Fonds de la Société anonyme des Chantiers nantais de constructions
Patrimoine industriel
Construction navale
<strong>Histoire :</strong> <br /><br />
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Le 27 avril 1899, plusieurs personnalités de l'armement nantais, parmi lesquelles Henri Le Cour Grandmaison, Eugène Pergeline, directeur de la Société des Voiliers nantais, ou encore Prosper Sevestre s'associent pour fonder la Société anonyme des Chantiers nantais de constructions maritimes. Située à Chantenay, près des chantiers Dubigeon, l'entreprise se spécialise dans la construction de grands voiliers destinés au commerce maritime. La direction de la société est confiée à Louis Tuauden, ancien ingénieur des Chantiers de la Loire. Un an à peine après sa création, l'<span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Amiral-Courbet</span></span>, premier voilier construit par les Chantiers nantais, sort des cales de Chantenay le 25 avril 1900.<br /><br /></div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Néanmoins, l'activité florissante est de courte durée, puisque dès 1902 l'entreprise se heurte aux premières difficultés, conséquences, entre autres, de la loi du 7 avril 1902 sur la marine marchande qui, en vue favoriser les navires à vapeur, diminue notablement les primes à la construction instaurées en 1893 pour les voiliers. Les Chantiers nantais poursuivent et réorientent leurs activités en construisant notamment quatre cargos vapeurs (<span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Belle-Île</span></span>, <span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Charles Le Cour</span></span>, <span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Longwy</span></span> et <span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Trignac</span></span>) pour le compte d'une société d'armement nouvellement créée, les Chargeurs de l'Ouest, dont les fondateurs des Chantiers nantais sont, pour partie, actionnaires.</div>
<p class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Néanmoins, après 1902, les difficultés s'accumulent – procès avec la société d'armement Celtique maritime concernant le navire <span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">Armen</span></span>, dernier voilier sorti des Chantiers en 1902, crise des commandes – contraignant les administrateurs à réduire puis cesser complètement l'activité en 1904. Au total, en deux années effectives d'existence, les Chantiers chantenaysiens auront construit 33 voiliers et 4 cargos.</p>
<strong>Présentation du contenu :</strong> <br /><br />Le fonds contient, pour l'essentiel, les dossiers de commandes de quelques-uns des voiliers et des cargos construits par l'entreprise. Composés de plans, devis, fiches de spécifications, ils permettent ainsi d'appréhender les principales étapes de construction des navires. Quelques documents renseignent également sur la vie de l'entreprise, notamment les comptes rendus d'assemblées générales qui témoignent des difficultés grandissantes de l'entreprise dans ses dernières années d'existence. Enfin, quelques dossiers concernant les équipements et l'outillage complètent le fonds d'archives. On notera également la présence de quelques plans, en particulier de chalutier, chaloupe, canot, <span class="pl-ead-emph"><span class="pl-ead-att-render-italic">etc. </span></span>, dont la provenance n'ayant pu être déterminée ont été regroupés sous l'intitulé « Autres constructions et documentation ».
Société anonyme des Chantiers nantais de constructions maritimes
<a href="https://archives.loire-atlantique.fr/jcms/chercher/inventaires-des-archives/cadre-de-classement-fr-p1_8559" target="_blank" rel="noopener">Cadre de classement des Archives départementales de Loire-Atlantique</a>
Nombre d'éléments : 26 boîtes
Métrage linéaire : 3,29 ml
français
Archives
043 J - Fonds de la Société anonyme des Chantiers nantais de constructions maritimes.
1895-1911
Fonds de la SEITA (Nantes)
Tabac
Patrimoine industriel
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;"><strong>Histoire :</strong> <br /><br />Les premières cigarettes françaises furent fabriquées en 1845 dans la manufacture de Tabac du Gros-Caillou, située à l'angle du quai d'Orsay et de la rue Surcouf, à Paris. C'est ici que s'implante en 1926 le SEITA (Service d'Exploitation Industrielle des Tabacs et des Allumettes), créé par Poincaré et destiné à remplir la Caisse Autonome d'Amortissement de la Dette publique. Pour se faire, la gestion du monopole des tabacs (1926) puis celle du monopole des allumettes (1935) lui sont successivement attribuées.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Responsable de la distribution des célèbres cigarettes « Gitanes » et « Gauloises », le SEITA est transformé en 1959 un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) avant de perdre le monopole de la culture du tabac en 1970 avec l'abolition des barrières douanières au sein du Marché Commun. En 1976, c'est le monopole d'importation et de commercialisation en gros des tabacs manufacturés en provenance des Etats membres de la CEE qui à son tour est supprimé. Les fabricants étrangers confient dorénavant la distribution de leur marque au SEITA dans le cadre de contrats.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Enfin, en 1980, le SEITA devient une société nationale (la SEITA) dont l'actionnaire unique est l'Etat avant d'être finalement privatisé en 1995. Fin 2000, la fusion entre la SEITA et l'espagnol Tabacalera donne naissance au Groupe Altadis, leader européen sur le marché des cigarettes et leader mondial du cigare.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">A Nantes, l'ancienne Manufacture des tabacs témoigne de l'ancrage de cette filière dans l'histoire économique locale. Succédant à des ateliers provisoires installés en 1857, la manufacture de Nantes est construite boulevard Stalingrad à Nantes, entre 1861 et 1865, par l'architecte Joseph Chenantais sur le modèle des manufactures Rolland pour répondre à l'accroissement de la consommation des cigares en France.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Dans l'histoire de la SEITA, l'établissement se distingue pour avoir expérimenté et fondé de nombreuses œuvres sociales : une société de secours mutuels en 1858, une crèche en 1861 ou encore un bureau d'Epargne en 1876. La qualité de ces œuvres incitera d'ailleurs l'Administration des Tabacs à ouvrir des services analogues dans la plupart des autres établissements manufacturiers.</div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Elle ferme néanmoins définitivement ses portes en 1974, un an après l'ouverture d'une nouvelle usine implantée sur la commune de Carquefou. Ses archives sont déposées aux Archives départementales avant une campagne de réhabilitation menée par la ville de Nantes au début des années 1980. L'ancienne manufacture est alors transformée en structure mêlant un pôle municipal, des services de proximité ainsi que des équipements répondant à des besoins municipaux plus précis tels qu'une maison des associations ou une auberge de jeunesse.<br /><br /><strong>Présentation du contenu :</strong><br /><br />Les archives d'entreprise de la Manufacture des Tabacs de Nantes rassemblent notamment les registres de conférence du personnel supérieur, sorte de carnet de bord de l'entreprise, particulièrement digne d'intérêt du point de vue historique. On notera aussi la présence des dossiers "domaines" permettant de suivre les étapes de la construction de la manufacture ainsi que de très riches archives du personnel (registres matricule et correspondance).</div>
Service d'Exploitation Industrielle du Tabac et des Allumettes. Manufacture des Tabacs de Nantes
<a href="https://archives.loire-atlantique.fr/jcms/chercher/inventaires-des-archives/cadre-de-classement-fr-p1_8559" target="_blank" rel="noopener">Cadre de classement des Archives départementales de Loire-Atlantique</a>
Non communicable.
Reproduction soumise à autorisation du déposant
9,60 mètres linéaires
français
Archives
5 ET et 29 ET - Fonds de la SEITA, 1857-1973
1857-1973
Fonds Seguin Ainé (1786-1875)
Ponts suspendus
Chemins de fer
Mécanique
<div style="text-align: justify;">Marc Seguin (1786-1875), dit « Seguin Aîné » est un scientifique, inventeur, ingénieur et entrepreneur français. Disciple de Joseph de Montgolfier dont il est le petit-neveu, œuvrant en étroite collaboration avec ses quatre frères, il expérimente en 1822 le premier pont suspendu à fil de fer au monde au-dessus de la Cance puis construit sur ce modèle, en 1825, à Tournon-sur-Rhône, le premier grand pont suspendu d'Europe continentale. Il brevette en 1827 la chaudière tubulaire conçue pour des bateaux à vapeur navigant sur le Rhône, et deux ans après, il applique cette invention aux locomotives à vapeur. La locomotive Seguin fait ses premiers tours de roue le 1er octobre 1829, quelques jours avant la Rocket de George Stephenson. Auteur de très nombreuses publications scientifiques qu'il signe Seguin Aîné, il est élu en 1845 correspondant de l’Académie des sciences, dans la section de mécanique.</div>
Seguin, Marc, dit Seguin Aîné (1786-1875)
<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Marc_Seguin#Personnalit%C3%A9" target="_blank" rel="noopener">Marc Seguin sur Wikipédia</a>
Librement communicable
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/1021">Fonds d'archives Seguin à Varagnes</a>
Français
Archives
41 J
Fonds d'archives Seguin à Varagnes
Révolution industrielle
<p>Marc Seguin (1786-1875), dit « Seguin Aîné » est un scientifique, inventeur, ingénieur et entrepreneur français. Disciple de Joseph de Montgolfier dont il est le petit-neveu, œuvrant en étroite collaboration avec ses quatre frères, il expérimente en 1822 le premier pont suspendu à fil de fer au monde au-dessus de la Cance puis construit sur ce modèle, en 1825, à Tournon-sur-Rhône, le premier grand pont suspendu d'Europe continentale. Il brevette en 1827 la chaudière tubulaire conçue pour des bateaux à vapeur navigant sur le Rhône, et deux ans après, il applique cette invention aux locomotives à vapeur. La locomotive Seguin fait ses premiers tours de roue le 1er octobre 1829, quelques jours avant la Rocket de George Stephenson. Auteur de très nombreuses publications scientifiques qu'il signe Seguin Aîné, il est élu en 1845 correspondant de l’Académie des sciences, dans la section de mécanique.<br /><br />Varagnes a été vouée par Marc Seguin à la recherche, la création et l’innovation. Les différentes pièces sont autant d'outils de la démarche créative: atelier de mécanique, laboratoire de chimie, forge, bibliothèque, atelier d’artiste, salle de "classe", observatoire sans oublier les instruments scientifiques, les livres, les archives et les roches et minéraux etc. Inventeurs, artistes, entrepreneurs s'y croisaient pour mettre en oeuvre leurs talents. Il est presque impossible de citer les domaines qui y ont été abordés: électricité, calorique, optique, photographie, accoustique, astronomie, cinéma, peinture, sculpture, théâtre, poésie etc ,etc.<br /><br />Les archives de Varagnes en symbiose étroite avec tous les outils, instruments, prototypes et objets achevés ou en devenir, parfois dans des recoins insoupçonnés, témoignent d'une effervescence scientifique, technique et artistique poursuivie sur plusieurs générations.</p>
<p></p>
Seguin, Marc (1786-1875)
Laurent Ducol, Valérie Lefevre-Seguin, Lisa Fontaine, "Le fonds d'archives Seguin à Varagnes", dans la revue Archivistes!, no 141, juillet-septembre 2022
Site web de la Fondation Seguin : <a href="https://fondationseguin.fr/index.php/fr/varagnes" target="_blank" rel="noopener">https://fondationseguin.fr/index.php/fr/varagnes</a>
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/934">Fonds Marc Seguin</a> aux Archives départementales de l'Ardèche
français
Archives
Bibliothèque Schwilgué
<div style="text-align: justify;">Ce fonds est constitué de plus de 300 ouvrages (livres, tirés à part et revues) et des manuscrits de l’ingénieur horloger Jean-Baptiste Schwilgué (1776-1856). C’est la présence de ces documents qui a donné son nom au fonds, bien qu’il s’agisse de la bibliothèque des frères Albert (1813-1879) et Théodore (1822-1885) Ungerer, élèves de Schwilgué qui reprirent l’entreprise en 1858, et non de la bibliothèque proprement dite de Schwilgué. <br />On y trouve essentiellement des ouvrages techniques d’horlogerie, du XVIIe au XXe siècle, des descriptions d’horloges et de mécanismes fonctionnant dans le monde entier ainsi que des ouvrages sur l’histoire de l’horlogerie.</div>
Schwilgué, Jean-Baptise (1776-1856)
Ungerer, Albert (1813-1879)
Ungerer Théodore (1822-1885)
L’ensemble de ce fonds est librement communicable et reproductible.
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/924" target="_blank" rel="noopener">Fonds de l’entreprise d’horlogerie Ungerer aux archives départementales du Bas-Rhin</a>
2,84 ml
Français
Allemand
Anglais
Néerlandais
Danois
Norvégien
Suédois
Latin
Ouvrages imprimés
Manuscrits
Tirés à part
170 J
1664-1982
Fonds de l’entreprise d’horlogerie Ungerer
Horlogerie
Engrenages
Industrie
Astrolabes
<div style="text-align: justify;">Jean-Baptiste Schwilgué (1776-1856) est un ingénieur horloger autodidacte né et mort à Strasbourg. Sa passion pour l'horlogerie remonte à l'enfance et il entre comme apprenti auprès d'un maître horloger à Sélestat, tout en continuant à se former en autodidacte en mathématiques et en astronomie. En 1813, il construit sa première horloge monumentale à Marckolsheim. <br />Sa réputation de brillant ingénieur parvient jusqu'à Frédéric Rollé, à la tête d'une fabrique de bascules. Rollé engage alors Schwilgué comme ingénieur dès 1823, et l'association devient officielle le 24 mars 1827, avec pour raison sociale "Rollé & Schwilgué". Schwilgué reçoit la Légion d'honneur en 1835. À partir de 1838 il s'attele au chantier de sa vie, la reconstruction de l'horloge astronomique de la cathédrale de Strasbourg et met fin à son association avec Frédéric Rollé. Le 2 octobre 1842, l'horloge est mise en mouvement en présence des membres du congrès scientifique réuni à Strasbourg.<br /> À la mort de Jean-Baptist Schwilgué en 1856, son fils Charles poursuit l’activité sans parvenir à la prolonger au-delà de 1858. La Société Ungerer Frères est alors créée. Ces deux jeunes frères, Albert et Théodore Ungerer, s’étaient fait reparquer alors qu’ils étaient respectivement contremaître et ouvrier du chantier reconstruction de l'horloge astronomique de la cathédrale de Strasbourg. Vers 1910, est crée une section spéciale pour la réparation d'automobiles de toutes marques et la fabrication de pièces détachées. Par la suite, cette division va se spécialiser dans la rénovation des moteurs "diesel" pour camions et pour voitures de tourisme. La section horlogerie continue de prospérer. <br />Après la seconde guerre cependant, les grands marchés monumentaux se font plus rares et en 1957, la firme développe une nouvelle activité découlant de l'horlogerie, la fabrication d'engrenages pour l'industrie. Les années 60 représentent pour l'entreprise une période de crise. Jean Boutry, ancien commandant de bord rejoint l’entreprise par son mariage avec Edith Ungerer, fille de Théodore et devient P.D.G. <br />Malgré les efforts pour faire revivre les deux départements qui firent la fortune de l'entreprise, les pertes considérables accumulées de 1958 à 1966 obligent celle-ci à déposer le bilan une première fois le 18 septembre 1967. La société est cependant autorisée à maintenir son activité en vertu du concordat de décembre 1968. Le personnel, qui comptait jadis jusqu'à 70 employés, est réduit aux deux tiers. Au début des années 70, la stratégie s'avère payante. La fourniture de l'horloge astronomique de l'aéroport d'Orly-Ouest en est la preuve, tout comme l'astrolabe pour le Centre administratif de la communauté urbaine de Strasbourg, et l'horloge astronomique de la place des Halles, toujours à Strasbourg. Mais ces gros marchés ne suffisent pas à assainir la situation de l'entreprise. Les dettes insurmontables de la firme l'obligent à cesser son activité en janvier 1989. Les bâtiments, bien que délabrés, existent toujours rue Labroque. Jean Boutry s'est éteint en 1995. <br /><br />Ce fonds d'horlogerie est unique en son genre, tant par sa nature que par sa qualité et son unité. Toutes les fonctions de l'entreprise y sont représentées. Ainsi les dossiers papiers s'accompagnent de nombreux documents iconographiques (plans, plaques de verres, photos et diapositives), voire d'objets. C'est pourquoi le fonds Ungerer peut être perçu comme quasi "complet". Cependant, les documents les plus anciens ne remontent guère au-delà de la fin des années 1850, et l'on s'interroge sur les archives correspondant à la première période de l'entreprise, qui, selon toute logique, commencerait en 1796. La période recouverte est tout de même suffisamment longue pour faire ressortir l'importance de l'entreprise dans la région, de même que les différentes phases de prospérité et de crise qu'elle a pu connaître. Les historiens des techniques trouveront quantité de précieux renseignements dans les dossiers de calculs et de recherche, et surtout dans les nombreux dessins et plans.</div>
Schwilgué, Jean-Baptise (1776-1856)
Société Ungerer
Français
Allemand
Archives
Photographies
Objets
73 J
1838-1991
Fonds Conrad Schlumberger (1878-1936)
Physique
Géophysique
<div style="text-align: justify;">Conrad Schlumberger est né en 1878 à Guebwiller, en Alsace, province alors annexée par les Allemands : avant l’âge de 15 ans, cet arrière-petit-fils de Guizot choisit l’exil et intègre l’Ecole polytechnique à Paris. Mobilisé en 1914, il est le premier sur le Front à introduire l’utilisation du téléphone, ainsi que celui de la TSF avec les avions et participe, entre autres, à l’amélioration des fonctions des tranchées, ce dont témoigne son abondante correspondance quotidienne avec sa femme, Louise (1883-1976). En 1919, il reprend son poste de professeur à l’Ecole des Mines et fonde, avec son frère Marcel (son autre frère, Jean, est l’un des fondateurs de <em>La Nouvelle Revue française</em> en 1909), la « Société de Prospection électrique ».<br />Les travaux de Conrad Schlumberger sur la géophysique des sous-sols permettent dès 1923 de grandes avancées dans la recherche pétrolière, que son frère Marcel (1884-1953) saura faire progresser et prospérer, même après sa disparition en 1936.<br /><br />Ce fonds comprend l’importante correspondance entre les époux Conrad et Louise Schlumberger, de 1904 à 1935, dont la partie rédigée pendant la Grande Guerre est particulièrement instructive ; des documents rares concernant la guerre de 14-18 (cartes, minutes des dépêches, photographies, relevés d’opérations militaires, souvenirs de guerre) ; des dossiers et correspondances techniques ; des plaques photographiques sur verre et albums de photos familiales.</div>
Schlumberger, Conrad (1878-1936)
Schlumberger, Louise
Notice <a href="http://www.imec-archives.com/fonds/schlumberger-conrad/" target="_blank">IMEC</a>
Communicable après accord IMEC
23 boîtes d’archives ; 2 boîtes d’imprimés
Français
Archives
Ouvrages imprimés
Ressources iconographiques
SHL
Fonds Jean-Jacques Salomon (1929-2008)
Politique de la science
Sciences -- Histoire
Techniques -- Histoire
Écologie
Sociologie des sciences
Responsabilité scientifique
<div style="text-align: justify;">Fortement impliqué lui-même dans la politique de la science, Jean-Jacques Salomon fut Chef de la Division des politiques de la science auprès de la Direction de la science, de la technologie et de l'industrie à l'OCDE pendant de nombreuses années. Il a également occupé la chaire "Technologie et société" au CNAM. La collection d'ouvrages donnée au CAPHÉS témoigne de tous les aspects de ses préoccupations scientifiques : on y retrouve les thèmes du nucléaire, de la responsabilité scientifique, de l'éthique (et notamment de la bio-éthique), des risques technologiques, de l'écologie, autant de questions qui ont occupé la 2e moitié du XXe siècle et qui restent d'actualité.</div>
Salomon, Jean-Jacques (1929-2008)
CAPHÉS
Ouvert à tous.<br /><br />
711 titres dont 5 titres de périodiques
français
Ouvrages imprimés
Revues
Tirés à part
SAL
1946-2008
Fonds Albert Ribaucour (1845-1893)
Analyse
Optique
Acoustique
Géométrie
<div style="text-align: justify;">Albert Ribaucour (né le 28 novembre 1845 à Lille, mort le 13 septembre 1893 à Philippeville, aujourd'hui Skikda, en Algérie) était un ingénieur civil et un mathématicien français.</div>
<div style="text-align: justify;">Albert Ribaucour étudie à l'École polytechnique à partir de 1865, puis à l'École des Ponts et Chaussées en 1867. Il commence à travailler comme ingénieur, sur des missions ponctuelles, notamment dans le département de l'Yonne, sur le Canal du Nivernais. Puis, il intervient, en 1870, à l'arsenal de la Marine de Rochefort, et, en 1873, à Draguignan. Il abandonne ces fonctions de décembre 1873 à février 1874, pour un poste de répétiteur adjoint de géométrie à l'École polytechnique, en remplacement d'Edmond Laguerre. Puis, il revient exercer comme ingénieur à Draguignan, à Brignoles, puis en 1878 à Aix-en-Provence. Après un séjour à Vesoul, il est affecté en juin 1886 en Algérie.</div>
<div style="text-align: justify;">Il est connu également pour ses contributions en mathématique, particulièrement en géométrie différentielle et en surface minimale. Ces recherches sont menées en parallèle de sa carrière d'ingénieur.</div>
<div style="text-align: justify;"><br /><strong>Contenu</strong> :</div>
<div style="text-align: justify;">-Manuscrits scientifiques</div>
<div style="text-align: justify;">-Notes prises aux cours d’analyse et de physique (optique et acoustique) de l’Ecole Polytechnique</div>
<div style="text-align: justify;">-Notes de recherches: géométrie, mathématiques, etc.</div>
Ribaucour, Albert (1845-1893)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
1 boîte
français
Archives
Manuscrits
IX RIBAUCOUR
Mémoires de Charles Gustave Puniet de Monfort (né en 1811)
Génie civil
Fortifications
<div style="text-align: justify;">Charles Gustave Puniet de Monfort (né en 1811), élève de l’École Polytechnique (Promotion 1828).</div>
<div style="text-align: justify;"><strong>Contenu</strong> : Mémoires de fortifications et autres constructions civiles réalisées à l’Ecole d’application de l’artillerie et du génie</div>
Puniet de Monfort, Charles Gustave (1811-1…)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a>
Consultation sur rendez-vous
Multiples mémoires reliés
français
Manuscrits
K5B 125
1832