Fonds Henri Baruk (1897-1999)
Psychiatrie
<div style="text-align: justify;">Né le 15 août 1897 à Saint Avé (Morbihan) et décédé le 14 juin 1999 à Saint-Maurice (Val-de-Marne), Henri Marc Baruk a été élu membre titulaire dans la VIIe section (Médecine et Sciences sociales et Membres libres) le 16 février 1965. <br /><strong>Parcours</strong><br /><br /> Inscrit à la Faculté de médecine d’Angers, il est mobilisé comme médecin auxiliaire en 1917 ; il s’illustre alors en prenant la tête d’une compagnie décimée par l’ennemi. En 1921, il est nommé interne des hôpitaux. Suivant la voie de son père, psychiatre et médecin-directeur de l’asile de Sainte-Gemmes, dans le Maine-et-Loire, il consacre en 1926 sa thèse aux Troubles mentaux dans les tumeurs cérébrales, et devient chef de clinique à l’hôpital Sainte-Anne, dans le service du professeur Henri Claude, détenteur de la chaire de clinique des maladies mentales. Sa thèse comme ses premiers travaux sur la catatonie le confrontent au « problème, qui sera pour lui central, des rapports entre la pensée et le cerveau ». Il poursuit ensuite des recherches avec le neurologue néerlandais De Jong, publiant avec lui <em>La catatonie expérimentale par la bulbocapnine : étude physiologique et clinique</em>, Paris : Masson, 1930. <br />Sa fascination pour les travaux de Babinski le pousse à fréquenter assidûment la clinique de La Pitié, provoquant la brouille avec Henri Claude, dont il était le successeur présumé à la chaire de Sainte-Anne. Henri Baruk quitte son poste, passe et est reçu premier au concours de Médecin des asiles de la Seine en 1930. Il devient dès 1931 médecin-chef de la Maison nationale de Charenton, poste qu’il occupe jusqu’à sa retraite hospitalière en 1968. <br />Professeur agrégé en 1946, nommé en 1961 à l’École pratique des hautes études directeur du Laboratoire de psychopathologie expérimentale et du Centre de psychiatrie sociale, il est aussi président de la Société médico-psychologique, président de la Société de médecine hébraïque, fondateur de la Société Moreau de Tours, etc. <br />Son oeuvre psychiatrique s’oriente avec le temps vers une réflexion philosophique inspirée par le texte et le message bibliques.<br /><br /><strong>Contenu :</strong> <br /><br />
<ul>
<li><a><span class="title" rel="dcterms:isPartOf">Henri Baruk à l’Académie nationale de médecine</span></a></li>
<li><a><span class="title" rel="dcterms:isPartOf">Autour d’Henri Baruk</span></a></li>
<li><a><span class="cote" rel="dcterms:isPartOf"></span><span class="title" rel="dcterms:isPartOf">Écrits d’Henri Baruk</span></a></li>
<li>Correspondance</li>
</ul>
</div>
Baruk, Henri (1897-1999)
<a href="http://www.calames.abes.fr/pub/ms/FileId-1243" title="Calames" target="_blank">CALAMES</a>
<div style="text-align: justify;">L'accès aux collections patrimoniales est soumise à une autorisation préalable, conditionnée par la justification d'une recherche. La reproduction, la publication et la citation des documents sont soumises à l'autorisation du Directeur de la Bibliothèque de l'Académie nationale de médecine dans le respect des dispositions du Code de la propriété intellectuelle.</div>
français
Archives
20e siècle
Mélanges sur la médecine
Académie d'Orléans
Ulcères
<div style="text-align: justify;">Charles Nicolas Beauvais de Préau, né à Orléans, le 1er août 1745, mort à Montpellier, le 28 mars 1794 est un médecin français qui a joué un rôle politique mineur à l'époque de la Révolution Française.</div>
<div style="text-align: justify;"></div>
<div style="text-align: justify;">Médecin à l'Hôtel-Dieu et à l'hôpital de Saint-Sulpice (fondé par Mme Necker) sous l'Ancien Régime, il est électeur du tiers état en 1789.Il est nommé ensuite juge de paix de sa section, celle de la Croix-rouge (section du Bonnet-Rouge). En 1791, il est élu député à l'Assemblée législative par le département de la Seine. En 1792, il est réélu député de la Convention nationale par le département de la Seine. Lors du procès de Louis XVI en janvier 1793, il vote pour la mort du roi.</div>
<div style="text-align: justify;">Député insignifiant, il est envoyé en mission avec Pierre Marie Baille dans le Var, il est resté célèbre pour son inaction à Toulon en mai 1793, où avec Pierre Marie Baille, il hésite entre les différents partis tout en laissant s'accroître l'insurrection et les mauvais traitements infligés aux soutiens du gouvernement de la Terreur. Le 3 juin 1793, Charles Nicolas Beauvais de Préau quitte Toulon avec son collègue pour se rendre à Nice. Mais le 18 juillet 1793, ils commettent l'imprudence de revenir à Toulon où une insurrection royaliste avait pris le pouvoir, supplantant une première insurrection girondine. Pierre Marie Baille jugea nécessaire de mettre fin à ses jours en se pendant dans sa cellule. Charles Nicolas Beauvais de Préau fut emprisonné durant quatre mois et fut libéré lors la reprise de Toulon par les révolutionnaires montagnards (qui avaient fait appel à Napoléon Bonaparte). La santé du prisonnier s'était gravement détériorée par suite des mauvais traitements que lui avaient fait subir ses gardiens. Elle était si déplorable qu'il ne put se rendre à Paris. On le transporte à Montpellier où il mourut le 8 germinal an II (28 mars 1794).</div>
<br />Présentation du contenu :
<div style="text-align: justify;">Cinq mémoires sur les ulcères vermineux, sur les propriétés médicinales du marronnier d'Inde ; sur l'influence des tempéraments par rapport aux maladies et à leur traitement, par M. Beauvais de Préau, médecin en chef à l'Hôtel-Dieu d'Orléans ; sur l'influence de l'air dans les maladies, par le même ; sur le rôle des vapeurs exhalées par le suif en fusion.</div>
Beauvais de Préau, Charles Nicolas (1745-1794)
Catalogue des archives et manuscrits <a href="http://aurelia.orleans.fr/archives-et-manuscrit" target="_blank" rel="noreferrer">Aurelia</a> de la médiathèque d'Orléans.<br />Wikipedia
Pour toute information sur la consultation de ce manuscrit, contactez le service Patrimoine :
mediatheque-patrimoine[@]orleans-mediatheque.fr.
44 feuillets de grandeur variable
français
Manuscrits
Mélanges sur la médecine - Ms. 430
XVIIIe siècle
Fonds Jules Béclard (1817-1887)
Médecine
<div style="text-align: justify;">Professeur de physiologie à la faculté de médecine, il est de 1862 à 1872 secrétaire annuel, puis de 1873 à 1887 secrétaire perpétuel de l'Académie de médecine. Béclard est notamment l'auteur d'un <em>Traité élémentaire de physiologie humaine comprenant les principales notions de la physiologie comparée</em> (1856).</div>
Béclard, Jules (1817-1887)
<a href="http://www.calames.abes.fr/pub/ms/FileId-1592" title="Calames" target="_blank">CALAMES </a>et <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules-Auguste_B%C3%A9clard" title="wikipedia" target="_blank">Wikipedia</a>
<div style="text-align: justify;">L'accès aux collections patrimoniales est soumise à une autorisation préalable, conditionnée par la justification d'une recherche. La reproduction, la publication et la citation des documents sont soumises à l'autorisation du Directeur de la Bibliothèque de l'Académie nationale de médecine dans le respect des dispositions du Code de la propriété intellectuelle.</div>
français
Archives
Fonds Claude Bernard (1813-1878)
Médecine expérimentale
Expérimentation animale
Physiologie
Expérimentation
<div style="text-align: justify;">Claude Bernard, né le 12 juillet 1813 à Saint-Julien (Rhône) et mort le 10 février 1878 à Paris, est un médecin et physiologiste français.<br />Considéré comme le fondateur de la médecine expérimentale, il a en particulier laissé son nom au syndrome de Claude Bernard-Horner. On lui doit les notions de milieu intérieur et d’homéostasie, fondements de la biologie moderne.<br />Au Collège de France, Claude Bernard fut professeur titulaire de la chaire de Médecine (1855-1878).<br /><br />Le fonds Claude Bernard rassemble un important ensemble de cahiers, carnets et notes manuscrites principalement écrits de la main de Claude Bernard. C'est vers 1850 que Claude Bernard, alors âgé de 37 ans et encore préparateur de Magendie, entrepris de noter ses projets et résultats d'expériences, observations de physiologie mais aussi premières réflexions philosophiques. Il continuera cette rédaction jusqu'à sa mort en 1878 constituant une collection exceptionnelle. Quoique ses cahiers de laboratoire et notes n'aient pas été destinés à des tiers, Claude Bernard avait souhaité leur conservation et donna des instructions en ce sens par voie testamentaire.</div>
<div style="text-align: justify;"></div>
Bernard, Claude (1813-1878)
Notice de <a href="https://salamandre.college-de-france.fr/ead.html?id=FR075CDF_00CDF_FCB" target="_blank">présentation du fonds</a> sur Salamandre, la bibliothèque patrimoniale numérique du Collège de France.
Son dossier personnel est conservé dans les archives des professeurs du Collège de France : 16 CDF 29.<br />Voir le <a href="https://rhpst.huma-num.fr/admin/items/show/86" target="_blank">fonds Jacques Arsène d'Arsonval </a>aux Archives de l'Académie des sciences pour des manuscrits complémentaires.
42 cahiers, 29 carnets, 36 fascicules
Français
Archives
39 CDF
1838-[1895]
Fonds Noël Bernard (1875‑1971)
Choléra
Paludisme
Instituts Pasteur d'Indochine
Instituts Pasteur d'Outre-mer
Yersin Alexandre
<div style="text-align: justify;">Médecin et biologiste français né le 04/10/1875, mort en 1971. Sous‑directeur (1917‑1918), puis directeur (1919‑1922) de l'Institut Pasteur de Saigon. Mandataire de l'Institut Pasteur de Paris en Indochine et directeur des Instituts Pasteur d'Indochine (1923‑1935). Directeur des Instituts Pasteur d'Outre‑mer (1938‑1958).</div>
Bernard, Noël (1875-1971)
Consultation libre. Reproduction sur autorisation des Archives et de la Photothèque.
Collections particulières
5 cartons ; 300 pièces. (environ) ; 0,50 m.l.
français
Archives
Ouvrages imprimés
Tirés à part
Photographies
FR‑AIP‑BRN.
1903‑1953
Fonds Janine Bertier (1928-2005)
Histoire de la philosophie
Aristote
Arithmétique antique
Médecine antique
Médecine médiévale
Médecine à la Renaissance
Histoire de la pédiatrie
Histoire de la zoologie
<div style="text-align: justify;">Janine Bertier a mené une carrière de chercheur au CNRS et est devenue directrice de recherche. Elle a appartenu au Centre Jean Pépin (UPR 76). Traductrice des textes sur le vivant d’Aristote, elle était spécialiste de médecine et d’arithmétique antiques.</div>
Bertier, Janine (1928-2005)
<div style="text-align: justify;"><strong>Accès</strong> aux archives sur autorisation.<br />Fonds ouvert à tous les chercheurs susceptibles d'être intéressés par l’œuvre de Janine Bertier.<br /><br /><strong>Conditions d'utilisation</strong> :<br />La reproduction et l'exploitation des documents sont possibles sur autorisation, et à condition de respecter l'obligation de citation.</div>
Archives : 29 boîtes. 27 x 35 x 15 cm
Bibliothèque : 970 titres
français
anglais
allemand
grec ancien
latin
Ouvrages imprimés
Revues
Tirés à part
Archives
Cotes des archives : JB
Cotes des ouvrages : JBE
Fonds de la bibliothèque : 1859-2002
Fonds d'archives :
Papiers du Dr Alexandre Bertrand (1795-1831)
Névropathie
Hypnose
Hystérie
Alexandre Jacques François Bertrand, né à Rennes le 25 avril 1795, mort à Paris le 22 janvier 1831, est un médecin français, naturaliste, physicien, proche des saint-simoniens, écrivain et chroniqueur scientifique.
Spécialiste du somnambulisme et du magnétisme animal, il défend puis réfute la théorie du « fluide » et devient un des inspirateurs des théories modernes de l'hypnose.
Il écrit aussi des articles et des ouvrages de vulgarisation sur la géologie, la physique et les questions scientifiques de l'époque.
Bertrand, Alexandre (1795-1831)
CALAMES ; Wikipedia
Les chercheurs souhaitant être admis comme lecteurs doivent être présentés au directeur de la bibliothèque par deux membres de l'Institut.
La publication de documents inédits est soumise à l'autorisation de la Commission des bibliothèques et archives de l'Institut de France.
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/141" target="_self">Fonds de son fils Joseph Bertrand (1822-1900)</a>
français
Manuscrits
Manuscrits de la Bibliothèque de l'Institut de France. Ms 2046
1792-1806
Fonds Alexandre Besredka (1870‑1940)
Antivirus
Immunologie
Institut Pasteur
Vaccin
<div style="text-align: justify;">Médecin et biologiste français, d'origine russe, né à Odessa (Russie), le 27/03/1870, mort à Paris le 28/02/1940. Chef de laboratoire (1905‑1914), puis chef de service (1919‑1940) à l'Institut Pasteur, Paris.</div>
Besredka, Alexandre (1870‑1940)
Consultation libre. Reproduction sur autorisation des Archives et de la Photothèque
3 cartons ; 74 pièces. ; 0,30 m.l.
français
Archives
Ouvrages imprimés
Tirés à part
FR‑AIP‑BES.
1897‑1940
Fonds Marcel Bessis (1917-1994)
Hématologie
Médecine
<div style="text-align: justify;">
<p>Marcel Bessis entame sa carrière de médecin - chercheur dans le laboratoire d'Henri Rouvière, professeur d'anatomie, avec comme collaborateurs Jean Dausset et <a>Gabriel Richet.</a> La fin de ses études de médecine est interrompue par la Seconde Guerre mondiale. Médecin militaire pendant la Campagne d'Italie, il propose de traiter les blessés victimes d'écrasement musculaire par exsanguino-transfusion.</p>
<p>Il reprend ses études à la fin de la guerre et devient l'élève d’Arnault Tzanck, qui donne à quelques-uns d’entre eux un laboratoire au sein du centre de transfusion sanguine. Bessis y retrouve Dausset et sa rencontre avec <a>Jean Bernard </a>a lieu en 1946, dans les "caveaux-labos" de l’hôpital Saint-Antoine.</p>
<p>Marcel Bessis donne une des premières descriptions de <strong>la maladie Rhésus</strong>, responsable de l’anémie hémolytique du nouveau-né. Il découvre, au cours d'enquêtes conduites dans les élevages mulassiers du Poitou, que la jaunisse grave du muleton nouveau-né est la conséquence d'un conflit entre la jument et le muleton. En 1946, il propose le traitement par exsanguino-transfusion du nouveau-né humain atteint de <strong>la maladie hémolytique </strong>: 80% des enfants sont ainsi sauvés. L'exsanguino-transfusion est ensuite appliquée avec succès au traitement des intoxications graves et des grandes destructions globulaires. <strong>Grâce à lui, la première rémission pour un malade atteint de leucémie aiguë est obtenue à l'hôpital Herold, en 1947.</strong></p>
<p>Pendant le même temps (1946-1949), Marcel Bessis suit les cours du Collège de France des professeurs Fauré-Frémiet sur la cellule et Lacassagne sur le cancer. Il est un des pionniers de la transformation de la science des cellules, la cytologie. D'anatomique et morphologique, celle-ci devient physiologique. Son objet de recherche : la relation entre les structures de la cellule et ses fonctions. Deux grandes orientations : l'étude de l'influence des facteurs extérieurs et de l'environnement sur les structures et les fonctions de la cellule sanguine ; l'étude directe de cette ultrastructure et de ses relations avec la fonction. L'étude du problème lié au facteur Rhésus permet à Marcel Bessis de faire des observations sur le rôle des facteurs extérieurs dans la formation, le développement et la mort des cellules sanguines. Il étudie alors ces dernières et va travailler sur l'ultrastructure et les liens entre structure et fonction. Il est l'un des premiers à utiliser le microscope électronique en hématologie. Mais cela lui permet uniquement de faire des observations d'"autopsie".</p>
<p>Il recourt alors à des techniques plus sophistiquées (microcinématographie accélérée en contraste de phase, micro-irradiation ultra-violette, laser des organelles cellulaires) et il imagine des méthodes nouvelles d'étude de la direction des mouvements cellulaires. Il s'agit de créer une physiologie à l’échelle des angströms (10-10 mètre). Il découvre des lois qui gouvernent la forme des globules rouges (le passage de la forme de disque à celle de sphère), mais aussi la naissance des formes anormales (la définition des propriétés mécaniques qui permettent la "déformabilité" nécessaire à la circulation). C’est la naissance de la pathologie du mouvement et du comportement cellulaires, de l’éthologie et de l’écologie cellulaires. Il apporte des données neuves sur la démographie, la différenciation, la nécrose et la mort cellulaires, qu’il applique à la pathologie.</p>
</div>
Bessis, Marcel (1917-1994)
<a href="http://histoire.inserm.fr/les-femmes-et-les-hommes/marcel-bessis" title="INSERM" target="_blank">Site de l'INSERM</a> (biographie) <a href="http://www.calames.abes.fr/pub/ms/FileId-1261" title="Calames" target="_blank">CALAMES</a>
<div style="text-align: justify;">L'accès aux collections patrimoniales est soumise à une autorisation préalable, conditionnée par la justification d'une recherche. La reproduction, la publication et la citation des documents sont soumises à l'autorisation du Directeur de la Bibliothèque de l'Académie nationale de médecine dans le respect des dispositions du Code de la propriété intellectuelle.</div>
français
Archives
Bibliothèque interuniversitaire de Montpellier
Médecine
Lettres
Sciences humaines
Sciences
Droit
<div style="text-align: justify;">Afin de constituer à Montpellier un pôle documentaire efficace et d'offrir aux différentes universités des moyens documentaires renforcés, l'Université de Montpellier et l'Université Paul-Valéry Montpellier 3 réaffirment leur volonté de mettre en oeuvre leur politique documentaire dans le cadre d'une coopération interuniversitaire et constituent pour cela un service inter-établissements de coopération documentaire, dénommé Bibliothèque Interuniversitaire de Montpellier, comme soutien de leurs programmes d'enseignement, de recherche et de diffusion large des connaissances.<br />Le service inter-établissements de coopération documentaire est appelé Bibliothèque Interuniversitaire de Montpellier (BIU) et regroupe les services communs de la documentation (SCD) et les services mutualisés.<br />Il définit et met en oeuvre la politique documentaire de ces universités.<br /><br />Les bibliothèques de Montpellier conservent des fonds patrimoniaux très riches (d'exceptionnelles collections de livres anciens notamment), des archives et des manuscrits dans tous les domaines du savoir. Ces fonds sont conservés selon la discipline qu'ils couvrent dans différentes bibliothèques :</div>
<ul>
<li style="text-align: justify;">
<div><strong>la Bibliothèque Universitaire Historique de Médecine</strong> conserve des collections encyclopédiques exceptionnelles en histoire de la médecine, du 8e au 19e siècle : mille manuscrits (voir catalogue CALAMES), cent mille volumes imprimés anciens couvrant toutes les disciplines, thèses anciennes de médecine, archives anciennes de la Faculté de médecine de Montpellier.</div>
</li>
<li style="text-align: justify;">
<div><strong>la Bibliothèque de Lettres, Sciences humaines et sociales, Bibliothèque Ramon Llull</strong> propose plusieurs fonds de manuscrits et d'archives, notamment les fonds de Jean Cocteau, <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/660" target="_blank" rel="noopener">Charles Renouvier</a>, <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/661" target="_blank" rel="noopener">Georges Vacher de Lapouge</a>.</div>
</li>
<li>
<div style="text-align: justify;"><strong>la Bibliothèque universitaire de Sciences</strong> conserve notamment le fonds <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/662" target="_blank" rel="noopener">Joseph Diez Gergonne</a>, le <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/663" target="_blank" rel="noopener">fonds Dunal</a>, le fonds <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/664" target="_blank" rel="noopener">Pierre Jeanjean</a>, le fonds <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/666" target="_blank" rel="noopener">Charles Flahault</a>.</div>
</li>
<li><strong>la Bibliothèque de droit, science politique, économie et gestion</strong> conserve notamment <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/665" target="_blank" rel="noopener">le fonds des vues d'optique</a>, le fonds Geddes et le fonds Antonelli.</li>
</ul>
<p><br /><br /><br /><br /></p>
Bibliothèque interuniversitaire de Montpellier
Catalogue <a href="http://www.calames.abes.fr/pub/ms/FileId-1691" target="_blank" rel="noopener">CALAMES </a>et <a href="http://www.biu-montpellier.fr/florabium/jsp/biumImpossid/anonyme2/index2.jsp" target="_blank" rel="noopener">site web</a>