Fonds Adolphe Auguste Mille (1812-1894)
Savary, Félix (1797-1841)
Adolphe Auguste Mille, né le 9 octobre 1812 à Lille, mort en 1894, est un ingénieur français, le constructeur du Dépotoir municipal à Paris, l'apôtre de l'épuration agricole des eaux d'égout (il utilise les eaux d’égouts comme engrais liquide).<br />Adolphe Mille sort de l'École polytechnique en 1832, devient responsable du dépotoir de la Villette (mis en service en 1849) ainsi que de la voirie de Bondy dans les années 1850, ingénieur de la ville de Paris, inspecteur général des Ponts et Chaussées. chevalier de la Légion d'honneur le 12 juin 1846, officier en 1876. Retraité en 1877.<br /><strong>Contenu</strong> : Notes prises au cours d’astronomie et machines de Félix Savary<br /><br />
Mille, Adolphe-Auguste (1812-1894)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
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IX MILLE
1833-1834
Fonds Adolphe Matrot (1841-1896)
École des Mines
Mécanique
Résistance des matériaux
Théorie des nombres
Institut industriel du Nord de la France
<div style="text-align: justify;">Adolphe Matrot, né le 9 juillet 1841 à Paris et mort le 3 août 1896, est un ingénieur du corps des mines, professeur puis directeur à l'Institut industriel du Nord (École centrale de Lille), directeur de l'exploitation puis directeur de l'administration des chemins de fer de l'État.</div>
<div style="text-align: justify;">Ancien élève et major de l'École polytechnique (issu de la promotion 1860), admis au corps des mines en 1862, Adolphe Matrot est membre fondateur de l'Association amicale des anciens élèves de l'École Nationale Supérieure des Mines de Paris (novembre-décembre 1863 et janvier 1864).</div>
<div style="text-align: justify;">À partir de 1864, Adolphe Matrot est à Lille où il assure le « service courant minéralogique » et le « contrôle de l'exploitation des chemins de fer du Nord ».</div>
<div style="text-align: justify;">Dès 1864, il enseigne à l'École des arts industriels et des mines de Lille, puis devient directeur des études à l'Institut industriel du Nord en 1872.</div>
<div style="text-align: justify;">Matrot est nommé maître de conférences de mathématiques à la faculté des sciences de Lille par arrêté du 1er mars 1878.</div>
<div style="text-align: justify;">Il entre à l'administration des chemins de fer de l'État comme chef de l'exploitation en 1878. Il les rationalise par échange de sections avec d'autres compagnies. Il en devient directeur de 1892 à 1895.<br /><br /></div>
<div style="text-align: justify;"><strong>Contenu</strong> :</div>
<div style="text-align: justify;">Scolarité depuis le baccalauréat jusqu’à l’Ecole des mines : travaux d’élèves, notes de cours</div>
<div style="text-align: justify;">Manuscrit du cours de mécanique générale (résistance des matériaux) professé à l'Institut industriel du Nord de la France par A. Matrot (1874)</div>
<div style="text-align: justify;">Théorie élémentaire des résidus quadratiques (Introduction à la théorie des nombres) : cahier de notes manuscrites (1890).</div>
Matrot, Adolphe (1841-1896)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
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IX MATROT
1857-1891
Fonds Claude-Louis Mathieu (1783-1875)
Analyse
Mécanique
Stéréotomie
Calcul différentiel
Calcul intégral
<div style="text-align: justify;">Claude-Louis Mathieu, né le 25 novembre 1783 à Mâcon et mort le 5 mars 1875 à Paris, est un astronome français</div>
<div style="text-align: justify;">Son père, simple ouvrier menuisier sans fortune, ne put l'envoyer que dans une petite école où l'on n’apprenait qu’à lire et à écrire, et à un cours gratuit de dessin. Montrant de rares aptitudes pour les sciences exactes, qu’il étudiait seul, il fut distingué par l’abbé de Sigorgne, un prêtre savant, vicaire général du diocèse de Mâcon, qui l’encouragea dans ses dispositions et lui enseigna les premiers principes des mathématiques. Le premier préfet de Saône-et-Loire, Buffaut, ayant reconnu ses mérites, le fit partir pour Paris, en 1801, avec une lettre de recommandation pour un allié de sa famille, l’astronome Delambre, qui porta bien vite intérêt au jeune homme. Sa femme prit également dans une véritable affection de famille le jeune Mathieu, qui vivait avec une grande économie, logeant, au Marais, dans une modeste chambre que Delambre lui avait offerte sous son observatoire et suivant les cours gratuits du collège des Quatre-Nations.</div>
<div style="text-align: justify;">En 1803, sa persévérance lui permit d’intégrer, à l’âge de 20 ans, l’École Polytechnique (X1803), dans un bon rang. Peu de temps après, il refusa néanmoins de signer, ainsi que son ami François Arago et trente-quatre autres de leurs camarades, les registres ouverts pour l’adhésion à l’Empire, mais cet incident n’eut pas de suite car Napoléon ne voulut pas sacrifier des sujets d’élite, dont plusieurs étaient en tête de leur promotion. Sorti de l’école en 1805, sans doute sous l’influence de Delambre, il se sentait attiré par l’astronomie lorsque celui-ci fit désigner, le 1er novembre 1806, Mathieu pour remplacer provisoirement Arago, qui, dès sa sortie de l’école, avait été nommé secrétaire à l’Observatoire de Paris, et venait d’être envoyé en Espagne pour le prolongement de la méridienne de France. Après le retour d’Arago, qui fut aussitôt élevé d’un grade, Mathieu fut nommé à titre définitif. Il entreprit alors, avec Biot, une longue série de mesures d’intensité de la pesanteur sur le parallèle moyen et sur la grande méridienne, dont il fut récompensé par des prix de l’Académie, en 1809 et 1812.</div>
<div style="text-align: justify;">Nommé répétiteur du cours d’astronomie et de géodésie de l’Ecole Polytechnique, professé par Arago, le 27 décembre 1816, Mathieu fut, l’année suivante, à l’âge de 34 ans, élu à l’Académie des Sciences, dans la section d’Astronomie, en remplacement de Messier. Travailleur infatigable, chargé de rapports sur les sujets les plus variés, il y remplit toutes les fonctions, depuis celles de président jusqu’à celles d’administrateur de la fortune académique. La même année 1817, il fut nommé membre adjoint du Bureau des Longitudes, et Delambre lui confia sa suppléance dans le cours d'astronomie du Collège de France, chaire dont il devait être titulaire, cinq ans plus tard. En 1828, il fut chargé du cours d’analyse et de mécanique à l’École Polytechnique, cours fondamental formant le centre de l’enseignement de l’école, qu’il conserva jusqu’en 1838, date à laquelle il devint examinateur de sortie, fonction qu’il exerça jusqu’en 1863.</div>
<div style="text-align: justify;">L’un de ses premiers travaux scientifiques de Mathieu fut de terminer la période du XVIIIe siècle de l’<em>Histoire de l’astronomie</em> de son maitre et ami Delambre, qu’il compléta et enrichit de notes. Au Bureau des Longitudes, il fut chargé de diriger les calculs et la publication de la <em>Connaissance des Temps</em>, suppléant lui-même à l’insuffisance de certains calculateurs, jusqu’à ce que, pouvant se reposer sur son gendre Laugier de veiller à la <em>Connaissance des Temps</em>, il s’occupa surtout de l’Annuaire du Bureau des Longitudes, et c’est à lui qu’on doit, dans ce recueil, les indications relatives à l’astronomie, à la physique et aux questions les de la statistique. Quelques semaines avant sa mort, il terminait encore, de sa main les derniers feuillets de l’Annuaire.</div>
<div style="text-align: justify;"><br /><strong>Contenu</strong> : Manuscrit des cours d’analyse, mécanique, stéréotomie (1829-1832). Notes sur le calcul différentiel et intégral Résistance des matériaux (1840).</div>
Mathieu, Claude-Louis (1783-1875)
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IX MATHIEU
1829-1840
Fonds Pierre Adrien Marcellin (1789-18..)
Hassenfratz, Jean-Henri (1755-1827)
Ampère, André-Marie (1775-1836)
Élève de l’École Polytechnique (Promotion 1806). <br /><br /><strong>Contenu</strong> : Notes prises au cours d’Hassenfratz et Ampère
Marcellin, Pierre Adrien (1789-18..)
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<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/488" target="_blank" rel="noreferrer">Fonds Ampère de l'École Polytechnique</a> <br /> <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/209" target="_blank" rel="noreferrer">Fonds Ampère de l'Académie des sciences</a> <br /> <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/513" target="_blank" rel="noreferrer">Fonds Hassenfratz de l'École Polytechnique</a>
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IX MAR
1807-1808
Fonds Louis Leprince-Ringuet (1901-2000)
Physique nucléaire
<div style="text-align: justify;">Louis Leprince-Ringuet, né le 27 mars 1901 à Alès et mort le 23 décembre 2000 à Paris, est un physicien, ingénieur en télécommunications, historien des sciences et essayiste français.</div>
<div style="text-align: justify;">Louis Marie Edmond Leprince-Ringuet, fils de Félix Leprince-Ringuet, directeur de l'École des mines, et de Marie Stourm, petit-fils de René Stourm, de l'Institut, et arrière-petit-fils du sculpteur Victor Paillard, a été élève à l'École polytechnique (X1920N, sorti 28e en 1922 sur 205 élèves). Une bonne partie de sa famille est aussi issue de l’École Polytechnique.</div>
<div style="text-align: justify;">Il se marie avec Denise Paul-Dubois, petite-fille de Paul Dubois et d'Hippolyte Taine. Veuf au bout de sept mois, il se remarie avec Jeanne Motte en 1929. Ils auront ensemble sept enfants.</div>
<div style="text-align: justify;">Il poursuit ses études à Supélec de 1920 à 1923, puis à Télécom Paris (promotion 1925, année de sortie), avant de devenir ingénieur au Service des câbles sous-marins.</div>
<div style="text-align: justify;">À partir de 1929, il travaille avec Maurice de Broglie au laboratoire de physique des rayons X. C'est grâce à ce dernier — qu'il qualifiera plus tard de « père spirituel » — qu'il commence à travailler sur ce qui deviendra sa spécialité, la physique nucléaire. Il crée son propre laboratoire de physique nucléaire. On lui doit la découverte du « méson U ».</div>
<div style="text-align: justify;">Il enseigne la physique à l'École polytechnique de 1936 à 1969 (succédant à Charles Fabry) et au Collège de France de 1959 à 1972. À partir de 1949, il est membre de l'Académie des sciences. En 1958, il obtient la nomination d'un 3e professeur de physique à Polytechnique : Bernard Gregory.</div>
<div style="text-align: justify;">Il est de 1951 à 1971 commissaire à l’Énergie atomique.</div>
<div style="text-align: justify;">Il obtient de nombreux titres de reconnaissance par ses pairs tels que plusieurs prix de l'Académie des sciences et de la Société française de physique (prix Félix-Robin 1942). Il se définit lui-même comme physicien expérimentateur et accorde une grande importance à l'expérimentation.</div>
<div style="text-align: justify;">Catholique pratiquant, il réfléchit beaucoup aux relations entre la science et la religion. Dès 1949, il est président de l'Union catholique des scientifiques français. En 1961, il devient membre de l'Académie pontificale des sciences.<br /><br /></div>
<div style="text-align: justify;"><strong>Contenu</strong> : Archives d’enseignement, Archives scientifiques, archives personnelles et familiales</div>
<div style="text-align: justify;"></div>
Leprince-Ringuet, Louis (1901-2000)
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45 mètres linéaires, dont 9 classés
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IX LLR
1910-2000
Fonds Albert Lévy (1844-1907)
École Polytechnique -- Histoire
Élève de l’École Polytechnique (Promotion 1863), physicien, Directeur du service chimique à l'Observatoire de Montsouris (en 1894).<br /><br /><strong>Contenu</strong> : Notes manuscrites et correspondances relatives à différents aspects de l'histoire de l'École polytechnique.
Lévy, Albert (1844-1907)
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X2B 201
1870-1895
Fonds Gabriel Lamé (1795-1870)
Bazaine, Pierre-Dominique (1786-1838)
Clapeyron, Émile (1799-1864)
Chemins de fer
<div style="text-align: justify;">Gabriel Lamé, dit Lamé de la Droitière, né le 22 juillet 1795 à Tours, mort le 1er mai 1870 à Paris, est un mathématicien français. Il apporta des contributions essentielles à la théorie des équations aux dérivées partielles par l'emploi des coordonnées curvilignes, et à la théorie mathématique de l'élasticité. Les coefficients des coordonnées curvilignes sont encore actuellement dénommés « coefficients de Lamé ». Ses travaux seront poursuivis par Riemann, Darboux, Poincaré, Ricci et Levi-Civita (entre autres).</div>
<div style="text-align: justify;">Il est le fils de Gabriel François Lamé et de Julie Madeleine Goislard de la Droitière. Lamé épouse Marguerite Jeanne Fortunée Bertin (8 juillet 1795, Haguenau – 5 février 1870, Paris), fille de Jacques Bertin, naturaliste, et de Jeanne de Geraudon ; ils ont trois enfants : deux garçons (l'un deviendra colonel d'artillerie) et une fille, mariée à Eugène de Fourcy. Gabriel Lamé était l'oncle du physicien Alfred Potier.</div>
<div style="text-align: justify;">Après des études à Paris au lycée Louis-le-Grand, Lamé entre à l'École polytechnique (X 1814) puis à l'École des mines de Paris (1818–1820) comme élève-ingénieur des mines. Condisciple et ami d'Émile Clapeyron, Lamé est détaché avec lui pour Saint-Pétersbourg en 1820 afin d'y former les élèves de l'Institut et Corps du génie des voies de communication, créé en 1809 et dirigé par Augustin Bétancourt. Ils y enseignent pendant onze ans le calcul différentiel et intégral, la mécanique rationnelle, la physique, la mécanique appliquée, la physique appliquée et l'art des constructions. Le gouvernement confie en outre aux deux jeunes Français la conception de ponts suspendus, ce qui, couplé à ses travaux sur la stabilité des voûtes amène Lamé à l'étude de la théorie de l'élasticité. Il obtient plusieurs résultats fondamentaux.</div>
<div style="text-align: justify;">Avec Clapeyron, Lamé rédige un « Mémoire sur l'équilibre intérieur des solides homogènes » destiné à l'Académie des Sciences de Paris et publié en 1833. C'est dans ce texte qu'apparaît pour la première fois la notion d'ellipsoïde des contraintes. Après les événements de juillet 1830, la tension diplomatique s'aggrave subitement entre la France et le tsar, et les deux ingénieurs des mines doivent rentrer en France.</div>
<div style="text-align: justify;">Trois mois après son retour, il est nommé professeur à l'École Polytechnique, succédant à César Despretz dans la chaire de physique, de 1832 à 1843 (il est ensuite examinateur jusqu'en 1862), puis à la Faculté des sciences de Paris à partir de 1851, succédant à Guillaume Libri dans la chaire de calcul des probabilités puis de physique mathématique jusqu'en 1863, où il doit être suppléé par Marcel Verdet à cause de sa surdité. En 1863, il est nommé membre du Bureau des longitudes.</div>
<div style="text-align: justify;">En 1836, tout en étant toujours professeur à l'École Polytechnique, il entre dans la Compagnie du Chemin de fer de Paris à Saint-Germain des frères Pereire pour participer à l'étude du tracé de la ligne de chemin de fer avec trafic voyageurs Paris-Le Pecq, avec Eugène Flachat, Émile Clapeyron et Stéphane Mony, tous saint-simoniens. Il s'occupe plus particulièrement des machines.</div>
<div style="text-align: justify;">Saint-simonien convaincu, il fait partie de cette génération de polytechniciens qui, persuadés de la nécessité d'un enseignement scientifique de qualité, participent au développement de la « physique mathématique rationnelle » (citons Poisson, Navier, Coriolis, Saint-Venant, Darcy). Dans son esquisse d'une réforme pour l'enseignement des sciences, il définit trois buts : le but rationnel est d'exercer et de nourrir la faculté du raisonnement ; le but pratique est de faire connaître les formules et les règles dans les sciences d'applications ; le but progressif propose d'inspirer le goût de la recherche pour faire accélérer les progrès.</div>
<div style="text-align: justify;"><br /><strong>Contenu</strong> :</div>
<div style="text-align: justify;">-Correspondance avec sa famille (1814-1854), notamment pendant son séjour en Russie</div>
<div style="text-align: justify;">-Lettres de Clapeyron (X1816), notamment sur la construction des premiers chemins de fers français</div>
<div style="text-align: justify;">-Lettres de Bazaine (X1803) pendant leurs séjours en Russie</div>
Lamé, Gabriel (1795-1870)
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Informations complémentaires sur Gabriel Lamé dans le <a href="http://journals.openedition.org/sabix/618" title="Bulletin SABIX" target="_blank">Bulletin SABIX no 44</a>
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IX LAME
1814-1854
Fonds François Xavier Kretz (1830-1889)
Mécanique
Collège Sainte-Barbe
Manufactures de l'État
<div style="text-align: justify;">Élève de l’École Polytechnique (promotion 1850), ingénieur et administrateur. Il a été ingénieur en chef des Manufactures de l'État.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong><br />Contenu</strong> :</div>
<div style="text-align: justify;">-Notes de cours prises au Collège Sainte-Barbe: 1849-1850 et à l’École polytechnique: 1850-1852 (Géométrie descriptive, analyse, physique, mécanique et machines, topographie, architecture)</div>
<div style="text-align: justify;">-Notes prises par ses élèves à ses cours de mécanique appliquée aux machines, donnés à l’Ecole d’Application des Manufactures de l’Etat: 1850-1870</div>
<div style="text-align: justify;">-Travaux scientifiques et techniques, réalisés en tant qu’ingénieur du Service Central des Constructions: 1860-1875</div>
Kretz, Xavier (1830-1889)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; BnF autorités
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IX KR III 3e (1851-1852)
1849-1875
Fonds Émile Jouguet (1871-1943)
Né à Bessèges (Gard) le 5 janvier 1871. Décédé le 2 avril 1943, à Montpellier. Fils de Félix Jouguet, ingénieur des mines et maire de Bessêges (1831-1887) et de Claire Lenthéric (1840-1914).<br />Ancien élève de l'Ecole polytechnique (promotion 1889, sorti classé 3ème) et de l'École des mines de Paris (sorti classé 1er en octobre 1895). <br />Emile Jouguet est connu principalement pour ses travaux de thermodynamique et d'hydrodynamique, appliqués aux moteurs thermiques et aux explosifs, et à le propagation des ondes de choc. <br /><br />Carrière et distinctions : <br />1895-1898 : ingénieur des mines et du contrôle des chemins de fer à Bordeaux, puis à Clermont-Ferrand <br />1898-1907 : professeur de mécanique rationnelle et appliquée à l'Ecole des mines de Saint-Etienne <br />1907-1910 : ingénieur du contrôle des chemins de fer à Paris, et pendant quelques mois, secrétaire adjoint rapporteur de la commission de distribution d'énergie électrique <br />1908 : supplée Sauvage, professeur de machines à l'Ecole des mines de Paris <br />1909 : répétiteur de mécanique à Polytechnique <br />1910 : nommé ingénieur en chef du contrôle des chemins de fer à Paris. Chargé d'élaborer un règlement général d'exploitation et de signalisation applicable à tout le réseau de l'Etat. <br />1910-1914 : professeur d'analyse, de géométrie descriptive et de topographie à l'Ecole des mines de Paris <br />Août 1914 : mobilisé comme lieutenant-colonel d'artillerie <br />début 1919 : chargé du service de l'arrondissement minéralogique de Versailles <br />1920-1939 : professeur de machines à l'Ecole des mines de Paris <br />Professeur de thermodynamique à l'Ecole du Génie rural <br />Professeur de mécanique à Polytechnique <br />1911 : prix Montyon de mécanique (Institut). Ce prix avait une valeur symbolique de 700 F. <br />1921 : prix Poncelet (Institut) <br />1923 : inspecteur général des mines <br />1930 (8 décembre) : membre de l'Académie des sciences, section mécanique <br />1936 : commandeur de la Légion d'honneur <br /><br /><strong>Contenu</strong> : Manuscrits scientifiques avec A. Rogoff<br /><br />
Jouguet, Émile (1871-1943)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; <a href="http://www.annales.org/archives/x/jouguet.html" target="_blank" rel="noreferrer">Annales des Mines</a>
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Manuscrits
IX JOUG
1941
Fonds Frédéric Joliot-Curie (1900-1958)
Jean Frédéric Joliot, dit Frédéric Joliot-Curie, (19 mars 1900 à Paris - 14 août 1958 à Paris) est un physicien et chimiste français. Il a obtenu le prix Nobel de chimie en 1935 avec son épouse Irène Joliot-Curie. Il a été professeur au Collège de France, directeur de l'Institut du radium, et membre de l'Académie des sciences. Il a joué un rôle majeur comme Haut-Commissaire dans les débuts de l'exploitation de l'énergie atomique en France dans l'immédiat de l'après Seconde Guerre mondiale.<br /><br /><strong>Contenu</strong> : quelques documents manuscrits divers, quelques lettres et documents officiels (1939-1941), notices et tirés à part [1936-1942] et coupures de presse (1937-1953).<br /><br />
Joliot-Curie, Frédéric (1900-1958)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
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1 dossier
français
Archives
Tirés à part
IX JOLIOT-CURIE
1939-1953