Théorie des tables astronomiques, écrite par le chevalier de Louville, mort en 1732, à Carré, près de Saint-Jean-de-Braye
Tables astronomiques
<p>Biographie :</p>
<div style="text-align: justify;">Jacques-Eugène d'Allonville de Louville, né le 14 juillet 1671 au château de Louville en Beauce, aujourd'hui département d'Eure-et-Loir, et mort le 10 septembre 1732 (à 61 ans) à Saint-Jean-de-Braye, est un astronome et mathématicien français.</div>
<div style="text-align: justify;"></div>
<div style="text-align: justify;">Particularité physique du manuscrit : Reliure parchemin</div>
<div style="text-align: justify;"> </div>
Allonville de Louville, Jacques d' (1671-1732)
Catalogue des archives et manuscrits <a href="http://aurelia.orleans.fr/archives-et-manuscrit" target="_blank" rel="noreferrer">Aurelia</a> de la médiathèque d'Orléans<a href="http://aurelia.orleans.fr/wrap/ead.pdf?id=FRCGMBPF-452346101-01a.xml&c=FRCGMBPF-452346101-01a.xml_D18012984" target="_blank" rel="noreferrer"><br /></a>
Pour toute information sur la consultation de ce manuscrit, contactez le service Patrimoine :
mediatheque-patrimoine[@]orleans-mediatheque.fr.
65 feuillets
Dimensions : 350 × 235 mm
français
Manuscrits
Théorie des tables astronomiques - Ms 436
XVIIIe siècle
Tables astronomiques, calculées par Cassini et écrites par le chevalier de Louville
Tables astronomiques
<div style="text-align: justify;">Biographie :</div>
<div style="text-align: justify;">Jacques-Eugène d'Allonville de Louville, né le 14 juillet 1671 au château de Louville en Beauce, aujourd'hui département d'Eure-et-Loir, et mort le 10 septembre 1732 (à 61 ans) à Saint-Jean-de-Braye, est un astronome et mathématicien français.</div>
<div style="text-align: justify;"><br /> Description du manuscrit : Support : Parchemin Particularité physique : Reliure maroquin vert</div>
Allonville de Louville, Jacques d' (1671-1732)
Catalogue des archives et manuscrits <a href="http://aurelia.orleans.fr/archives-et-manuscrit" target="_blank" rel="noreferrer">Aurelia</a> de la médiathèque d'Orléans<a href="http://aurelia.orleans.fr/wrap/ead.pdf?id=FRCGMBPF-452346101-01a.xml&c=FRCGMBPF-452346101-01a.xml_D18012984" target="_blank" rel="noreferrer"><br /></a>
Pour toute information sur la consultation de ce manuscrit, contactez le service Patrimoine :
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99 feuillets
Dimensions : 342 × 250 mm mm
français
Manuscrits
Tables astronomiques, calculées par Cassini - Ms 435
XVIIIe siècle
Lettres autographes et mémoires lus à l'Académie d'Orléans
Académie d'Orléans
Lettres et autographes issus de la collection de l'abbé Pataud.
On y trouve parmi les nombreuses pièces celles de Berthollet, Cabanis, Chaptal, Jacques Antoine Joseph Cousin, Étienne Geoffroy-Saint-Hilaire, Pierre-André Latreille, Jacques Lieutaud,Jean-François Pilâtre de Rozier, Pierre Varignon
Catalogue des archives et manuscrits <a href="http://aurelia.orleans.fr/wrap/ead.html?id=FRCGMBPF-452346101-01a.xml&c=FRCGMBPF-452346101-01a.xml_D18014622&qid=eas1539606752137#!{%22content%22:[%22FRCGMBPF-452346101-01a.xml_D18014258%22,false,%22eas1539606752137%22],%22fragment%22:%22ead-fragment.xsp?c=FRCGMBPF-452346101-01a.xml_D18014622&qid=sdx_q0%22}" target="_blank">Aurelia</a>
Académie d'Orléans
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/711" target="_blank">Fonds de la Société d'Agriculture, Sciences, Belles lettres et Arts d'Orléans (Académie).</a>
Plusieurs cartons
français
latin
Archives
943-955 : Lettres autographes et mémoires lus à l'Académie d'Orléans
Fonds Jean Saugère
Astronomie
Astronome
Saugère, Jean
<a href="http://archives.creuse.fr/arkotheque/client/ad_creuse/_depot_arko/articles/462/13jfondssaugere.pdf" target="_blank">http://archives.creuse.fr/arkotheque/client/ad_creuse/_depot_arko/articles/462/13jfondssaugere.pdf</a>
30 volumes
français
Archives
Ouvrages imprimés
13J Fonds Jean Saugère
1921-1986
Fonds Achille Veilhan (1818-1868)
Machines
Élève de l'École Polytechnique (Promotion 1837) <br /><strong>Contenu</strong> : Notes prises au cours de chimie, machines, astronomie.
Veilhan, Achille (1818-1868)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a>
Consultation sur rendez-vous
3 manuscrits
français
Manuscrits
III 3B (1837-1839)
1837-1839
Fonds François-Félix Tisserand (1845-1896)
Mécanique céleste
François Félix Tisserand, né le 13 janvier 1845 à Nuits-Saint-Georges et mort le 20 octobre 1896 à Paris, est un astronome français.<br />Admis à l’École Normale Supérieure en 1863, il ne fut professeur au lycée Fabert de Metz qu’un mois : Urbain Le Verrier lui avait offert d’emblée un poste d’astronome adjoint à l’Observatoire de Paris (septembre 1866). Il soutint en 1868 sa thèse, consacrée à la méthode de Delaunay, dont il montra toute la généralité. Peu après il partit en mission à l’Isthme de Kra pour y observer l’éclipse solaire de 1868 : cette expédition française était accompagnée du roi Mongkut de Siam, qui avait lui-même calculé la position céleste et la date de l'éclipse deux ans plus tôt, et avait fait aménager un belvédère pour ses hôtes scientifiques.<br />En 1873 il est nommé directeur de l’observatoire de Toulouse, où il publie son <em>Recueil d'exercices sur le calcul infinitésimal</em>, et en 1874, il est reçu membre correspondant de l’Académie des Sciences. Il a participé aux expéditions françaises au Japon (1874, avec Jules Janssen), et à la Martinique (1882, avec Guillaume Bigourdan) pour observer les transits de Vénus. Il est élu membre titulaire de l'Académie des sciences en 1878 au siège de Le Verrier, et est nommé membre du Bureau des Longitudes. En 1878 il épouse Jeanne Marie Seignouret, morte deux ans plus tard et en 1885 il épouse Louise Desplechin. La même année, il est nommé professeur suppléant de Liouville, et en 1883 il succède à Puiseux à la chaire de mécanique céleste de la Sorbonne.<br />Malgré ses fonctions officielles, Tisserand consacrait l’essentiel de son temps à ses recherches d’astronomie mathématique, comme en témoignent les nombreuses communications insérées dans les <em>Comptes rendus</em> de l’Académie. Il y aborde presque toutes les branches de la mécanique céleste de la fin du XIXe siècle. Son traitement analytique de la capture des comètes dans l’orbite des grandes planètes (<em>Bulletin astronomique</em>, 1889) a été saluée pour sa relative simplicité et son élégance : de ce travail, il a formulé un critère de reconnaissance des comètes périodiques à partir des temps de retour successifs, quelles que soient les perturbations de son orbite provoquées par les planètes.<br />Son œuvre essentielle, le <em>Traité de mécanique céleste</em> a été comparée en importance à la <em>Mécanique céleste</em> de son illustre prédécesseur Laplace : dans ce traité, il réalise une synthèse élégante des recherches de mécanique céleste menées depuis Laplace. C'est donc un tableau très complet de l'état des connaissances en ce domaine à la fin du XIXe siècle.<br />Il succéda en 1892 à Mouchez en tant que directeur de l'Observatoire de Paris ; il a assuré une large promotion à la Commission photographique du Ciel qu'il présidait : sous sa direction, la révision du Catalogue d'étoiles de Lalande fut pratiquement menée à son terme, et quatre volumes des <em>Annales de l'Observatoire de Paris</em> montrent les étapes de cet énorme travail. Il était dès les origines rédacteur en chef du <em>Bulletin astronomique</em>, auquel il a aussi apporté plusieurs articles. Il a été emporté à la fleur de l'âge par une congestion cérébrale.<br />Il fut :<br />• directeur de l'observatoire de Toulouse,<br />• directeur de l'observatoire de Paris,<br />• professeur d'astronomie mathématique à la faculté des sciences de Paris, Henri Poincaré lui succède à sa mort,<br />• membre de l'Académie des sciences.<br />Félix Tisserand a donné son nom au paramètre de Tisserand. En tant que directeur de l'Observatoire de Paris, il a dirigé le projet « Carte du Ciel », consistant à produire une carte photographique complète du ciel nocturne.<br /><br />Contenu : Manuscrits scientifiques : 1863-1888, dont des notes prises aux cours de l’Ecole Normale et de la Sorbonne<br /><br />
Tisserand, François-Félix (1845-1896)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous.
Multiples carnets
français
Archives
Manuscrits
B1 101*
1863-1888
Fonds Adolphe Auguste Mille (1812-1894)
Savary, Félix (1797-1841)
Adolphe Auguste Mille, né le 9 octobre 1812 à Lille, mort en 1894, est un ingénieur français, le constructeur du Dépotoir municipal à Paris, l'apôtre de l'épuration agricole des eaux d'égout (il utilise les eaux d’égouts comme engrais liquide).<br />Adolphe Mille sort de l'École polytechnique en 1832, devient responsable du dépotoir de la Villette (mis en service en 1849) ainsi que de la voirie de Bondy dans les années 1850, ingénieur de la ville de Paris, inspecteur général des Ponts et Chaussées. chevalier de la Légion d'honneur le 12 juin 1846, officier en 1876. Retraité en 1877.<br /><strong>Contenu</strong> : Notes prises au cours d’astronomie et machines de Félix Savary<br /><br />
Mille, Adolphe-Auguste (1812-1894)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
1 boîte
français
Archives
IX MILLE
1833-1834
Fonds Claude-Louis Mathieu (1783-1875)
Analyse
Mécanique
Stéréotomie
Calcul différentiel
Calcul intégral
<div style="text-align: justify;">Claude-Louis Mathieu, né le 25 novembre 1783 à Mâcon et mort le 5 mars 1875 à Paris, est un astronome français</div>
<div style="text-align: justify;">Son père, simple ouvrier menuisier sans fortune, ne put l'envoyer que dans une petite école où l'on n’apprenait qu’à lire et à écrire, et à un cours gratuit de dessin. Montrant de rares aptitudes pour les sciences exactes, qu’il étudiait seul, il fut distingué par l’abbé de Sigorgne, un prêtre savant, vicaire général du diocèse de Mâcon, qui l’encouragea dans ses dispositions et lui enseigna les premiers principes des mathématiques. Le premier préfet de Saône-et-Loire, Buffaut, ayant reconnu ses mérites, le fit partir pour Paris, en 1801, avec une lettre de recommandation pour un allié de sa famille, l’astronome Delambre, qui porta bien vite intérêt au jeune homme. Sa femme prit également dans une véritable affection de famille le jeune Mathieu, qui vivait avec une grande économie, logeant, au Marais, dans une modeste chambre que Delambre lui avait offerte sous son observatoire et suivant les cours gratuits du collège des Quatre-Nations.</div>
<div style="text-align: justify;">En 1803, sa persévérance lui permit d’intégrer, à l’âge de 20 ans, l’École Polytechnique (X1803), dans un bon rang. Peu de temps après, il refusa néanmoins de signer, ainsi que son ami François Arago et trente-quatre autres de leurs camarades, les registres ouverts pour l’adhésion à l’Empire, mais cet incident n’eut pas de suite car Napoléon ne voulut pas sacrifier des sujets d’élite, dont plusieurs étaient en tête de leur promotion. Sorti de l’école en 1805, sans doute sous l’influence de Delambre, il se sentait attiré par l’astronomie lorsque celui-ci fit désigner, le 1er novembre 1806, Mathieu pour remplacer provisoirement Arago, qui, dès sa sortie de l’école, avait été nommé secrétaire à l’Observatoire de Paris, et venait d’être envoyé en Espagne pour le prolongement de la méridienne de France. Après le retour d’Arago, qui fut aussitôt élevé d’un grade, Mathieu fut nommé à titre définitif. Il entreprit alors, avec Biot, une longue série de mesures d’intensité de la pesanteur sur le parallèle moyen et sur la grande méridienne, dont il fut récompensé par des prix de l’Académie, en 1809 et 1812.</div>
<div style="text-align: justify;">Nommé répétiteur du cours d’astronomie et de géodésie de l’Ecole Polytechnique, professé par Arago, le 27 décembre 1816, Mathieu fut, l’année suivante, à l’âge de 34 ans, élu à l’Académie des Sciences, dans la section d’Astronomie, en remplacement de Messier. Travailleur infatigable, chargé de rapports sur les sujets les plus variés, il y remplit toutes les fonctions, depuis celles de président jusqu’à celles d’administrateur de la fortune académique. La même année 1817, il fut nommé membre adjoint du Bureau des Longitudes, et Delambre lui confia sa suppléance dans le cours d'astronomie du Collège de France, chaire dont il devait être titulaire, cinq ans plus tard. En 1828, il fut chargé du cours d’analyse et de mécanique à l’École Polytechnique, cours fondamental formant le centre de l’enseignement de l’école, qu’il conserva jusqu’en 1838, date à laquelle il devint examinateur de sortie, fonction qu’il exerça jusqu’en 1863.</div>
<div style="text-align: justify;">L’un de ses premiers travaux scientifiques de Mathieu fut de terminer la période du XVIIIe siècle de l’<em>Histoire de l’astronomie</em> de son maitre et ami Delambre, qu’il compléta et enrichit de notes. Au Bureau des Longitudes, il fut chargé de diriger les calculs et la publication de la <em>Connaissance des Temps</em>, suppléant lui-même à l’insuffisance de certains calculateurs, jusqu’à ce que, pouvant se reposer sur son gendre Laugier de veiller à la <em>Connaissance des Temps</em>, il s’occupa surtout de l’Annuaire du Bureau des Longitudes, et c’est à lui qu’on doit, dans ce recueil, les indications relatives à l’astronomie, à la physique et aux questions les de la statistique. Quelques semaines avant sa mort, il terminait encore, de sa main les derniers feuillets de l’Annuaire.</div>
<div style="text-align: justify;"><br /><strong>Contenu</strong> : Manuscrit des cours d’analyse, mécanique, stéréotomie (1829-1832). Notes sur le calcul différentiel et intégral Résistance des matériaux (1840).</div>
Mathieu, Claude-Louis (1783-1875)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
1 boîte
français
Archives
IX MATHIEU
1829-1840
Fonds Aimé Laussedat (1819-1907)
Cartographie
Géodésie
Conservatoire national des arts et métiers
Topographie
Photographie
<div style="text-align: justify;">Aimé Laussedat né le 19 avril 1819 à Moulins, mort le 19 mars 1907 (à 87 ans), à Paris est un scientifique français aujourd'hui méconnu en France, tout à la fois astronome spécialiste de l'instrumentation et la géodésie, géomètre, photographe, topographe, arpenteur et cartographe. Élève, répétiteur de géodésie (1853) puis professeur d’astronomie (1856-1870) à l'École polytechnique, il fut ensuite responsable éminent au Conservatoire national des arts et métiers et aussi un ingénieur militaire au début de sa carrière jusqu'en 1851, commandant du Génie de Paris rive gauche pendant la guerre de 1870 à 1871, puis à nouveau officier du génie chargé des nouvelles frontières de 1871 à 1881. En effet, malgré sa démission de professeur à l'École polytechnique et sa demande de retraite de l'armée au début 1871, il est choisi par son ami d'adolescence, le général Louis Doutrelaine, pour le seconder à la commission de la délimitation de la frontière franco-allemande à Bruxelles.</div>
<div style="text-align: justify;">Ce fils d'une bonne famille républicaine bourbonnaise, attachée à Yzeure, officier du Génie, polytechnicien de la promotion 1838, est un des pionniers français de l'iconométrie photographique et de la photogrammétrie, applications de la photographie respectivement à la mesure et au lever des plans ou à la reconnaissance de formes. Il contribue patiemment à développer cette dernière mise au point en 1851 qu'il dénomme métrophotographie par des applications pratiques dès 1861 lorsque la technique permet des mesures métriques précises, aussi bien en topographie qu'en architecture. Le colonel Laussedat est mort à Paris, au terme d'une carrière scientifique auréolée d'une reconnaissance académique.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong><br />Contenu</strong> :</div>
<div style="text-align: justify;">-Cours de topographie et de cartographie donnés au Conservatoire National des Arts et Métiers</div>
<div style="text-align: justify;">-Cours d’astronomie et de géodésie donnés à l’Ecole polytechnique</div>
<div style="text-align: justify;">-Notes de recherches et mémoires, portant principalement sur la géodésie, la topographie, l’astronomie, la photographie</div>
Laussedat, Aimé (1819-1907)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
7 boîtes
français
Archives
IX LAUSSEDAT
1846-1895
Fonds Antoine Abbadie (1810-1897)
Ethiopie
<div style="text-align: justify;">Ce fonds, distinct du Fonds éthiopien proprement dit, forme une collection à part qui porte le nom du savant. Antoine d'Abbadie (1810-1897), géographe et aussi linguiste, ethnologue et numismate, séjourna en Éthiopie de 1837 à 1849 en compagnie de son frère Arnauld. Marius Chaîne en publia le catalogue en 1912. La majorité des ouvrages d'une grande variété date des XVIIe et XVIIIe siècles : Écriture sainte, annales des rois d'Éthiopie presque complètes, poésie et art épistolaire, plusieurs manuscrits à peintures. On peut signaler que 17 volumes de notes et de lettres concernant l'Éthiopie, laissés par Antoine d'Abbadie, figurent dans le fonds des Nouvelles Acquisitions françaises sous les cotes : N. a. fr. 10222-10223, 21299-21305, 22430-22433, 23851-23853, 24049. Antoine d'Abbadie avait lui-même publié le catalogue de sa collection en 1859. À cette occasion fut gravé par l'Imprimerie impériale un nouveau type de caractères éthiopiens.</div>
Abbadie, Antoine (1810-1897)
<a href="http://comitehistoire.bnf.fr/dictionnaire-fonds/antoine-abbadie" target="_blank">Bibliothèque nationale de France</a>
Fonds ouvert
<a href="%20https://rhpst.huma-num.fr/items/show/171" target="_self">Papiers d'Antoine-Th. d'Abbadie (1810-1897) à la Bibliothèque de l'Institut de France</a>
<a href="%20https://rhpst.huma-num.fr/items/show/172" target="_self">Archives du château d'Abbadia. Site d'Hendaye (Pyrénées-Atlantiques) à l'Académie des Sciences</a>
17 volumes, 200 manuscrits
français
Manuscrits
Manuscrits de la Bibliothèque nationale de France. N. a. fr. 10222-10223, 21299-21305, 22430-22433, 23851-23853, 24049.
1837-1849