Fonds Henri Berr (1863-1954)
Sciences -- Histoire
Sciences humaines
Philosophie
Histoire des idées
<div style="text-align: justify;">Le fonds est constitué à la fois de la bibliothèque personnelle d’Henri Berr – elle reflète ses intérêts personnels, tels que la philosophie et l’histoire, notamment ses recherches sur Gassendi , et les ouvrages envoyés pour compte rendu à la Revue de synthèse jusqu'à la date de la mort d'Henri Berr.</div>
Berr, Henri (1863-1954)
CAPHÉS
Ouvert à tous
<a href="http://www.imec-archives.com/fonds/berr-henri/" target="_blank">Les archives d'Henri Berr</a> sont conservées à l'<a href="http://www.imec-archives.com/" target="_blank">IMEC</a>
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/83" title="Fonds de la Revue d'Histoire des Sciences" target="_blank">Fonds de la Revue d'Histoire des Sciences<br /></a>
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/82" title="Fonds du Centre international de synthèse" target="_blank">Fonds du Centre international de Synthèse</a>
<a href="http://www.imec-archives.com/fonds/revue-de-synthese/" title="Revue de Synthèse - IMEC" target="_blank">Revue de Synthèse - IMEC</a>
3637 ouvrages
français
anglais
allemand
espagnol
italien
latin
grec ancien
Ouvrages imprimés
Tirés à part
Revues
BER
1565-2005
Fonds Henri Berr (1863-1954)
Philosophie
Histoire
<div style="text-align: justify;">Considéré comme l’un des pères de la "nouvelle histoire", Henri Berr fut le fondateur (en 1900) de la<em> Revue de synthèse historique</em>, devenue, en 1930, <em>Revue de synthèse</em> et, en 1920, de la collection d’histoire universelle "Évolution de l’humanité", dans laquelle il publia notamment <em>La Société féodale</em> de Marc Bloch et <em>Le Problème de l’incroyance au XVIe siècle</em> de Lucien Febvre. Auteur de plusieurs ouvrages, dont <em>La Synthèse en histoire</em> (1911) qui reste son livre de référence, il créa, avec le soutien de son ami Paul Doumer, en 1925, le Centre international de synthèse qui constitua, avec les Semaines de synthèse, l’un des lieux les plus vivants de rencontre interdisciplinaire et d’échange intellectuel.<br /><br />Ce fonds se compose des archives personnelles d’Henri Berr (manuscrits, correspondance, documentation) et des archives éditoriales liées à la production de la <em>Revue de synthèse</em>, de la collection "Évolution de l’humanité", du Vocabulaire historique et des "Semaines de synthèse". Un ensemble important concerne l’activité du Centre international de synthèse et est postérieur au décès de l’auteur.</div>
Berr, Henri (1863-1954)
Site <a href="http://www.imec-archives.com/fonds/berr-henri/" target="_blank">IMEC</a>
Communicable après accord IMEC
<div style="text-align: justify;">Le <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/81" target="_blank">fonds Henri Berr,</a> le <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/82" target="_blank">fonds du Centre international de synthèse-Fondation "Pour la science"</a> , le <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/83" target="_blank">fonds de la <em>Revue d'histoire des sciences</em> </a>conservés au CAPHÉS.</div>
Le <a href="http://www.imec-archives.com/fonds/albin-michel/" target="_blank">fonds Albin Michel </a>à l'IMEC.<br /><br />
146 boîtes d’archives
119 imprimés
Français
Archives
Ouvrages imprimés
BRR
1871-
Bibliothèque interuniversitaire de Montpellier
Médecine
Lettres
Sciences humaines
Sciences
Droit
<div style="text-align: justify;">Afin de constituer à Montpellier un pôle documentaire efficace et d'offrir aux différentes universités des moyens documentaires renforcés, l'Université de Montpellier et l'Université Paul-Valéry Montpellier 3 réaffirment leur volonté de mettre en oeuvre leur politique documentaire dans le cadre d'une coopération interuniversitaire et constituent pour cela un service inter-établissements de coopération documentaire, dénommé Bibliothèque Interuniversitaire de Montpellier, comme soutien de leurs programmes d'enseignement, de recherche et de diffusion large des connaissances.<br />Le service inter-établissements de coopération documentaire est appelé Bibliothèque Interuniversitaire de Montpellier (BIU) et regroupe les services communs de la documentation (SCD) et les services mutualisés.<br />Il définit et met en oeuvre la politique documentaire de ces universités.<br /><br />Les bibliothèques de Montpellier conservent des fonds patrimoniaux très riches (d'exceptionnelles collections de livres anciens notamment), des archives et des manuscrits dans tous les domaines du savoir. Ces fonds sont conservés selon la discipline qu'ils couvrent dans différentes bibliothèques :</div>
<ul>
<li style="text-align: justify;">
<div><strong>la Bibliothèque Universitaire Historique de Médecine</strong> conserve des collections encyclopédiques exceptionnelles en histoire de la médecine, du 8e au 19e siècle : mille manuscrits (voir catalogue CALAMES), cent mille volumes imprimés anciens couvrant toutes les disciplines, thèses anciennes de médecine, archives anciennes de la Faculté de médecine de Montpellier.</div>
</li>
<li style="text-align: justify;">
<div><strong>la Bibliothèque de Lettres, Sciences humaines et sociales, Bibliothèque Ramon Llull</strong> propose plusieurs fonds de manuscrits et d'archives, notamment les fonds de Jean Cocteau, <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/660" target="_blank" rel="noopener">Charles Renouvier</a>, <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/661" target="_blank" rel="noopener">Georges Vacher de Lapouge</a>.</div>
</li>
<li>
<div style="text-align: justify;"><strong>la Bibliothèque universitaire de Sciences</strong> conserve notamment le fonds <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/662" target="_blank" rel="noopener">Joseph Diez Gergonne</a>, le <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/663" target="_blank" rel="noopener">fonds Dunal</a>, le fonds <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/664" target="_blank" rel="noopener">Pierre Jeanjean</a>, le fonds <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/666" target="_blank" rel="noopener">Charles Flahault</a>.</div>
</li>
<li><strong>la Bibliothèque de droit, science politique, économie et gestion</strong> conserve notamment <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/665" target="_blank" rel="noopener">le fonds des vues d'optique</a>, le fonds Geddes et le fonds Antonelli.</li>
</ul>
<p><br /><br /><br /><br /></p>
Bibliothèque interuniversitaire de Montpellier
Catalogue <a href="http://www.calames.abes.fr/pub/ms/FileId-1691" target="_blank" rel="noopener">CALAMES </a>et <a href="http://www.biu-montpellier.fr/florabium/jsp/biumImpossid/anonyme2/index2.jsp" target="_blank" rel="noopener">site web</a>
Fonds Contantin Brailoiu (1893-1958)
Ethnologie
Musicologie
Ethnomusicologie
<div style="text-align: justify;">Constantin Brailoiu naît à Bucarest en 1893 dans une famille originaire d'Olténie. Il étudie la musique à Bucarest, puis à Vienne et à Lausanne, où il fait la connaissance de Ernest Ansermet. plus tard, à Paris, il rencontre Maurice Ravel, Darius Milhaud et Arthur Honegger. Il se destine alors à la composition. Cependant, à son retour en Roumanie en 1914, la découverte des musiques traditionnelles de son pays le pousse progressivement à abandonner cette carrière pour se consacrer à l'étude de ce que l'on nommait alors encore le folklore musical. En 1928, il crée les Archives de folklore de la Société des compositeurs roumains et rejoint le groupe du professeur Dimitrie Giusti. Il y effectue plusieurs enquêtes de terrain en Bucovine puis en Transylvanie. Il consacre les années suivantes à une exploration scientifique approfondie du répertoire de musique populaire roumaine : il parcourt de nombreux villages de Roumanie (essentiellement en Transylvanie et en Olténie) pour y collecter et enregistrer de nombreux textes et mélodies. Il élabore pour cela une méthodologie de recherche (Esquisse d'une méthode de folklore musical, parue en 1931) qui contribue aux balbutiements de la discipline ethnomusicologique. En 1943, alors que la situation politique de son pays se dégrade sérieusement, Constantin Brailoiu décide de quitter la Roumanie pour la Suisse où l'attend un poste de conseiller culturel auprès de la Légation roumaine à Berne. Il rencontre Eugène Pittard, directeur du Musée d'Ethnographie de Genève, qui lui propose de fonder au sein de son établissement une institution vouée à la collecte et la conservation des musiques traditionnelles : les Archives internationales de musique populaire. En 1948, il rejoint également une équipe du CNRS à Paris et participe aux travaux de l'Institut d'Ethnomusicologie du Musée de l'Homme auprès de Gilbert Rouget et Jacques Chailley. Il prend part jusqu'à sa disparition en 1958 à Paris à de nombreux colloques et conférences, et consacre une part importante de son activité à la diffusion de ses recherches. La somme de ses enregistrements conservés à Genève est éditée entre 1951 et 1958 dans une série de 40 disques (Collection de musique populaire enregistrée). Constantin Brailoiu est aujourd'hui considéré comme un des pères de l'ethnomusicologie européenne. Les Archives internationales de musique populaire qu'il a contribué à faire naître regroupent aujourd'hui un des plus vastes ensembles documentaires de musique populaire. <br />Le fonds contient des documents relatifs à <strong></strong> sa <strong>carrière scientifique </strong>et ses <strong>travaux </strong>(notes, fiches d'observation, textes des enregistrements sonores, photographies...), des <strong>articles de presse</strong> et <strong>coupures de journaux</strong>, des<strong> manuscrits</strong> et des <strong>textes publiés</strong>.</div>
Brailoiu, Constantin (1893-1958)
<a href="http://www.calames.abes.fr/pub/#details?id=FileId-1825" target="_blank">Calames</a> (Catalogue en ligne des archives et des manuscrits de l'enseignement supérieur)<br /><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Constantin_Br%C4%83iloiu" target="_blank">Wikipedia</a>
<div style="text-align: justify;">La publication et la reproduction sont soumises à l'autorisation de la Direction des bibliothèques et de la documentation du Muséum national d'histoire naturelle.</div>
<div style="text-align: justify;">Les enregistrements sonores de Constantin Brailoiu, édités par les Archives internationales de musique populaire, ont été transférés à la Médiathèque du Musée du Quai Branly.</div>
Les documents sont rédigés en français et en roumain.
Archives
Manuscrits
Photographies
2 AP 11 A - 2 AP 11 D
Fonds Breuil (1877-1961)
Archéologie
Anthropologie
Ethnologie
Préhistoire
Géologie
Art pariétal
<div style="text-align: justify;">Henri Breuil, connu sous le nom de l'abbé Breuil, né le 28 février 1877 à Mortain Manche) et mort le 14 août 1961 à L'Isle-Adam (Val-d'Oise, à l'époque Seine-et-Oise), est un prêtre catholique et préhistorien français. Il fut surnommé le 'pape de la Préhistoire', il s’est illustré par ses contributions à la classification des industries paléolithiques et à l’étude de l’art pariétal préhistorique. <br />Le fonds Breuil conservé au Muséum national d'histoire naturelle est particulièrement riche car il donne une vue très large à la fois de la <strong>production scientifique</strong> de l'abbé Breuil et de sa documentation. En effet, à coté des archives scientifiques proprement dites, la bibliothèque du Muséum conserve la collection de tirés-à-part de l'abbé, rangés selon un classement thématique de Breuil lui-même, comme en attestaient les boites de conservation anciennes, ainsi qu'une très grande partie de sa collection iconographique.<br />Le fonds d'archives scientifiques de l'abbé Breuil tel qu'il est parvenu au Muséum d'histoire naturelle par l'intermédiaire de son exécuteur testamentaire, le professeur Léon Pales comporte un certain nombre de documents produits par Mary Boyle, son assistante. Ces documents forment une partie de l'inventaire. De la même façon, des papiers de famille provenant de sa soeur, Madeleine Kula, ont été mélangés au fonds et trouvent ici une place à part. En fin d'inventaire enfin ont été placés un certain nombre de documents provenant de Breuil, qui avaient fait l'objet d'un traitement particulier au département de préhistoire du Musée de l'homme.<br />Le fonds comporte également une riche <strong>collection iconographique</strong>. <span>Sauf mention contraire, les relevés ont été effectués par l'abbé Breuil. Un dossier regroupant de la documentation associée à ces relevés sur calque est conservé à la suite du fonds d'archives de l'abbé Breuil (cotes Ms Br). Il contient des croquis d'assemblage des relevés, des clichés photographiques et quelques cartes postales des sites.<br />Enfin, les tirés à part comportent très souvent des ex-libris manuscrits et des envois. Ils sont presque toujours annotés et soulignés. Ils comportent parfois des documents orginaux associés : notes, lettres, croquis, cartes postales...<br />Le fonds contient des <strong>archives personnelles</strong> (correspondance, manuscrits autobiographiques, diplômes et distinctions honorigiques...), des documents relatifs à <strong></strong> sa <strong>carrière scientifique </strong>et ses <strong>travaux </strong>(notes, carnets, cours, photographies, croquis, documents iconographiques...), des<strong> documents manuscrits</strong> et des <strong>tirés à part</strong>.</span></div>
Breuil, Henri (1877-1961)
<a href="http://www.calames.abes.fr/pub/#details?id=FileId-1364" target="_blank">Calames</a> (Catalogue en ligne des archives et des manuscrits de l'enseignement supérieur)<br /><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Breuil" target="_blank">Wikipedia</a>
<div style="text-align: justify;">L'accès aux collections patrimoniales est soumis à une autorisation préalable, conditionnée par la justification d'une recherche. Vous pouvez adresser votre demande à l'adresse suivante : patrimoinedbd@mnhn.fr</div>
<div style="text-align: justify;">Beaucoup d'institutions concernées par la préhistoire en général et l'art pariétal en particulier possèdent des documents de Breuil qui a lui même largement contribué à cette dispersion. Il convient cependant de citer ici le fonds Breuil conservé au Musée d'archéologie nationale (Saint-Germain-en-Laye), qui conserve un grand nombre d'archives de Breuil, confiées à son éditeur Arnold Fawcus.</div>
Les documents sont rédigés en français.
Archives
Tirés à part
Photographies
Manuscrits
Ressources iconographiques
<div style="text-align: justify;">Archives scientifiques de l'abbé Henri Breuil et de Mary Boyle : Br 1 à Br 114<br />Collection iconographique de l'abbé Breuil : IC BR<br />Collection de tirés à part de l'abbé Breuil : TAP Br</div>
Fonds Marie-Louise Brini
Archéologie
Céramologie
Céramique
<div style="text-align: justify;">Le fonds rassemble les archives scientifiques et professionnelles de Marie-Louise Brini, chercheuse spécialisée dans le domaine de l'étude de la céramique.<br />Le fonds contient principalement des <strong>dossiers de travail</strong> comprenant des croquis-relevés de céramiques étudiées dans divers pays, des notes de travail et notes bibliographiques, des photographies de pièces de collection et quelques tirés-à-part, des dossiers bibliographiques.</div>
Brini, Marie-Louise
<a href="http://www.calames.abes.fr/pub/#details?id=FileId-2164" target="_blank">Calames</a> (Catalogue en ligne des archives et des manuscrits de l'enseignement supérieur)
<div style="text-align: justify;">L'accès aux collections patrimoniales est soumise à une autorisation préalable, conditionnée par la justification d'une recherche. Vous pouvez adresser votre demande à l'adresse suivante : patrimoinedbd@mnhn.fr.</div>
Les documents sont le plus souvent rédigés en français.
Archives
Tirés à part
Photographies
MH ETHN EUR 74 à MH ETHN EUR 88
Fonds Louis Capitan (1854-1929)
Américanisme
Archéologie
Ethnographie
Anthropologie préhistorique
<div style="text-align: justify;">Joseph Louis Capitan, né le 19 avril 1854 et mort le 1er septembre 1929 à Paris, est un médecin, anthropologue et préhistorien français.<br />Louis Capitan fut élève de Claude Bernard, interne des hôpitaux de Paris, docteur en 1883, puis chef de clinique à l'Hôtel-Dieu et médecin consultant à la Pitié.<br />Élève de Gabriel de Mortillet, le docteur Capitan est associé aux débuts de l'anthropologie préhistorique et en particulier à la découverte en 1901 des grottes ornées des Combarelles et de Font-de-Gaume située en Dordogne aux Eyzies avec Henri Breuil et Denis Peyrony. Il participe aux fouilles de nombreux sites, dont Laugerie-Haute, Teyjat, La Ferrassie, La Madeleine, Saint-Acheul et Font-de-Gaume.<br />À partir de 1898, il donne des cours d'anthropologie préhistorique à l'École d'anthropologie avant d'être chargé du cours d'Antiquités américaines au Collège de France en 1908.<br />Médecin et anthropologiste. Membre de la société d'anthropologie et chargé de conférences en anthropologie pathologique à l'École d'anthropologie. Associé libre de l'Académie de médecine (élu en 1909).<br /><br />Contenu du fonds : manuscrits et notes relatives aux cours et conférences donnés par L. Capitan à l'Ecole d'anthropologie puis au Collège de France ; collection de photographies et dessins sur plaque de verre, servant d'illustration aux cours et conférences donnés par L. Capitan.</div>
Capitan, Louis (1854-1929)
<a href="https://salamandre.college-de-france.fr/ead.html?id=FR075CDF_00CDF0046-2" target="_blank">Notice de présentation du fonds</a> sur Salamandre, la bibliothèque patrimoniale numérique du Collège de France.
Dossier personnel conservé aux archives du Collège de France : 5 CDF 6
Collection d'objets Capitan conservée au musée du Quai Branly
41 unités documentaires
Français
Archives
Photographies
Ressources iconographiques
46 CDF art. 1-4 ; 1 PV
[1884]-1929
Fonds Cornelius Castoriadis (1922-1997)
Économie
Philosophie
Politique
Psychanalyse
Psychologie
<div style="text-align: justify;">Né en 1922, Cornelius Castoriadis prend part à la Résistance grecque et rejoint la France en 1945 à bord du Mataroa avec de nombreux jeunes intellectuels et artistes comme Kostas Axelos ou Kostas Papaïoannou. Il devient économiste auprès de l’OCDE de 1948 à 1970. Adhérent d’un parti trotskiste, le Parti communiste internationaliste (IVe Internationale), il crée en août 1946 avec Claude Lefort une tendance minoritaire. La tendance Chaulieu-Montal (Chaulieu étant un de ses pseudonymes) quitte en 1949 le PCI pour se constituer en groupe autonome, Socialisme ou Barbarie (1946-1967). Le premier numéro de la revue du même nom paraît en mars 1949.<br />À partir de 1964, Castoriadis devient membre de l’École freudienne de Paris (EFP), fondée par Jacques Lacan, auquel il s’oppose dès 1967. Sa pensée influence le mouvement de Mai 68 que Castoriadis analyse dans un ouvrage écrit avec Edgar Morin et Claude Lefort, <em>La Brèche</em>. En 1969, il quitte l’EFP et participe avec sa femme Piera Aulagnier à la formation du Quatrième groupe. Castoriadis commence une deuxième analyse didactique avec Jean-Paul Valabrega et commence à exercer comme analyste à partir de 1973.<br />Le "moment antitotalitaire" des années 1970 marque un moment de reconnaissance de son travail. En 1975 paraît <em>L’Institution imaginaire de la société</em> et, de 1975 à 1998 sa série d’ouvrages rassemblée sous le titre <em>Les Carrefours du labyrinthe</em>. À la fin des années 1970, il écrit dans <em>Topique</em>, participe à <em>Esprit</em>, <em>Textures</em> et à <em>Libre</em> avec Miguel Abensour, Pierre Clastres et Marcel Gauchet.<br />En 1980, Castoriadis est nommé directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS). Les séminaires qu’il consacre à la Grèce antique seront publiés à titre posthume. Cornelius Castoriadis est mort le 26 décembre 1997.<br /><br />Le fonds est essentiellement constitué de manuscrits, de correspondances, de notes et de documents de travail. Il contient une importante documentation sur les différentes activités de l’auteur : politiques, militantes, philosophiques, psychanalytiques, éditoriales, scientifiques et universitaires.</div>
Castoriadis, Cornelius (1922-1997)
Notice <a href="http://www.imec-archives.com/fonds/castoriadis-cornelius/" target="_blank">IMEC</a>
Communicabilité restreinte
97 boîtes d'archives
Français
Grec moderne
Anglais
Espagnol
Italien
Archives
CST
1939-1997
Fonds Diane Chauvelot (1922-2008)
Psychanalyse
Lacan, Jacques (1901-1981)
<div style="text-align: justify;">Psychiatre et psychanalyste, Diane Chauvelot rencontre pour la première fois Jacques Lacan au début des années 50, dix ans avant d’entreprendre une analyse avec lui. En 1955, elle commence à assister aux séminaires de Sainte-Anne et obtient l’accord de Jacques Lacan pour les enregistrer et les transcrire. Assidue à cet enseignement pendant plus de vingt ans, Diane Chauvelot a fidèlement sauvegardé la parole de Jacques Lacan, tout en la documentant avec d’autres éléments.<br /><br />Le fonds comprend un ensemble de documents autour de la pensée lacanienne, dont les transcriptions des séminaires de 1955 à 1978. Le dépôt est complété par des dossiers relatifs à l’enseignement de Diane Chauvelot à l’université de Vincennes de 1974 à 1977 et par d’autres documents personnels.</div>
Chauvelot, Diane (1922-2008)
Notice <a href="http://www.imec-archives.com/fonds/chauvelot-diane/" target="_blank">IMEC</a>
Communicable après accord IMEC
19 boîtes d’archives
Français
Archives
CHV
1955-1978
Fonds Isac Chiva (1925-2012)
Ethnologie
Ethnologie rurale
France
Sologne
Corse
Marcoule
Antilles
Alpes maritimes
Nucléaire
Roumanie
Antisémitisme
Goldstern, Eugénie (1884-1942)
<div style="text-align: justify;">Isac Chiva est né le 7 septembre 1925 à Jassy (Roumanie). Il arrive à Paris en 1948. Après avoir obtenu une licence en sciences sociales, il entre au Musée national des arts et traditions populaires et travaille au Laboratoire d’ethnographie française, dirigé par Marcel Maget jusqu’en 1959.<br />En 1960, il fonde, avec C. Lévi-Strauss, le Laboratoire d'anthropologie sociale. Il en devient directeur-adjoint, poste qu'il occupera jusqu’à 1982. C'est également en 1960 qu'il crée, avec G. Duby et Daniel Faucher, la revue multidisciplinaire <em>Etudes Rurales</em>. En 1970, il est élu Directeur d’études à l’EHESS et intitule sa chaire « Ethnologie des sociétés paysannes ».<br />I. Chiva a joué un rôle central dans le développement de l'ethnologie rurale française et a formé plusieurs générations de chercheurs. En 1974, il est président fondateur de l’Association des ruralistes français. En 1979, il fonde la Mission du patrimoine ethnologique et devient président de la société d’ethnologie française.<br />Outre ses recherches en ethnologie de la France, I. Chiva a été appelé en tant qu'expert à de nombreuses reprises dans le cadre des musées en particulier. Ses enquêtes de terrain l’ont conduit en Sologne (1951-55), en Corse (1955-58), à Marcoule où s’édifiait une centrale nucléaire (1959), dans les Baronnie (1973-76), aux Antilles française (1971). Isac Chiva est mort à Paris le 30 avril 2012.<br /><br />Le fonds est classé de la manière suivante : A. Biographie scientifique, B. Matériaux de terrain, C. Activités d'enseignement, séminaire, D. Activité scientifique institutionnelle, E. Documentation scientifique, F. Archives sonores.</div>
Chiva, Isac (1925-2012)
<div style="text-align: justify;"><a href="http://arlas.college-de-france.fr/arch/ar.aspx?archive=las&reference=FIC" target="_blank">Notice de description du fonds</a> dans la base de données du Laboratoire d'anthropologie sociale</div>
Accès réservé, sur autorisation
Les archives d'Isac Chiva en tant que directeur-adjoint du LAS sont conservées également au LAS.
72 boîtes ; 1 fichier
Français
Archives
Photographies
Ressources audiovisuelles
fr/cdf/las/FIC