
Strupler, Albert (1871-1947)
Librement communicable
0,25 ml
Français
Allemand
Anglais
Archives
297 J
1856-1974
Sorbonne Université. Bibliothèque (BSU)
Sorbonne Université est constituée d'un réseau de bibliothèques :<br />6 <a href="https://www.sorbonne-universite.fr/les-bibliotheques-de-lettres" target="_blank" rel="noopener">bibliothèques de lettres</a> ;<br />5 <a href="https://www.sorbonne-universite.fr/les-bibliotheques-de-medecine" target="_blank" rel="noopener">bibliothèques de médecine</a>, dont la Bibliothèque Charcot conservant notamment le fonds Jean-Martin Charcot et le fonds Achille Souques ;<br />2 <a href="https://www.sorbonne-universite.fr/les-bibliotheques-de-sciences-et-ingenierie" target="_blank" rel="noopener">bibliothèques de sciences et ingénierie</a>, dont les <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/969" target="_blank" rel="noopener">bibliothèques Mathématiques, Informatique, Recherche, MIR</a>)<br />de <a href="https://www.sorbonne-universite.fr/les-bibliotheques-associees">bibliothèques associées</a> : 21 littéraires et 11 scientifiques.<br /><br />La Bibliothèque de Sorbonne Université, riche d'un patrimoine considérable, le valorise, depuis 2021, à travers une bibliothèque numérique, <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/1012" target="_blank" rel="noopener">SorbonNum</a>.
Sorbonne Université. Bibliothèque (BSU)
Site de Sorbonne Université
Archives
Manuscrits
Ouvrages imprimés
Revues
Tirés à part
Photographies
Ressources numériques
Cartes
Objets
Archives de la Société d’émulation des Vosges (fondée en 1825)
Sociétés savantes
Agriculture
Antiquités
Industrie et économie
Météorologie
Catastrophes naturelles
<div style="text-align: justify;">La Société d’émulation des Vosges, fondée à Épinal le 8 janvier 1825 de la fusion de la Société d’agriculture et de la Société des antiquités, est re connue d’utilité publique par ordonnance royale du 28 octobre 1829, statut qu’elle partage aujourd’hu i avec trois autres associations dans le département des Vosges. <br />Le fonds contient des documents administratifs, des dossiers concernant les membres, ainsi que les activités scientifiques de la société.</div>
Société d’émulation des Vosges (fondée en 1825)
Librement communicable
3, 5 ml
française
Archives
8 J
1806-1948