Fonds de la Société d'Agriculture, Sciences, Belles lettres et Arts d'Orléans (Académie).
<strong><br />Biographie ou histoire :</strong> <br />
<div style="text-align: justify;">La Société d'Agriculture, Sciences, Belles lettres et Arts d'Orléans a été fondée en 1809. Elle est l'héritière de deux sociétés savantes du XVIIIe siècle : d'une part la société royale d'agriculture de la généralité d'Orléans créée en 1762, d'autre part l'Académie royale de sciences, belles lettres et arts d'Orléans, créée en 1786, toutes deux dissoutes en 1793.<br /><br />
<div class="champ_ead">
<div class="post_label">La société a pour objet l'étude de sujets sur l'agriculture, l'industrie, les sciences physiques, naturelles, médicales et mathématiques, les belles lettres et les arts, les questions religieuses et politiques étant interdites. Elle se divise en quatre sections : Agriculture, Sciences médicales, Belles lettres, Sciences et arts. Chaque membre titulaire doit présenter annuellement une étude examinée par un rapporteur dans les deux mois quit suivent. La société peut décider soit l'impression des travaux et des rapports dans les mémoires qu'elle publie chaque année, soit le dépot dans ses archives.</div>
</div>
<br />
<div class="champ_ead">
<div class="post_label">La société a pris en 1996 le nom d'Académie d'Orléans.<br /><br /><strong>Présentation du contenu :</strong> <br /><br />
<div class="champ_ead">
<div class="post_label">Le fonds déposé est très complet jusqu'en 1920. Il comprend des registres de correspondance depuis 1821, de trésorerie depuis 1809, de procès-verbaux de séances depuis 1809 et d'inscription des ouvrages depuis 1828. Il comprend également des dossiers de séances depuis 1810 dans lesquels on trouve des originaux des travaux présentés par les membres de la société.</div>
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Académie d'Orléans
<a href="https://consultation.archives-loiret.fr/arkotheque/inventaires/ead_ir_consult.php?a=4&ref=FRAD045_00034J" target="_blank">Etat des fonds</a> des Archives départementales du Loiret
Librement communicable.
Selon les termes du contrat de dépot, toute communication sera notifiée au propriétaire par les Archives départementales.
Lettres autographes et mémoires lus à l'Académie d'Orléans conservés à la Médiathèque d'Orléans
Documents de substitution :
Le fonds a été microfilmé sous les cotes 2 Mi 4656 (34 J 1-3), 2 Mi 4657 R 1-19 (34 J 4-121) et 2 Mi 4658 R 1-2 (33 J 122-134).
3,60 mètres linéaires
français
Archives
34 J
Fonds de la Société d'Agriculture, Sciences, Belles lettres et Arts d'Orléans (Académie).
1741-1973
Fonds d'archives du dix-huitième siècle
Sciences -- 18e siècle
<div style="text-align: justify;">La partie des archives de l’Académie concernant le XVIIIe siècle, qui sont ici répertoriées, est constituée par les Registres des Délibérations, les Registres des Mémoires Copiés, les Mémoires Imprimés, enfin les Manuscrits Originaux. Les registres de délibérations (R.D.) étaient « destinés à écrire les délibérations de la société » et à recueillir « le nom de ceux qui assistent à chaque conférence » (R.D. vol. 1, p.2). Nous y trouvons donc un compte rendu de toutes les séances tenues à l’Académie des Sciences. Ces registres permettent en outre de faire un inventaire des thèmes abordés par l’Académie et de retracer son histoire au fil du temps. Ils remplissent 14 forts volumes in-folio : les quatre premiers allant du 11 janvier 1730 aux 14 juillet 1746, concerne principalement la Société des Sciences qui a précédé la formation de l’Académie (voir sur le site, la Bibliothèque de l’Académie par André Hermet) ; les tomes 3 et 4 sont reliés ensemble. Les tomes suivants s’échelonnent du 30 juillet 1746 au 7 février 1793. Les volumes 5,6 et 7 sont particulièrement bien remplis, les titres sont calligraphiés, il y a de longs extraits des ouvrages lus en séance, les renvois au registre des mémoires copiés sont systématiques et il y a une table thématique. Dès 1755 la présentation et le contenu se dégradent et à partir de 1780, le secrétaire rédige tardivement un « plumitif » contenant le titre des mémoires lus en séance et le résultat des décisions prises. Il y a trois lacunes : de mai à décembre 1729, doute 1733 à janvier 1735 et du 25 novembre 1790 au 13 décembre 1792. Les Mémoires Copiés (M.C.) – Ils étaient « uniquement employés pour les extraits des dissertations qui seront lues dans les conférences ordinaires et extraordinaires ou pour les rapports des découvertes ou autres opérations qui sont du ressort des Sciences et des Arts » (R.D. vol. I, p.2). Ils sont reliés en huit forts in-folio, numérotés de 1 à 9 allant du 19 mars 1729 au 22 juillet 1785. Le volume 1 contient les statuts primitifs de la Société des Sciences et une liste de ses membres, mise à jour jusqu’en 1733. Le volume 9 rassemble des communications adressées par des étrangers entre le 20 janvier 1757 et le 4 août 1763 (Taillefer, 1975, p.197). Les Mémoires Imprimés (M.I.) – Ce sont ceux qui ont été sélectionnés par des commissaires du bureau de l’impression et imprimés aux bons soins de l’Académie. Ils sont rassemblés dans 4 tomes intitulés « Histoire et Mémoires de l’Académie Royale des Sciences Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse », le premier ayant paru en 1782. Les Mémoires manuscrits Originaux (M.O.) – Les manuscrits originaux de certains mémoires lus dans les séances ainsi que de ceux reçus par l’Académie sont conservés à l’Académie dans des conditionnements spéciaux. Certains d’entre eux figurent aussi dans les Mémoires Copiés et/ou dans les Mémoires Imprimés, s’ils ont été sélectionnés. Dans nos tables, ils sont répertoriés par rubriques (p. 168) avec pour chacun, le numéro de la boîte qui les contient. Pierre LILE</div>
Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse
<a href="http://academie-sciences-lettres-toulouse.fr/?page_id=435" target="_blank">http://academie-sciences-lettres-toulouse.fr/?page_id=435</a>
français
Archives
1700-1799
Fonds de l'Académie Internationale d’Histoire des Sciences
Sciences -- Histoire
Société savante
Institution scientifique
<div style="text-align: justify;">À la fin des années 20, à la faveur du Colloque international des sciences historiques tenu à Oslo, <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/118" title="Fonds Aldo Mieli (1879-1950)" target="_blank">Aldo Mieli</a>, chimiste italien à la vision universaliste, réfugié politique en France et directeur de la revue <em>Archeion</em>, propose aux responsables des principales revues d’histoire des sciences la création de l’<strong>Académie Internationale d’Histoire des Sciences</strong>, afin d’institutionnaliser la discipline. Il s’agit à l’époque de A. Fohnan (Oslo), W. Haberling (Koblenz), Aldo Mieli (Roma), A. W. Nieuwenhuys (Leiden), Abel Rey (Paris), George Sarton (Cambridge, Mass.), Julius Schuster (Berlin), Henry E. Sigerist (Leipzig), Charles Singer (London), Karl Sudhoff (Leipzig). Ce premier groupe informel organise alors le 1er Congrès international d’histoire des sciences à Paris les 20-25 mai 1929.<br /><br />Affectataire pour sa fondation de l’Hôtel de Nevers (12 rue Colbert, Paris 2e) grâce à l’appui de Paul Doumer, Henri Berr accueille Aldo Mieli dans ses murs, et l’<strong>Académie Internationale d’Histoire des Sciences</strong> travaille de concert avec la Fondation « Pour la science » - Centre International de Synthèse pendant plusieurs années.<br /><br />L'Académie internationale d'histoire des sciences a été fondée au cours de l'hiver 1927-28. Cette association a pour but la représentation et l’organisation de l’histoire des sciences sur le plan international. Elle publie une revue, Archives internationales d'histoire des sciences et une collection de Travaux chez Brépols. Le Conseil de l’Académie du 6 février 1991 a arrêté un règlement pour l’attribution de la médaille Koyré et du prix des jeunes historiens. Actuellement, le siège de l'Académie est à l'Observatoire de Paris.</div>
Académie Internationale d’Histoire des Sciences
<div style="text-align: justify;">Fonds d'ouvrages, ouvert à tous.<br />Archives consultables sur autorisation.</div>
<div style="text-align: justify;">Fonds Pierre Costabel et Fonds Aldo Mieli conservés au <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/5" target="_blank">CAPHÉS </a>et au <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/10" target="_blank">Centre Alexandre-Koyré</a>. <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/8" target="_blank">Fonds de l'Union internationale d'histoire et de philosophie des sciences (Division Histoire des sciences et des techniques)</a>.</div>
Bibliothèque : 956 ouvrages
Archives de l'Académie : 97 boîtes.
français
anglais
allemand
italien
russe
Ouvrages imprimés
Tirés à part
Archives
AIHS
Fonds d'ouvrages : 1815-2000
Fonds Achard (1860-1944)
Médecine
<div style="text-align: justify;">Émile Charles Achard, né le 24 juillet 1860 à Paris et mort le 7 août 1944 à Versailles, est un médecin et physiologiste français, professeur à la Faculté de médecine de Paris, secrétaire général de l'Académie de médecine et membre de l'Académie des sciences, Il mène de front une carrière médicale exceptionnelle et des recherches expérimentales de premier plan. Auteur de très nombreuses publications scientifiques, membre de multiples sociétés savantes, il est comblé d'un nombre considérable de distinctions nationales et étrangères. Fils de joaillier, il fait ses études au Lycée Condorcet. Engagé dans des études de médecine, il est externe en 1879 puis interne des hôpitaux de Paris en 1882. Reçu Docteur en médecine en 1887 en soutenant sa thèse intitulée Les fonctions du foie, il est nommé médecin du Bureau Central des Hôpitaux en 1893. Il est agrégé (section de pathologie interne et de médecine légale) en 1896. De 1897 à 1907, il est médecin à l'Hôpital Tenon, d'abord comme chef de laboratoire de pathologie externe puis comme professeur suppléant de pathologie générale dès 1901. Entre 1907 et 1919, il est nommé à l'Hôpital Necker. Il dirige le Centre des gazés durant la Première Guerre mondiale. De 1919 à 1929, il occupe la deuxième chaire de clinique médicale de l'Hôpital Beaujon. Entre 1929 et 1934, il est professeur de clinique médicale à l'Hôpital Cochin.</div>
Achard, Charles (1860-1944)
<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Achard" title="wikipedia" target="_blank"> Wikipedia</a> et CALAMES
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'accès :</strong><br /> L'accès aux collections patrimoniales est soumise à une autorisation préalable, conditionnée par la justification d'une recherche.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'utilisation :</strong> <br />La reproduction, la publication et la citation des documents sont soumises à l'autorisation du Directeur de la Bibliothèque de l'Académie nationale de médecine dans le respect des dispositions du Code de la propriété intellectuelle.</div>
français
Archives
Fonds Jacques Arsène d'Arsonval (1851-1940)
Histoire de la médecine
Bernard, Claude (1813-1878)
<div style="text-align: justify;">Le fonds d’Arsonval conservé aux archives de l’Académie des sciences a été constitué grâce à un don effectué en deux fois.<br /><br />Une première remise a été faite par Arsène d’Arsonval entre le 14 décembre 1938 et le 19 décembre 1938. Le scientifique a en effet chargé un de ses amis, le docteur Léon Delhoume, médecin et poète limousin, lauréat de l’Académie Française, de donner à Alfred Lacroix, secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences, et à Pierre Gauja, secrétaire - archiviste de l’Académie , une partie de sa correspondance avec Charles-Édouard Brown-Séquard ainsi que 3 cahiers d’expériences ayant appartenu à Claude Bernard. En effet, ce dernier lui avait légué ses écrits et ses manuscrits. Arsène d’Arsonval en avait été informé un mois a près le décès de son maître et eut accès aux documents en mars 1878. Le cahier « R » a été utilisé par une autre personne. Les premières pages comportent des figures et des notes en allemand. Les 3 cahiers sont à manier avec précaution. La reliure du cahier « S » est très abimée et de petits trous sont visibles sur certaines pages. <br /><br />Une lettre du 19 décembre 1938 accuse réception de la part des secrétaires perpétuels de l’Académie des sciences des documents envoyés par Arsène d’Arsonval et décrits dans le présent inventaire. Une note du service des archives de l’Académie des sciences retrouvée dans le dossier biographique de Charles - Edouard Brown-Séquard précise qu’Arsène d’Arsonval souhaitait que sa correspondance avec ce dernier ne soit communiquée qu’aux membres de l’Institut, « sous réserve qu’il ne soit pas publié d’autres extraits que ceux prévus dans l’ouvrage » que préparait Léon Delhoume. Ce dernier a eu en effet accès aux lettres échangées entre d’Arsonval et ses confrères dans le cadre de l’écriture de son livre<em> De Claude Bernard à d’Arsonval</em> paru en 1939. Les lettres semblent avoir été classées par Léon Delhoume, par ordre chronologique la plupart du temps. Cependant certaines lettres datées ont été mélangées à des lettres et des notes sans date. Un nouveau classement a été effectué pour améliorer ce dernier point et les courriers datés ont été réintégrés dans l’ordre chronologique. <br /><br />La deuxième remise des documents a été effectuée le 20 octobre 1947 à nouveau par le docteur Léon Delhoume. Les documents semblent aussi avoir été classés par ce dernier et contiennent des échanges épistolaires entre Charles-Edouard Brown-Séquard et Arsène d’Arsonval, mais également entre Brown-Séquard et ses confrères médecins et membres de l’Académie des sciences : Charles Bouchard (1837 - 1915), Jean-Martin Charcot (1825-1893), Félix Guyon (1831-1920) et Etienne-Jules Marey (1830-1904) . Une liste des courriers échangés semble avoir été établie par le responsable des archives à réception des documents, constituant ainsi un premier inventaire. Les courriers ont alors été numérotés au crayon à papier.<br /><br /> Des notes manuscrites de la main de Claude Bernard sur la fermentation et datées du mois d’août 1854 ont également été données à l’Académie des sciences par Arsène d’Arsonval. Ces documents ne sont pas mentionnés dans les deux remises précédentes et il n’est pas possible de savoir précisément leur date d’entrée aux archives de l’Académie des sciences. Il est cependant probable qu’ils aient été donnés en 1938, en accompagnement des cahiers d’expériences. Ces feuillets ont été trouvés dans le dossier biographique de Claude Bernard portant l’estampille « Archives d’A. d’Arsonval ». C’est ce qui nous a conduit à les réintégrer dans leur fonds d’origine.<br /><br /> Le fonds se compose en premier lieu de la correspondance, puis des pièces concernant la recherche scientifique et enfin des documents liés à la gestion du laboratoire.</div>
Arsonval, Jacques Arsène d' (1851-1940)
Inventaire effectué par Ana Relvas Pires
<div style="text-align: justify;">Des sources complémentaires sont disponibles aux archives du Collège de France (archives scientifiques et familiales , ainsi que les résumés des cours et un petit fonds iconographique ), à l a bibliothèque de l ’Académie nationale de médecine (quelques archives scientifiques, notamment des études et des publications) et aux Archives départementales de la Haute-Vienne (archives scientifiques et familiales).</div>
0,13 ml
français
Archives
90 J
1850-1894
Fonds Jacques Arsène d'Arsonval (1851-1940)
Physique biologique
Expérimentation médicale
<div style="text-align: justify;">Né en 1851 à La Porcherie en Haute Vienne, Arsène d'Arsonval est issu d'une famille de médecins. C’est en tant qu'étudiant en médecine qu'il assiste au cours de Claude Bernard. Il devient son préparateur au Collège de France au début des années 1870 et ce jusqu'à la mort du professeur.<br />Durant cette période, il va s'orienter progressivement vers la physique biologique. Avec l'aide de Paul Bert, il installe, à partir de 1881, son laboratoire de physique biologique à l'EPHE, d’abord à Paris, puis à Nogent-sur-Marne. Il assiste le professeur Charles-Edouard Brown-Séquard, successeur de Claude Bernard au Collège de France, de 1878 à 1887, puis est officiellement nommé professeur suppléant, avant d'être titularisé en 1894, suite au décès de son maître. Il occupera la chaire jusqu'à sa retraite, en 1930.<br />Concomitamment à son poste au Collège de France, il devient membre de l'Académie de Médecine en 1888 et de l'Académie des Sciences en 1894, à la place laissée vaquante par M. Brown-Séquard.<br />Parallèlement, il montre une grande énergie dans la mise en place de projets variés et dans ses recherches, comme en attestent, entre autres, les nombreux brevets ici conservés. Ceux-ci concernent des inventions touchant à différents domaines : moteur à explosions, amélioration des microphones, appareil microphoniques, dont certains font l'objet d'applications médicales.<br />Arsène d'Arsonval décède le 31 décembre 1940.<br />Chevalier (1884), Officier (1900), Commandeur (1907), Grand Officier (1923) et Grand' Croix (1931) de la Légion d'Honneur. <br /><br />Le fonds d'Arsonval est un fonds modeste par sa taille, mais renferme une grande variété de documents, marqués par une amplitude temporelle importante (XVII-XXe siècle). La partie la plus conséquente est composée d'archives familiales, qui permettent de suivre les générations depuis Simon d'Arsonval (1667-1714) jusqu'au professeur Arsène (1851-1940). Eu égard à la relative complexité de la généalogie de la famille et à l'intervalle des dates extrêmes, un arbre généalogique est téléchargeable. Un fonds iconographique est associé : il s'agit d'un classeur de photographies.</div>
Arsonval, Jacques Arsène d' (1851-1940)
Famille d'Arsonval
Présentation sur Salamandre, la bibliothèque patrimoniale numérique du Collège de France, des deux fonds associés : <a href="https://salamandre.college-de-france.fr/ead.html?id=FR075CDF_00CDF0038" target="_blank">Fonds Arsène d'Arsonval</a> et <a href="https://salamandre.college-de-france.fr/ead.html?id=FR075CDF_00Fi0006" target="_blank">Fonds Arsène d'Arsonval-Iconographie</a>
Son dossier personnel est conservé dans les archives des professeurs du Collège de France : 16 CDF 11.<br /> <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/86" target="_blank">Fonds Jacques Arsène d'Arsonval </a>aux archives de l'Académie des sciences
151 unités pour 1 mètre linéaire ; 1 classeur
Français
Archives
Photographies
38 CDF 1-151 ; 6 Fi 11-a-d
1691-1981
Fonds Jean-Pierre Bader (né en 1926)
Enquêtes épidémiologiques
Lutte contre le cancer
Recherche clinique
Recherche biologique
INSERM
<div style="text-align: justify;">Jean-Pierre BADER, conseiller de Louis Bugnard à l’INH et directeur scientifique à l’Inserm. Médecin hépatologue et gastroentérologue. Jean Pierre Bader, né le 17 juillet 1926 à Paris, fait ses études de médecine à la Faculté de Médecine de Paris. Il fait l’internat des hôpitaux de Paris (1950) qu’il achève son internat en 1955, à l’âge de 29 ans. Il devient alors chef de clinique à la faculté de médecine de Paris (1955), puis assistant (1958) et médecin des hôpitaux de Paris (1962). En 1964, il est maître de conférences, agrégé de pathologie médicale. Il rencontre Louis Bugnard, directeur général de l’Institut National d’Hygiène (INH) en 1958 et devient son Conseiller (1959) tout en poursuivant ses activités de clinicien. A l’INH, il assure, en particulier, le secrétariat du conseil d'administration et du conseil scientifique. Malgré la vocation initiale de l’INH, Jean-Pierre Bader, de concert avec Louis Bugnard, conscient de l’évolution incontournable de la médecine vers la recherche fondamentale, devient un des acteurs majeurs de l’organisation de cette recherche, qu’il veut complémentaire de la recherche clinique. Pour cela, sont créées par l’INH, puis par l’Inserm, des unités (laboratoires) au sein des hôpitaux. Il est aussi le négociateur des relations internationales (art.3). En 1971, il quitte l’Inserm pour la Direction Générale de la Recherche Scientifique et Technique (DGRST), organe coordonnateur de la Recherche en France, où il travaille en tant que conseiller de Pierre Aigrain pour les affaires de biomédecine jusqu’en 1972. Ce fonds reconstitue en quelque sorte la genèse de l’INH et de l’Inserm, organismes créés par la DGRST, précurseur du Ministère de la Santé et de la Recherche.</div>
Bader, Jean-Pierre (1926-….)
INSERM
<div style="text-align: justify;">Fonds librement communicable ; conditions de reproduction selon le règlement en salle de lecture.</div>
14 cartons
français
anglais
Archives
20160081/1-20160081/42
1959-1978
Fonds Jules Baillarger (1809-1890)
Médecine
<div style="text-align: justify;">Jules Baillarge, né le 26 mars 1809 à Montbazon et mort le 31 décembre 1890, est un médecin aliéniste français. Il a été l'élève d'Esquirol et interne à la Maison royale de Charenton. Il passe sa thèse de médecine en 1837 sur le sujet : « Du siège de quelques hémorragies méningées ».<br /><em> Il est cofondateur de la revue Annales médico-psychologiques</em>. Il a particulièrement travaillé sur les hallucinations, la mélancolie, la paralysie générale et la « folie à double forme » qu'on appelle aujourd'hui psychose maniaco-dépressive ou trouble bipolaire dans les classifications américaines.</div>
Baillarger, Jules Gabriel François (1809-1890)
<a href="http://www.calames.abes.fr/pub/ms/FileId-1591" title="Calames" target="_blank">CALAMES</a> et <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Baillarger" title="wikipedia" target="_blank">Wikipedia</a>
<div style="text-align: justify;">L'accès aux collections patrimoniales est soumise à une autorisation préalable, conditionnée par la justification d'une recherche. La reproduction, la publication et la citation des documents sont soumises à l'autorisation du Directeur de la Bibliothèque de l'Académie nationale de médecine dans le respect des dispositions du Code de la propriété intellectuelle.</div>
français
Archives
Fonds Alfred Baillot (18..-1926)
Baillot, Alfred (18..-1926)
<div style="text-align: justify;">Alfred Baillot (18..-1926) a été patient à la Fondation Curie. Il semble avoir été soigné à la clinique médico-chirugicale Antoine Chantin en 1925. Il décède en avril ou mai 1926.</div>
Baillot, Alfred (18..-1926)
<div style="text-align: justify;">L'accès aux archives est ouvert à tous sur rendez-vous uniquement. <br />Toute publication ou reproduction est soumise à autorisation.</div>
Archives
Fonds Marcel Baltazard (1908‑1971)
BCG
Bilharziose
Fièvre récurrente
Institut Pasteur d'Iran
Peste
Poliomyélite
Rage
Tuberculose
Typhus
Variole
<div style="text-align: justify;">Médecin et biologiste français, né à Verdun (Meuse, France) le 13/02/1908, décédé à Paris, le 01/09/1971. Chef de laboratoire (1933‑1941), puis chef de service (1942‑1945) à l'Institut Pasteur de Casablanca. Directeur de l'Institut Pasteur d'Iran, 1945‑1961. Conseiller scientifique à l'Institut Pasteur d'Iran, 1961‑1966. Membre du comité d'experts de la rage de l'OMS, 1950‑1957. Membre du comité d'experts de la peste de l'OMS, 1956. Chef du service d'épidémiologie des maladies transmissibles à l'Institut Pasteur, Paris, 1967‑1971.</div>
Baltazard, Marcel (1908-1971)
<div style="text-align: justify;">Consultation libre. Reproduction sur autorisation des Archives et de la Photothèque.</div>
<div style="text-align: justify;">Académie nationale de médecine, Paris (dossier de membre) ; Académie des sciences, Paris (Prix Bellion, 1954) ; Archives nationales, Paris (fonds de la Légion d'honneur)</div>
18 cartons ; 4000 pièces. (environ) ; 5,40 m.l.
français, anglais, russe
Archives
FR‑AIP‑BLT.
1946‑1971