Académie François Bourdon
L’Académie François Bourdon est une association, située au Creusot.
Elle a pour but la valorisation des patrimoines industriels et la promotion de la culture scientifique, technique et industrielle :
• elle gère un centre d’archives et le centre d’interprétation « Pavillon de l’Industrie »
• elle développe des actions pédagogiques à travers son service éducatif
• elle organise des conférences et des colloques
• elle réalise des publications et apporte son soutien à la recherche historique.
Académie François Bourdon
<a href="http://www.afbourdon.com/" target="_blank">http://www.afbourdon.com/</a>
français
Albert Strupler (1871-1947)
<div style="text-align: justify;">Albert Strupler (1871-1947), né à Schaffhausen (Suisse), fréquente le Polytechnicum de Zürich d’octobre 1889 à août 1893 ( Chemisch-technische Schule ), au sein d’une promotion européenne d’étudiants, et sort diplômé ingénieur-chimiste (Technischer Chemiker) le 3 août 1893, avec une thèse rédigée en français. Docteur en chimie de l’université de Genève en 1895, il fut employé en qualité d’ingénieur-chimiste jusqu’à sa retraite en 1936, tant en France (Fontaines-sur-Saône, Creil, Villeneuve, Oissel), qu’en Allemagne (Höchst-an-Main), en Suisse (Bâle) ou en Angleterre (Manchester). Il spécialisa ses recherches de chimie appliquée dans la fabrication de matières colorantes (Indigo synthétique, Vert malachite, Vert acide, auramine notamment) et dans les procédés de teinture. Il est naturalisé français après la première guerre mondiale. <br />Le fonds 297 J conserve tous ses protocoles et procédés de fabrication développés dans les laboratoires de Villeneuve (1918-1919) et d’Oissel (1920- 1935).
<div style="text-align: justify;"></div>
</div>
Strupler, Albert (1871-1947)
Librement communicable
0,25 ml
Français
Allemand
Anglais
Archives
297 J
1856-1974
Album des ouvrages d’art et bâtiments du chemin de fer de La Réunion (vers 1878)
Chemin de fer
Ponts
Ouvrages d'art
<div style="text-align: justify;">Le projet d’un chemin de fer reliant Saint-Pierre à Saint-Benoît capable de transporter les marchandises, et notamment la canne à sucre, combiné à un port en eau profonde, situé à la Pointe des Galets, vit le jour en 1875. La compagnie du Chemin de fer et port de La Réunion (CPR) fut fondée le 29 février 1878 et les travaux commencèrent la même année sur les terrains concédés par l’Etat. La ligne fut inaugurée en 1882. Après de nombreuses difficultés, la compagnie du CPR passa sous régie départementale en 1951, sous le nom de compagnie du Chemin de fer de La Réunion (CFR), le port étant désormais géré par la Chambre de commerce. Les lignes furent progressivement fermées entre 1955 et 1976. <br /><br />L'album compte 78 planches gravées, numérotées de 1 à 78. Il ne comporte ni page de titre ni table. Les planches portent toutes l'intitulé de la Compagnie du chemin de fer et du Port de La Réunion, créée en 1878. Elles ont sans doute été gravées vers 1878 sur la base des prospections et relevés des années précédentes. Après une planche de « profils en travers types », les planches de l'album décrivent les ouvrages d'art de Saint-Benoît à Saint-Pierre (plans, profils, coupes, vues intérieures, élévations). L'album s'achève sur des planches de bâtiments (gares de 1e, 2e et 3e classe, disposition des voies en gare, halle à marchandise, remise à voitures).</div>
Compagnie du chemin de fer et du Port de La Réunion (crée en 1878)
Un lien de téléchargement des planches numérisées est fourni sur simple demande.
Un album relié de 52 x 52 x 8 cm.
Ressources iconographiques
118 FI
vers 1878
Archives de l'ingénieur Léonce-Abel Mazoyer (1848-1910)
Ponts-et-chaussées
Ponts-canaux
Gabarit Freycinet
<div style="text-align: justify;">Né le 16 novembre 1848 et mort en 1910, Léonce Abel Mazoyer est un des ingénieurs des Ponts-et-Chaussées (à partir de 1872) les plus remarquables du XIXe siècle. En poste à Nevers (en tant qu'ingénieur en chef), il a en charge les travaux d'aménagement des canaux de Roanne à Digoin et Latéral à la Loire (la mise au gabarit Freycinet de toute la ligne fluviale de Roanne à Briare notamment), ainsi que d'une partie du canal du Nivernais. <br />Il est, dans ce cadre, le concepteur et le constructeur du pont-canal de Briare (1896), qui permet au canal latéral à la Loire de franchir cette dernière pour se raccorder au canal de Briare. À Roanne, Mazoyer modernise le port et conçoit, dans la lignée du pont-canal de Briare, le pont-rivière métallique de l'Oudan, dit "Pisserot". Archives de l'ingénieur Abel Mazoyer. <br /><br />Ces archives contiennent les dossiers relatifs à l'aménagement de la Loire et de ses canaux : canal latéral de la Loire (notamment entre Digoin et Mainbray), pont-canaux de Digoin et de Briare, écluses (notamment de Saulx), remblai de Saint-Firmin, projets de ponts, usine élévatoire de Digoin.</div>
Mazoyer, Léonce-Abel (1848-1910)
librement consultable
<div style="text-align: justify;">Le reste du fonds d'archives d'Abel Mazoyer est en grande partie conservé à la bibliothèque de l'Ecole Nationale des Ponts-et-Chaussées (Paris), section archives.</div>
français
Archives
1 J 1987
1886-1909, 1944
Archives de la Société d’émulation des Vosges (fondée en 1825)
Sociétés savantes
Agriculture
Antiquités
Industrie et économie
Météorologie
Catastrophes naturelles
<div style="text-align: justify;">La Société d’émulation des Vosges, fondée à Épinal le 8 janvier 1825 de la fusion de la Société d’agriculture et de la Société des antiquités, est re connue d’utilité publique par ordonnance royale du 28 octobre 1829, statut qu’elle partage aujourd’hu i avec trois autres associations dans le département des Vosges. <br />Le fonds contient des documents administratifs, des dossiers concernant les membres, ainsi que les activités scientifiques de la société.</div>
Société d’émulation des Vosges (fondée en 1825)
Librement communicable
3, 5 ml
française
Archives
8 J
1806-1948
Babord-Num
Médecine
Chimie
Sciences -- histoire
Techniques -- histoire
Enseignement -- sciences
<p>Babord-Num est la bibliothèque patrimoniale du réseau documentaire des universités de Bordeaux. Depuis 2008 différents programmes de numérisation sont venus enrichir les corpus déjà présents. Elle donne accès à différentes collections dont les collections « <a href="http://www.babordnum.fr/collections/show/4">Patrimoine scientifique</a> », « <a href="http://www.babordnum.fr/collections/show/14">Archives du Centre de Recherche Paul Pascal</a> », « <a href="http://www.babordnum.fr/collections/show/5">Thèses anciennes de Bordeaux</a> », « <a href="http://www.babordnum.fr/collections/show/8">Bulletin de l’Institut du Pin </a>» ainsi que « <a href="http://www.babordnum.fr/collections/show/1">Patrimoine médical</a> ». La bibliothèque numérique est enrichie régulièrement par ces campagnes de numérisation mais aussi grâce aux numérisations à la demande.</p>
Babord-Num
Accès libre
Partenaires institutionnels : <br />
<ul>
<li>Université de Bordeaux ;</li>
<li>Université Bordeaux-Montaigne ;</li>
<li>Sciences-Po Bordeaux ;</li>
<li>Bordeaux Sciences Agro ;</li>
<li>Institut polytechnique de Bordeaux ;</li>
<li>Bibliothèque nationale de France (financement);</li>
<li>Région Aquitaine (financement).</li>
</ul>
Français
Latin
Anglais
Ressources numériques
XVe-XXe siècles
Bibliothèque Schwilgué
<div style="text-align: justify;">Ce fonds est constitué de plus de 300 ouvrages (livres, tirés à part et revues) et des manuscrits de l’ingénieur horloger Jean-Baptiste Schwilgué (1776-1856). C’est la présence de ces documents qui a donné son nom au fonds, bien qu’il s’agisse de la bibliothèque des frères Albert (1813-1879) et Théodore (1822-1885) Ungerer, élèves de Schwilgué qui reprirent l’entreprise en 1858, et non de la bibliothèque proprement dite de Schwilgué. <br />On y trouve essentiellement des ouvrages techniques d’horlogerie, du XVIIe au XXe siècle, des descriptions d’horloges et de mécanismes fonctionnant dans le monde entier ainsi que des ouvrages sur l’histoire de l’horlogerie.</div>
Schwilgué, Jean-Baptise (1776-1856)
Ungerer, Albert (1813-1879)
Ungerer Théodore (1822-1885)
L’ensemble de ce fonds est librement communicable et reproductible.
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/924" target="_blank" rel="noopener">Fonds de l’entreprise d’horlogerie Ungerer aux archives départementales du Bas-Rhin</a>
2,84 ml
Français
Allemand
Anglais
Néerlandais
Danois
Norvégien
Suédois
Latin
Ouvrages imprimés
Manuscrits
Tirés à part
170 J
1664-1982
Chartrier de Liancourt
Archives La Rochefoucauld (1747-1827)
agronomie
industrialisation
Arts et Métiers
<div style="text-align: justify;">François XII Alexandre Frédéric de La Rochefoucauld, duc de Liancourt, puis 7e duc de La Rochefoucauld, né le 11 janvier 1747 à La Roche-Guyon2,3 (actuel département du Val-d'Oise) et décédé le 27 mars 1827 à Paris, est un militaire et homme politique, scientifique et philanthrope français des XVIIIe et XIXe siècles. Épris de progrès technique, il a notamment fondé la ferme modèle de Liancourt en 1769, l'École nationale supérieure d'arts et métiers en 1780 et la Caisse d'Épargne et de Prévoyance de Paris (première caisse d'épargne en France) en 1818. Il était aussi membre de l'Académie des sciences. <br /><br />Le fonds contient des papiers personnels et de fonctions de François Alexandre Frédéric de La Rochefoucauld ; des papiers personnels et de fonctions de deux ses fils, François et Frédéric Gaëtan ; des titres et papiers domaniaux concernant principalement les marquisats et domaines de Liancourt et d’Halluin et des terres en dépendant. <br />On trouve également des documents concernant la fondation et la gestion de l’école des enfants de l’armée, ancêtre de l’Ecole des Arts et Métiers, et de diverses manufactures du canton de Liancourt, ainsi que, sous la cote 6 J 21, les documents produits ou rassemblés par François Alexandre Frédéric de la Rochefoucauld se rapportant à l'agronomie et à l'agriculture.</div>
Famille de La Rochefoucauld-Liancourt, aïeux et familles alliées
La Rochefoucauld, François XII Alexandre Frédéric (1747-1827)
<div style="text-align: justify;">Libre. <br />Les documents en mauvais état matériel ont été extraits de leur liasse d’origine, ils ne sont pas communicables.</div>
français
Archives
6 J
1327-1907
Christian Normier (1868-1919)
Fortifications
Artillerie
<div style="text-align: justify;">Christian Normier (1868-1919 ) fait ses études primaires dans sa ville natale de Ravières dans l'Yonne et poursuit ses études secondaires dans la ville voisine d’Ancy-le-Franc (Yonne). Jeune soldat appelé de la classe 1888, il est désigné numéro 1 lors du tirage effectué dans le canton d’Ancy-le-Franc et décide, suite à son incorporation dans l’armée, d’y faire carrière et de dev enir professeur-instructeur. Il intègre l’école d’application de l’artillerie et du génie à Fontainebleau (Seine-et-Marne) en 1890 et y demeure jusqu’en 1897 en tant qu’élève sous-officier. Il en sort capitaine, perfectionne sa formation au 1er régiment du génie à Orléans (Loiret), puis à l’école temporaire de télégraphie du Mont-Valérien située sur la commune de Suresnes (Haut-de-Seine). Il intègre ensuite l’école militaire préparatoire d’Épinal au cours de l’année 1898. Après cinq mois de cours, il réussit l’examen final, devenant dès lors instructeur militaire. Il est ensuite nommé professeur de fortifications en 1900, à l’école d’application de l’artillerie e t du génie à Fontainebleau, là même où il avait suivi des cours, et y reste jusqu’en 1904. Il termine sa carrière de 1905 à 1907 à l’école militaire préparatoire de Nancy. En 1911, il est admis à faire valoir ses droits à la retraite, puis est nommé capitaine de réserve du génie. <br />La plupart des documents de ce fonds sont des cahiers et des manuels d’instruc tion militaire, souvent illustrés par de s croquis relatifs aux cours de fortification s et de constructions, et de q uel ques dessins destinés aux cours d’art militaire, ce qui peut susciter un intérêt purement technique et démontre l’état de co nnaissance de la fin du XIX e siècle, ainsi que le niveau intellectuel de cette formation. On y trouve aussi quelques ouvrages et bro chu res liés pour l’essentiel à la gé ographie militaire, ainsi que des cartes topographiques et des cartes de nombreuses villes françaises de garnison , y compris pendant la P remière G uerre mondiale.</div>
Normier, Christian (1868-1919)
Librement communicable
1, 20 ml
Français
Archives
175 J
1833-1917
Collection Albert Châtelet
Acoustique
Mécanique
Théorie des nombres
Aviation
Algèbre
Géométrie
Le fonds rassemble tous les documents porteurs d’un ex-libris imprimé d’Albert Châtelet : supports de travail et d’enseignement, correspondance avec d’autres chercheurs, rapports et tirés à part. <br />On peut y trouver une série de rapports rédigés sous la Première Guerre Mondiale par Ernest Esclangon pour la Commission de Gâvre, une traduction manuscrite anonyme de « "Neue Geometrie des Raumes » de Julius Plücker, ainsi qu’une correspondance accompagnée d’un support de cours d’André Martinot-Lagarde, professeur de mécanique à l’Institut de mécanique des fluides de l’Université de Lille.
Après avoir enseigné les mathématiques et la mécanique rationnelle à Tours, Toulouse et Lille et travaillé pour la Mission du Tir Aérien de Gâvre sous la Première Guerre Mondiale, Albert Châtelet devient en 1924 recteur de l’Académie de Lille, où il se montre très dynamique dans la reconstruction d’infrastructures étudiantes et hospitalières et la diffusion de méthodes nouvelles. Il sera chargé de l’enseignement du second degré sous le Front Populaire. <br />Après l’Occupation, il est nommé à la chaire d’arithmétique et théorie des nombres de la faculté des sciences de Paris. Il est candidat de la gauche face à Charles de Gaulle lors des élections de 1958, et a mené le comité anticolonial Audin. <br />Auteur de plusieurs manuels, Albert Châtelet a grandement contribué à diffuser les recherches de l’école allemande sur la théorie des nombres et la théorie des groupes.
Châtelet, Albert (1883-1960)
Communication libre sur demande.
2 boîtes
français
CHA
1895-1954