Fonds Achille Veilhan (1818-1868)
Machines
Élève de l'École Polytechnique (Promotion 1837) <br /><strong>Contenu</strong> : Notes prises au cours de chimie, machines, astronomie.
Veilhan, Achille (1818-1868)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a>
Consultation sur rendez-vous
3 manuscrits
français
Manuscrits
III 3B (1837-1839)
1837-1839
Carnet de cours de Charles Stapfer (1799-1880)
Gay-Lussac, Louis-Joseph (1778-1850)
Élève de l'École Polytechnique (Promotion 1818). <br /><strong>Contenu</strong> : Notes prises au cours de Gay-Lussac.
Stapfer, Charles (1799-1880)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a>
Consultation sur rendez-vous.
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/509" target="_blank">Fonds Gay-Lussac</a> de l'École Polytechnique
1 carnet
français
Archives
IX GL boîte N°26
1818-1825
Fonds Adhémar Jean Claude Barré de Saint-Venant (1797-1886)
Génie rural
Mécanique
Ecole Nationale des Ponts et Chaussées
Résistance des matériaux
Géométrie
Adhémar Barré de Saint-Venant, né le 6 fructidor an V (soit le 23 août 1797) au château de Fortoiseau, à Villiers-en-Bière (Seine-et-Marne) et mort le 6 janvier 1886 à Saint-Ouen (Loir-et-Cher), est un ingénieur, physicien et mathématicien français.<br />Fils de Jean Barré de Saint-Venant (1737-1810), officier, colon à l’Île de Saint-Domingue, et de Marie-Thérèse Joséphine Laborie, il entre 2e à l’École polytechnique en 1813, est classé 1er à la fin de la première année, et en sort 6e. Élève de Gay-Lussac, il se passionne d’abord pour la chimie, ce qui le conduit à opter, à sa sortie, pour le service des poudres et salpêtres (qui est devenue l'École nationale supérieure de techniques avancées), où il se signale par la découverte d’un procédé rapide de dosage du chlore. Au bout de sept ans, il obtient de changer de carrière et d’entrer à l’École des ponts et chaussées d’où il sort premier en 1825.<br />Envoyé à Guéret comme ingénieur, il s’y fait remarquer par la construction d’un pont en charpente sur la Creuse, où il fait intervenir pour la première fois la théorie du « glissement » qu’il devait développer plus tard, et qui assoit sa réputation de physicien et de mathématicien.<br />Il est ensuite attaché au service du canal d’Arles, puis à celui du canal du Nivernais, et enfin au service de l’Yonne. Hydraulicien reconnu, il est cependant nommé en 1843 ingénieur en chef et attaché à la voirie (le "pavé") de la ville de Paris, où il contribue à faire accepter le principe des plantations d’arbres le long des grandes avenues. En 1848, il est mis à la retraite par le gouvernement provisoire. Il se voit confier, en 1850, le cours de génie rural de l’Institut agronomique. Cette institution ayant été supprimée en 1852, il rentre dans la vie privée tout en continuant ses travaux scientifiques qui donnent lieu à de nombreuses publications.<br />Bien qu’il n’ait jamais eu d’attaches professionnelles ou personnelles avec la Sologne, il s’intéresse très tôt à cette région alors réputée pour son insalubrité et sa misère, par pure philanthropie. En octobre 1826, il effectue un premier voyage dans la région, puis un second en 1828. Il conçoit alors le projet d’un canal permettant d’amener en Sologne la marne des confins du Berry, et les eaux chargées de marne de la Sauldre en vue de l’irrigation d’une partie de la région. En 1844, au cours d’un troisième voyage, il parfait son enquête et dresse les plans du canal de la Sauldre, qu’il propose vainement au ministère des Travaux publics, mais qui sera, avec d’importantes modifications par rapport au projet initial, effectivement réalisé de 1848 à 1868, sans que personne ne se réfère alors ni à ses travaux, ni à son rôle en faveur de la Sologne.<br />De 1838 à 1849, Adhémar Barré de Saint-Venant présente divers mémoires à l'Académie des sciences, dont deux portant sur la résistance et la flexion des pièces solides, dans lesquelles il expose la fameuse théorie du « glissement » qui lui doit son nom. Parmi les nombreux travaux qui suivirent, deux retiennent l’attention des scientifiques : un mémoire sur la torsion des prismes (1855), et un autre sur la flexion (1856) où il montre les déformations éprouvées par un corps cylindrique ou prismatique (« problème de Saint-Venant »). On lui doit encore de nombreuses publications (<em>La question du choc des barres</em>, 1853-1866 ; <em>La théorie générale de l’élasticité</em>, 1868 ; <em>Du roulis sur mer houleuse</em>, 1871, etc.). Toutes ces études lui valent d’être reçu en 1868 à l’Académie des sciences.<br />À partir de 1871 il publie une série d'articles sur les écoulements dans les cours d'eau qui donneront leur nom aux équations de Saint-Venant. Par la suite il continuera à s'intéresser à la mécanique des fluides.<br />Il est fait chevalier de la Légion d'honneur le 25 avril 1847, puis officier de la Légion d'honneur le 13 août 1865.<br />En 1869, Adhémar Barré de Saint-Venant avait reçu du pape Pie IX le titre de comte. Il est par ailleurs président de la Société archéologique du Vendômois ; à ce titre, il fait paraître en 1863 un <em>Rapport sur le projet de rédaction d’un dictionnaire géographique de l’arrondissement de Vendôme</em>, qui devait servir de point de départ à son fils Raoul (1845-1920) pour son <em>Dictionnaire topographique, historique, biographique, généalogique et héraldique du Vendômois</em> (3 volumes, 1914-1917).<br />Il est enfin le maître de Alfred-Aimé Flamant et de Joseph Boussinesq.<br /><br /><strong>Contenu</strong> : <br />-Notes prises aux cours de l’Ecole polytechnique de 1813 à 1816, dont ceux donnés par GAY-LUSSAC (chimie en 1813 et physique en 1815)<br />-Notes prises aux «leçons de mécanique» données par NAVIER à l’Ecole polytechnique en 1834 et 1837<br />-Institut Agronomique de Versailles (4 boîtes). Mission, organisation, programmes, leçons de génie rural, etc.<br />-Cours donnés à l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées(3 boîtes)<br />-Notes de recherche (mécanique, résistance des matériaux, géométrie, mathématiques, etc.)<br />-notes de lecture, manuscrits non publiés, etc.<br /><br />
Barré de Saint-Venant, Adhémar-Jean-Claude de (1797-1886)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
Informations complémentaires sur Barré de Saint-Venant dans le <a href="http://journals.openedition.org/sabix/597" target="_blank">Bulletin SABIX no 9</a>
52 boîtes
français
Archives
Manuscrits
IX SV
1759-1899
Fonds Gaston Roquemaurel (1804-1878)
Machines
Géodésie
Arithmétique
Arago, François (1786-1853)
Dulong, Pierre-Louis (1785-1838)
Ampère, André-Marie (1775-1836)
<div style="text-align: justify;">Louis François Gaston Marie Auguste de Roquemaurel, est un marin, explorateur et ethnologue français, né le 20 septembre 1804 à Toulouse, et mort le 1er avril 1878 dans cette même ville.</div>
<div style="text-align: justify;">Neveu, par sa mère, de Jean-Pierre Marcassus de Puymaurin, il prend son éducation en main après le décès de son père: Gaston de Roquemaurel est élève au collège d'Auch puis au collège royal de Toulouse, où il prépare le concours d'entrée à l'École polytechnique. Reçu en 1823, il est de la même promotion, entre autres, que l'économiste Michel Chevalier. Il sort de l'école en 1825 et entre dans la carrière d'officier de marine.</div>
<div style="text-align: justify;">Il navigue longtemps en Méditerranée, mais, promu lieutenant de vaisseau en 1834, il obtient par l'intermédiaire du capitaine Jacquinot, sous les ordres de qui il a servi lors de l'expédition d'Alger (1830), et qui est le second de Dumont d'Urville, un embarquement pour la seconde expédition Dumont d'Urville autour du monde et en Antarctique. Roquemaurel devient ainsi le second du commandant Dumont d'Urville à bord de l'<em>Astrolabe</em> et tient le journal de bord de l'expédition, qui dura du 7 septembre 1837 au 6 novembre 1840. Un cap de la Terre Adélie, nouvellement découverte fut nommé Roquemaurel en mémoire de Gaston de Roquemaurel. De retour en 1841, Roquemaurel est fait chevalier de la Légion d'honneur et capitaine de frégate et il rédige son propre projet d'expédition autour du monde. Mais celui-ci est rejeté. Après la révolution de 1848, Roquemaurel est présenté au nouveau ministre de la marine, François Arago qui a aussi été son professeur à Polytechnique. Il devient son chef de cabinet. Après le départ d'Arago, il devient au ministère directeur du personnel avec le grade de capitaine de vaisseau. Il démissionne le 12 janvier 1849 et retourne à ses projets de voyage autour du monde.</div>
<div style="text-align: justify;">Le 21 février 1850, enfin, il est nommé commandant de la corvette <em>Capricieuse</em> et il reçoit pour mission de partir pour le Pacifique en passant par le Cap Horn, de passer par Tahiti, de s'arrêter à Ualan pour mesurer avec précision un méridien astronomique qui servira aux futures navigations (pour cela, Roquemaurel s'adjoint les services de l'astronome Amédée Mouchez qui faisait déjà partie de l'expédition Dumont d'Urville), d'occuper la station navale de la mer de Chine, et d'explorer les côtes peu connues de Corée, de Sibérie, du Japon, pour combler des blancs laissés sur les cartes depuis Lapérouse. <em>La Capricieuse</em> s'acquitte parfaitement de sa mission, malgré de sérieux problèmes politiques rencontrés en Chine. Elle rentre à Toulon le 15 mars 1854, après avoir emprunté pour le retour la route du Cap de Bonne-Espérance.</div>
<div style="text-align: justify;">Malgré la réussite de sa mission, Roquemaurel n'obtient ni reconnaissance, ni récompense, ni promotion. Après un cours congé obtenu pour maladie (il est asthmatique) on lui confie le commandement d'un navire-transport pendant la guerre de Crimée. Il est débarqué définitivement en juin 1856 et obtient ses droits à la retraite en août 1862.</div>
<div style="text-align: justify;">Il se retire alors à Toulouse, où il entre à l'Académie des Jeux floraux. Au cours de ses voyages, Roquemaurel avait constitué une importante collection bibliographique et ethnographique léguée à la Ville de Toulouse. En 1882 les donations de Roquemaurel furent transportées et présentées dans le nouveau Musée d’Art décoratif ancien et exotique (dans l’ancien collège Saint-Raymond) puis transférées en 1922 au Muséum. Il est également à l'origine des collections de malacologie exotique de ce même Musée. En 1950 l’espace laissé à l’ethnographie asiatique et océanienne fut nommé « Galerie de Roquemaurel », la collection de Roquemaurel était la base initiale du fonds ethnographique très riche du muséum d'histoire naturelle de Toulouse.</div>
<div style="text-align: justify;"><br /><strong>Contenu</strong> :</div>
<div style="text-align: justify;">-Notes prises par Gaston de Rocquemaurel aux cours d’Analyse (1823-1825) d'Ampère et d'Arithmétique sociale d'Arago (1825) [carnet n°1];</div>
<div style="text-align: justify;">-cours de Machines (1825) d'Arago, de Mécanique (1824-1825) d’Ampère, de géodésie d'Arago (1824-1825), avec un manuscrit de Gnomonique (1828) et un supplément au cours d'Analyse d'Ampère) [cahier n°2]</div>
<div style="text-align: justify;">-cours de Physique de Dulong (1824-1825)[cahier n°3]</div>
Roquemaurel, Gaston (1804-1878)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
1 boîte
français
Archives
IX ROQUEMAUREL
1823-1828
Fonds Albert Ribaucour (1845-1893)
Analyse
Optique
Acoustique
Géométrie
<div style="text-align: justify;">Albert Ribaucour (né le 28 novembre 1845 à Lille, mort le 13 septembre 1893 à Philippeville, aujourd'hui Skikda, en Algérie) était un ingénieur civil et un mathématicien français.</div>
<div style="text-align: justify;">Albert Ribaucour étudie à l'École polytechnique à partir de 1865, puis à l'École des Ponts et Chaussées en 1867. Il commence à travailler comme ingénieur, sur des missions ponctuelles, notamment dans le département de l'Yonne, sur le Canal du Nivernais. Puis, il intervient, en 1870, à l'arsenal de la Marine de Rochefort, et, en 1873, à Draguignan. Il abandonne ces fonctions de décembre 1873 à février 1874, pour un poste de répétiteur adjoint de géométrie à l'École polytechnique, en remplacement d'Edmond Laguerre. Puis, il revient exercer comme ingénieur à Draguignan, à Brignoles, puis en 1878 à Aix-en-Provence. Après un séjour à Vesoul, il est affecté en juin 1886 en Algérie.</div>
<div style="text-align: justify;">Il est connu également pour ses contributions en mathématique, particulièrement en géométrie différentielle et en surface minimale. Ces recherches sont menées en parallèle de sa carrière d'ingénieur.</div>
<div style="text-align: justify;"><br /><strong>Contenu</strong> :</div>
<div style="text-align: justify;">-Manuscrits scientifiques</div>
<div style="text-align: justify;">-Notes prises aux cours d’analyse et de physique (optique et acoustique) de l’Ecole Polytechnique</div>
<div style="text-align: justify;">-Notes de recherches: géométrie, mathématiques, etc.</div>
Ribaucour, Albert (1845-1893)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
1 boîte
français
Archives
Manuscrits
IX RIBAUCOUR
Carnets de Hippolyte Renaud (1803-1874)
Machines
Géodésie
Arithmétique
Arago, François (1786-1853)
Dulong, Pierre-Louis (1785-1838)
<div style="text-align: justify;">Né à Besançon (Doubs) en 1803, mort à Épinal en 1874. Élève au collège d’Épinal, puis à l’École polytechnique où il entra en 1820, il était en stage à l’École d’artillerie de Metz quand il fit la connaissance de Victor Considerant qui le gagna aux théories de Fourier. Si une situation de fortune familiale médiocre lui interdit de donner sa démission, il fut cependant un adepte fidèle des idées fouriéristes, qu’il développa aussi bien pendant son passage dans l’armée que lorsqu’il prit sa retraite comme colonel d’artillerie. On lui doit en particulier une étude originale et commode de la doctrine qu’il ne cessa jamais de défendre : <em>Solidarité, Vue synthétique de la doctrine de Charles Fourier</em> (Paris, 1842), rééditée six fois (jusqu’en 1898).</div>
<div style="text-align: justify;"><strong><br />Contenu</strong> : Notes prises aux cours de l'Ecole polytechnique entre 1823 et 1825 : cours de physique de Dulong, de machines, de géodésie et d'arithmétique d'Arago</div>
Renaud, Hippolyte (1803-1874)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; <a href="http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article36899" title="Maitron en ligne" target="_blank">Dictionnaire en ligne Maitron</a>
Consultation sur rendez-vous
2 carnets
français
Archives
III 3B(1825)
1823-1825
Fonds Jean-Victor Poncelet (1788-1867)
Mécanique
Hydraulique
Géométrie
Turbines
<div style="text-align: justify;">Jean-Victor Poncelet (1788 - 1867) est un mathématicien, ingénieur et général français. Général commandant l'École polytechnique de 1848 à 1850, il inventa un modèle de turbine et un système de pont-levis à contre-poids variable, qui porte son nom.</div>
<div style="text-align: justify;">Jean-Victor Poncelet naquit le 1er juillet 1788, à Metz. Après ses humanités au Lycée Fabert de Metz, il choisit naturellement la carrière des armes. Après avoir réussi le concours d'entrée à l’École polytechnique (promotion X 1807), il en sortit le 11 février 1812.</div>
<div style="text-align: justify;">Il rejoignit la Grande Armée de Napoléon en juin 1812 comme lieutenant du génie pendant la campagne de Russie, à Vitebsk. Assurant la protection de l'armée du Maréchal Ney, il fut fait prisonnier à la Bataille de Krasnoï, le 18 novembre (son colonel avait été tué et il eut un cheval tué sous lui), et fut conduit à Saratov, sur la Volga, soit près de 1 500 kilomètres qu'il parcourut à pied en quatre mois (de novembre à février), en plein hiver russe. Privé de tout livre, il reprit les fondements des mathématiques. C'est alors qu'il mit en forme les principes fondamentaux de la géométrie projective qui avaient été approchés jadis par Pappus (IVe siècle), puis Girard Desargues et Pascal. Le retour en France prit lui aussi quatre mois.</div>
<div style="text-align: justify;">De retour en France, en 1814, il fit paraître en 1822 son<em> Traité des propriétés projectives des figures</em> qui allait lancer pendant tout le XIXe siècle les mathématiques sur la voie de la géométrie pure. Élève de Gaspard Monge, il rénova la géométrie projective (1822) (théorème de Poncelet sur les coniques, dualité par pôles et polaires réciproques, faisceau harmonique, points cycliques).</div>
<div style="text-align: justify;">Il aurait introduit dans les écoles de France, à partir de 1814, l'usage du boulier dans un but éducatif, à la suite de son retour de Russie où il avait découvert le Stchoty utilisé par les Russes.</div>
<div style="text-align: justify;">Il s'intéresse aussi à la mécanique et présente en 1824 son invention de la « roue hydraulique à aubes courbes », qui sera distinguée par le prix Montyon de l'Académie des sciences l'année suivante. C'est une des raisons pour lesquelles il est chargé, en 1825, sur la suggestion d'Arago, des cours de mécanique à l'École d'Artillerie et du Génie de Metz. Admis à l'Académie des sciences de Paris en 1834 (en remplacement de Hachette), il fut chargé de créer à la Faculté des sciences le cours de mécanique appliquée. Il fut nommé général en 1848 et commanda l'École polytechnique. Poncelet est devenu membre étranger de la Royal Society le 5 mai 1842.</div>
<div style="text-align: justify;">Le 15 mai 1848, il prit la tête des élèves de l'École polytechnique en arme et en uniforme pour se mettre à la disposition du gouvernement et, en juin, il commença les réformes que réclamait l'enseignement de cette école. Le 10 décembre 1850, le général Poncelet est fait commandeur de la légion d'honneur. Enfin, pour couronner sa carrière militaire, le général de brigade du génie Jean-Victor Poncelet est élevé à la dignité de Grand officier de la légion d'honneur, le 9 juillet 1853.</div>
<div style="text-align: justify;">Jean-Victor Poncelet décéda à Paris, le 23 décembre 1867.</div>
<div style="text-align: justify;"><br /><strong>Contenu</strong> :</div>
<div style="text-align: justify;">-Manuscrits scientifiques</div>
<div style="text-align: justify;">-Cours donnés à l’Ecole d’Application de l’Artillerie et du Génie de Metz: Mécanique appliquée aux machines: 1826-1874</div>
<div style="text-align: justify;">-Cours donnés à la Sorbonne: «Mécanique physique et expérimentale»: 1838-1866</div>
<div style="text-align: justify;">-Notes de recherches et correspondance (hydraulique, théorie des roues et turbines, géométrie, etc...): 1825-1864</div>
Poncelet, Jean-Victor (1788-1867)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
8 boîtes
français
Archives
IX PO
1810-1874
Fonds Benjamin Édouard Olivier (né en 1809)
Cauchy, Augustin-Louis (1789-1857)
Dulong, Pierre-Louis (1785-1838)
Mécanique
Calcul intégral
Calcul différentiel
Élève de l'École Polytechnique (Promotion 1828).
<div style="text-align: justify;"><strong>Contenu</strong> : Manuscrits de notes prises aux cours de l'École polytechnique : 1828-1829 : mécanique et physique de Dulong, mécanique, calcul intégral et calcul différentiel de Cauchy</div>
Olivier, Benjamin Édouard (1809-1…)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a>
Consultation sur rendez-vous
13 petits cahiers, 10 grands cahiers cousus et 1 liasse non cousue
français
Archives
IX OLIVIER
1828-1830
Fonds Théodore Olivier (1793-1853)
Hassenfratz, Jean-Henri (1755-1827)
Ampère, André-Marie (1775-1836)
Théodore Olivier (21 janvier 1793, Lyon — 5 août 1853) était un mathématicien français.<br />Théodore Olivier est tout d'abord élève de l'École polytechnique (Promotion 1811), où il est grandement influencé par Gaspard Monge. Il fait ensuite l'École d'artillerie de Metz. Spécialiste de géométrie descriptive, il part en Suède de 1821 à 1825 créer une école militaire de haut rang. De retour à Paris, il est très critique sur les orientations qu'a prises l'École polytechnique. Il s'associe alors en 1828 au projet d'Alphonse Lavallée, qui vise à créer un établissement formant des ingénieurs civils, et est donc un des premiers professeurs de l'École centrale des arts et manufactures à Paris, où il enseigne dès l'ouverture (1829). Il est ensuite nommé professeur au Conservatoire national des arts et métiers (1839) à la chaire de Géométrie descriptive.<br />Ses spécialités furent la géométrie descriptive et la mécanique. Théodore Olivier est notamment connu pour ses modèles fabriqués en grandeur nature de formes géométriques, série d’engrenages, machine à tailler les engrenages, modèles mathématiques, qui sont à la fois objets de recherche et modèles pédagogiques. Certains de ces modèles partirent aux États-Unis après sa mort.<br />Il consacra une grande partie de sa vie à l'étude et au calcul des engrenages et publie en 1842 la <em>Théorie géométrique des engrenages destinés à transmettre le mouvement de rotation entre deux axes non situés dans un même plan</em>.<br /><strong><br />Contenu</strong> : notes prises aux cours de Petit et Hassenfratz (Physique), d’Ampère (calcul différentiel et intégral) <br /><br />
Olivier, Théodore (1793-1853)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/513" title="Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Fonds Hassenfratz</a> ; <a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/488" title="Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Fonds Ampère</a>
3 carnets grand format
français
Archives
III 3b (1813)
1811-1813
Fonds Pierre Marie Julien Montagne (1902-1988)
Élève, répétiteur puis maître de conférence de chimie, examinateur (1935-1969) à l'École Polytechnique. <br /><br /><strong>Contenu</strong> : Travaux en mathématiques, physique, chimie, enseignement, correspondance
Montagne, Pierre Marie Julien (1902-1988)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a>
Consultation sur rendez-vous
38 boîtes
français
Archives
IX MONTAGNE
1934-1985