Fonds de la Société d'Agriculture, Sciences, Belles lettres et Arts d'Orléans (Académie).
<strong><br />Biographie ou histoire :</strong> <br />
<div style="text-align: justify;">La Société d'Agriculture, Sciences, Belles lettres et Arts d'Orléans a été fondée en 1809. Elle est l'héritière de deux sociétés savantes du XVIIIe siècle : d'une part la société royale d'agriculture de la généralité d'Orléans créée en 1762, d'autre part l'Académie royale de sciences, belles lettres et arts d'Orléans, créée en 1786, toutes deux dissoutes en 1793.<br /><br />
<div class="champ_ead">
<div class="post_label">La société a pour objet l'étude de sujets sur l'agriculture, l'industrie, les sciences physiques, naturelles, médicales et mathématiques, les belles lettres et les arts, les questions religieuses et politiques étant interdites. Elle se divise en quatre sections : Agriculture, Sciences médicales, Belles lettres, Sciences et arts. Chaque membre titulaire doit présenter annuellement une étude examinée par un rapporteur dans les deux mois quit suivent. La société peut décider soit l'impression des travaux et des rapports dans les mémoires qu'elle publie chaque année, soit le dépot dans ses archives.</div>
</div>
<br />
<div class="champ_ead">
<div class="post_label">La société a pris en 1996 le nom d'Académie d'Orléans.<br /><br /><strong>Présentation du contenu :</strong> <br /><br />
<div class="champ_ead">
<div class="post_label">Le fonds déposé est très complet jusqu'en 1920. Il comprend des registres de correspondance depuis 1821, de trésorerie depuis 1809, de procès-verbaux de séances depuis 1809 et d'inscription des ouvrages depuis 1828. Il comprend également des dossiers de séances depuis 1810 dans lesquels on trouve des originaux des travaux présentés par les membres de la société.</div>
</div>
</div>
</div>
</div>
Académie d'Orléans
<a href="https://consultation.archives-loiret.fr/arkotheque/inventaires/ead_ir_consult.php?a=4&ref=FRAD045_00034J" target="_blank">Etat des fonds</a> des Archives départementales du Loiret
Librement communicable.
Selon les termes du contrat de dépot, toute communication sera notifiée au propriétaire par les Archives départementales.
Lettres autographes et mémoires lus à l'Académie d'Orléans conservés à la Médiathèque d'Orléans
Documents de substitution :
Le fonds a été microfilmé sous les cotes 2 Mi 4656 (34 J 1-3), 2 Mi 4657 R 1-19 (34 J 4-121) et 2 Mi 4658 R 1-2 (33 J 122-134).
3,60 mètres linéaires
français
Archives
34 J
Fonds de la Société d'Agriculture, Sciences, Belles lettres et Arts d'Orléans (Académie).
1741-1973
Académie François Bourdon
L’Académie François Bourdon est une association, située au Creusot.
Elle a pour but la valorisation des patrimoines industriels et la promotion de la culture scientifique, technique et industrielle :
• elle gère un centre d’archives et le centre d’interprétation « Pavillon de l’Industrie »
• elle développe des actions pédagogiques à travers son service éducatif
• elle organise des conférences et des colloques
• elle réalise des publications et apporte son soutien à la recherche historique.
Académie François Bourdon
<a href="http://www.afbourdon.com/" target="_blank">http://www.afbourdon.com/</a>
français
Fonds de l'association Entreprise et Patrimoine industriel
Patrimoine industriel
<div style="text-align: justify;"><strong>Histoire : </strong><br /><br /></div>
<div class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">L'association est issue des réflexions et actions menées au sein de la Jeune Chambre économique de Nantes ; les expositions "Suifs, savons, bougies" de 1993 et "Créations et innovations nantaises" de 1994 présentées au Palais de la Bourse à Nantes ont mis en évidence l'intérêt du public pour l'histoire industrielle et pointé le manque de structure permettant de conserver et valoriser le patrimoine industriel.</div>
<p class="pl-ead-p" style="text-align: justify;">Afin de poursuivre ces initiatives et d'oeuvrer de façon durable en faveur du patrimoine industriel (au sens large : bâtiments, mais aussi savoir-faire...), l'association Entreprise et Patrimoine industriel (E+PI) est créée en janvier 1995.</p>
<strong>Présentation du contenu :<br /></strong><br />
<div style="text-align: justify;">Le fonds se compose de documents produits par l'association E+PI, mais aussi de documents collectés par l'association concernant les famillles d'industriels nantais et les entreprises qu'ils ont dirigés.</div>
Association Entreprise et Patrimoine industriel (Nantes)
<a href="https://archives.loire-atlantique.fr/jcms/chercher/inventaires-des-archives/cadre-de-classement-fr-p1_8559" target="_blank" rel="noopener">Cadre de classement des Archives départementales de Loire-Atlantique</a>
Communicable
50 articles soit 1,90 mètres linéaires
français
Archives
Ouvrages imprimés
265 J - Fonds de l'association Entreprise et Patrimoine industriel
1808-2008
Fonds Adhémar Jean Claude Barré de Saint-Venant (1797-1886)
Génie rural
Mécanique
Ecole Nationale des Ponts et Chaussées
Résistance des matériaux
Géométrie
Adhémar Barré de Saint-Venant, né le 6 fructidor an V (soit le 23 août 1797) au château de Fortoiseau, à Villiers-en-Bière (Seine-et-Marne) et mort le 6 janvier 1886 à Saint-Ouen (Loir-et-Cher), est un ingénieur, physicien et mathématicien français.<br />Fils de Jean Barré de Saint-Venant (1737-1810), officier, colon à l’Île de Saint-Domingue, et de Marie-Thérèse Joséphine Laborie, il entre 2e à l’École polytechnique en 1813, est classé 1er à la fin de la première année, et en sort 6e. Élève de Gay-Lussac, il se passionne d’abord pour la chimie, ce qui le conduit à opter, à sa sortie, pour le service des poudres et salpêtres (qui est devenue l'École nationale supérieure de techniques avancées), où il se signale par la découverte d’un procédé rapide de dosage du chlore. Au bout de sept ans, il obtient de changer de carrière et d’entrer à l’École des ponts et chaussées d’où il sort premier en 1825.<br />Envoyé à Guéret comme ingénieur, il s’y fait remarquer par la construction d’un pont en charpente sur la Creuse, où il fait intervenir pour la première fois la théorie du « glissement » qu’il devait développer plus tard, et qui assoit sa réputation de physicien et de mathématicien.<br />Il est ensuite attaché au service du canal d’Arles, puis à celui du canal du Nivernais, et enfin au service de l’Yonne. Hydraulicien reconnu, il est cependant nommé en 1843 ingénieur en chef et attaché à la voirie (le "pavé") de la ville de Paris, où il contribue à faire accepter le principe des plantations d’arbres le long des grandes avenues. En 1848, il est mis à la retraite par le gouvernement provisoire. Il se voit confier, en 1850, le cours de génie rural de l’Institut agronomique. Cette institution ayant été supprimée en 1852, il rentre dans la vie privée tout en continuant ses travaux scientifiques qui donnent lieu à de nombreuses publications.<br />Bien qu’il n’ait jamais eu d’attaches professionnelles ou personnelles avec la Sologne, il s’intéresse très tôt à cette région alors réputée pour son insalubrité et sa misère, par pure philanthropie. En octobre 1826, il effectue un premier voyage dans la région, puis un second en 1828. Il conçoit alors le projet d’un canal permettant d’amener en Sologne la marne des confins du Berry, et les eaux chargées de marne de la Sauldre en vue de l’irrigation d’une partie de la région. En 1844, au cours d’un troisième voyage, il parfait son enquête et dresse les plans du canal de la Sauldre, qu’il propose vainement au ministère des Travaux publics, mais qui sera, avec d’importantes modifications par rapport au projet initial, effectivement réalisé de 1848 à 1868, sans que personne ne se réfère alors ni à ses travaux, ni à son rôle en faveur de la Sologne.<br />De 1838 à 1849, Adhémar Barré de Saint-Venant présente divers mémoires à l'Académie des sciences, dont deux portant sur la résistance et la flexion des pièces solides, dans lesquelles il expose la fameuse théorie du « glissement » qui lui doit son nom. Parmi les nombreux travaux qui suivirent, deux retiennent l’attention des scientifiques : un mémoire sur la torsion des prismes (1855), et un autre sur la flexion (1856) où il montre les déformations éprouvées par un corps cylindrique ou prismatique (« problème de Saint-Venant »). On lui doit encore de nombreuses publications (<em>La question du choc des barres</em>, 1853-1866 ; <em>La théorie générale de l’élasticité</em>, 1868 ; <em>Du roulis sur mer houleuse</em>, 1871, etc.). Toutes ces études lui valent d’être reçu en 1868 à l’Académie des sciences.<br />À partir de 1871 il publie une série d'articles sur les écoulements dans les cours d'eau qui donneront leur nom aux équations de Saint-Venant. Par la suite il continuera à s'intéresser à la mécanique des fluides.<br />Il est fait chevalier de la Légion d'honneur le 25 avril 1847, puis officier de la Légion d'honneur le 13 août 1865.<br />En 1869, Adhémar Barré de Saint-Venant avait reçu du pape Pie IX le titre de comte. Il est par ailleurs président de la Société archéologique du Vendômois ; à ce titre, il fait paraître en 1863 un <em>Rapport sur le projet de rédaction d’un dictionnaire géographique de l’arrondissement de Vendôme</em>, qui devait servir de point de départ à son fils Raoul (1845-1920) pour son <em>Dictionnaire topographique, historique, biographique, généalogique et héraldique du Vendômois</em> (3 volumes, 1914-1917).<br />Il est enfin le maître de Alfred-Aimé Flamant et de Joseph Boussinesq.<br /><br /><strong>Contenu</strong> : <br />-Notes prises aux cours de l’Ecole polytechnique de 1813 à 1816, dont ceux donnés par GAY-LUSSAC (chimie en 1813 et physique en 1815)<br />-Notes prises aux «leçons de mécanique» données par NAVIER à l’Ecole polytechnique en 1834 et 1837<br />-Institut Agronomique de Versailles (4 boîtes). Mission, organisation, programmes, leçons de génie rural, etc.<br />-Cours donnés à l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées(3 boîtes)<br />-Notes de recherche (mécanique, résistance des matériaux, géométrie, mathématiques, etc.)<br />-notes de lecture, manuscrits non publiés, etc.<br /><br />
Barré de Saint-Venant, Adhémar-Jean-Claude de (1797-1886)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia
Consultation sur rendez-vous
Informations complémentaires sur Barré de Saint-Venant dans le <a href="http://journals.openedition.org/sabix/597" target="_blank">Bulletin SABIX no 9</a>
52 boîtes
français
Archives
Manuscrits
IX SV
1759-1899
Fonds LU (biscuiterie)
Patrimoine industriel
Industrie agro-alimentaire
<div style="text-align: justify;">
<p class="pl-ead-p"><strong>Histoire :</strong> <br /><br />En 1846, Jean-Romain Lefèvre s'installe à Nantes pour y reprendre une pâtisserie au 5 de la rue Boileau. Originaire de la Meuse comme sa femme, Pauline-Isabelle Utile qu'il épouse en 1850, il fait découvrir aux Nantais une nouvelle gamme de produits : biscuits aux oeufs, massepains, macarons et surtout les biscuits roses "de Reims". Souvent élaborés à partir des matières premières régionales, ces pâtisseries connaissent d'emblée un grand succès. Aidé par la famille Utile, le couple annexe en 1854 le 7 de la rue Boileau où il fait construire un luxueux magasin au style monumental. Enfin, en 1882, la médaille d'or à l'exposition de Nantes vient couronner la carrière de Jean-Romain avant qu'il ne passe la main à son troisième fils, Louis.</p>
<p class="pl-ead-p">Celui-ci crée la société LU avec son beau-frère Ernest Lefèvre le 1er février 1887. Il rachète l'ancienne filature Bureau, quai Baco, face au château des Ducs de Bretagne où il établit une manufacture de biscuits et adopte les techniques anglaises les plus récentes. Dès la fin du siècle, la vente des biscuits LU s'étend à la France et aux colonies ainsi qu'à quelques marchés étrangers tandis que l'entreprise emploie plusieurs centaines d'ouvriers. Cette période est d'ailleurs marquée par la création de deux fleurons de la marque, le Petit-Beurre en 1886 et la Paille d'Or en 1905. Louis s'approprie très vite la notion de publicité et utilise le pouvoir de l'image pour promouvoir ses produits en faisant appel aux meilleurs peintres et graphistes de son temps dont le talent s'exprime sur de nombreux supports. Il fait aussi appel à Bluysen, l'architecte du phare LU à l'exposition universelle de Paris de 1900, pour ériger deux tours monumentales qui encadrent l'entrée principale de l'usine, face au pont de la Rotonde. Ces tours deviennent l'un des motifs de prédilection de la marque pour se faire reconnaître et entrent bientôt dans le patrimoine architectural de la ville de Nantes.</p>
<p class="pl-ead-p">La première moitié du XXe siècle est néanmoins difficile pour l'entreprise. La biscuiterie est réquisitionnée pendant la première guerre mondiale pour fabriquer des biscuits de guerre. L'entre-deux guerres est une époque de stabilité, voir de stagnation, même si Michel, le fils cadet de Louis, mise comme son père sur la publicité et modernise l'ensemble des moyens de commercialisation et de conditionnement notamment avec la mise au point du paquet préformé en 1934. Néanmoins, en 1943, l'usine est à nouveau durement éprouvé par la guerre lors des bombardements sur Nantes.</p>
<p class="pl-ead-p">L'après guerre voit s'accélérer la modernisation de l'entreprise. Lors d'un long séjour aux Etats Unis, Patrick, le fils de Michel, se familiarise avec les techniques de production et de management d'outre atlantique. En accord avec son père, il implante en 1951 une ligne continue très perfectionnée pour le Petit-Beurre installée dans des ateliers annexes. De même, Raymond Loewy, précurseur du design et initiateur de l'esthétique industrielle, redessine en 1957 le paquet de Petit-Beurre. Au fur et à mesure que LU se transforme en usine moderne, la gamme des produits se réduit pour ne laisser subsister que quelques produits clés : Petit-Beurre, Beurré nantais, Figolu, Boudoir, Champagne et Paille d'Or.</p>
<p class="pl-ead-p">Enfin, en 1968, pour faire face aux grands groupes agro-alimentaires américains, six sociétés françaises se regroupent pour former « LU-Brun et associés » et ainsi acquérir une stature de multinationale. Mais suite à différentes fusions et prises de contrôle dans les années 1970 et 1980, le groupe Danone acquiert finalement la marque LU en 1994.</p>
<p class="pl-ead-p">L'usine de Nantes a, quant à elle, fait l'objet d'une politique de réhabilitation à partir des années 1990, en raison de son intérêt architectural. Le hall d'expédition préservé abrite aujourd'hui une agence de publicité. La tour a été reconstituée à l'identique et les bâtiments de productions ont été aménagés de façon modulable par la ville de Nantes qui a rebaptisé cet espace le "Lieu Unique". Il accueille aujourd'hui le Centre de Recherche et de Développement Culturel de Nantes qui y propose diverses manifestations culturelles.</p>
<strong>Présentation du contenu :</strong> <br /><br />
<p class="pl-ead-p">Le fonds LU comporte tout d'abord quelques courriers à caractère personnel ou relatifs aux propriétés de la famille Lefèvre-Utile ainsi que des articles de presse en rapport avec le comblement de la Loire.</p>
<p class="pl-ead-p">En ce qui concerne les archives d'entreprise proprement dites, le chercheur trouvera ici une importante collection de correspondance générale émanant de la direction générale pour la période 1887-1959. On remarquera aussi la présence de dossiers sur les bâtiments industriels, les bâtiments commerciaux et le matériel industriel (avec notamment des plans, des croquis et des photographies témoins). On notera enfin la présence de dossiers de contentieux liés à la propriété industrielle, d'une collection complète de livres comptables pour la période 1888-1941, des dossiers collectifs relatifs à la gestion des personnes au sein de l'entreprise (correspondance), de documentation sur les matières premières, de quelques dossiers sur la publicité et d'une vaste correspondance avec les représentants de commerce.<br /><br /><br /></p>
</div>
Biscuiterie nantaise Lefèvre-Utile
<a href="https://app-archives-inventaires.loire-atlantique.fr/pleade/embed/functions/ead/attached/FRAD044_cadredeclassement/FRAD044_cadredeclassement_e0030665.pdf" target="_blank" rel="noopener">Fichier pdf de l'inventaire du fonds</a>
Non communicable.
Reproduction soumise à autorisation du déposant
25,70 mètres linéaires
français
Archives
118 J - Fonds LU (biscuiterie)
202 J - Fonds Patrick Lefèvre-Utile (biscuiterie)
1887-1956
Fonds François Briau (1812-1890)
Transports ferroviaires
Patrimoine industriel
<br /><strong>Biographie :<br /></strong><br />
<div style="text-align: justify;">François Briau était ingénieur et constructeur de chemin de fer à Varades dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Il débute semble-t-il dans la région parisienne et la vallée de la Loire, s'aventure ensuite jusqu'en Italie où il participe à la construction des chemins de fer romains, puis revient dans sa région natale pour créer et diriger la Compagnie des Chemins de fer Nantais.<br /><br /><strong>Présentation du contenu :</strong><br /><br />On trouvera dans le fonds François Briau un ensemble de documents à caractère foncier relatifs aux investissements personnels de François Briau sur la commune de Varades (titres de propriété, baux, états, plans du château de la Madeleine, registres de comptabilité domestique, etc.) puis un ensemble plus important en volume et en intérêt historique, ayant trait à son activité "professionnelle" en tant que constructeur de chemin de fer (lignes de Tour à Nantes, embranchements de Rueil à Port-Marly et de Paris à Boulogne, chemin de fer romain) ainsi que des documents issus de l'activité de la Compagnie des chemins de fer nantais (documents comptables et de gestion, dossiers de travaux et plans, etc.).</div>
Briau, François (1812-1890)
<a href="https://app-archives-inventaires.loire-atlantique.fr/pleade/embed/functions/ead/attached/FRAD044_cadredeclassement/FRAD044_cadredeclassement_e0031864.pdf" target="_blank" rel="noopener">Fichiers pdf de l'inventaire en ligne</a>
Communicable.
Reproduction libre sauf impossibilité matérielle
16 mètres linéaires
français
Archives
167 J - Fonds François Briau
1830-1905
Fonds Félix Cadiou
Télégraphie
<br /><strong>Biographie :</strong> <br /><br />Félix Cadiou était fonctionnaire des services télégraphiques dans la deuxième moitié du XIXe siècle.<br /><br /><strong>Présentation du contenu :</strong> <br /><br />
<div style="text-align: justify;">Le fonds Félix Cadiou est composé de deux liasses, l'une rassemblant des papiers professionnels (concernant notamment les réseaux télégraphiques de Loire-Inférieure et d'Algérie) et l'autre des papiers plus personnels reflétant sa vie associative (association française pour l'avancement des sciences, société internationale des électriciens, comité des fêtes du quartier Rovigo d'Alger) et sa vie privée (correspondance familiale et amicale).</div>
Cadiou, Félix
<a href="https://app-archives-inventaires.loire-atlantique.fr/pleade/embed/functions/ead/attached/FRAD044_cadredeclassement/FRAD044_cadredeclassement_e0035178.pdf" target="_blank" rel="noopener">Fichier pdf de l'inventaire en ligne</a>
Communicable.
Reproduction libre sauf impossibilité matérielle
0,15 mètre linéaire
Archives
087 J - Fonds Félix Cadiou (fonctionnaire des services télégraphiques)
1870-1898
Fonds Albert Caquot (1881-1976)
Aéronautique
Mécanique
Génie civil
<div style="text-align: justify;">Élève de l'École Polytechnique (Promotion 1899).</div>
<div style="text-align: justify;">Albert Irénée Caquot, né le 1er juillet 1881 à Vouziers (Ardennes) et mort le 28 novembre 1976 à Paris, a été considéré comme « le plus grand des ingénieurs français vivants » pendant un demi-siècle.</div>
<div style="text-align: justify;">Il est croix de guerre 1914-1918, membre de l'Académie des sciences (1934-1976), grand-croix de la Légion d’honneur (1951) et titulaire de nombreuses décorations étrangères (notamment DSO et ordre de Saint-Michel et Saint-Georges britanniques et Distinguished Service Medal des États-Unis).</div>
<div style="text-align: justify;">Doté d’une faculté d’invention féconde et variée, son génie mécanicien et visionnaire s’applique aussi bien à la construction aéronautique naissante qu’à la réalisation d’ouvrages en béton armé, avec plus de trois cents ponts et barrages de tous types dont plusieurs ont été des records du monde, et des œuvres de génie civil les plus variées. Il est un exemple des premières décennies du XXe siècle qui ont vu de jeunes intelligences issues des milieux les plus divers manifester la volonté de s’élever dans la société en s’illustrant dans les sciences s'appliquant à l’art de construire.</div>
<div style="text-align: justify;"><br />Contenu :</div>
<div style="text-align: justify;">-Manuscrits et imprimés</div>
<div style="text-align: justify;">-Éléments biographiques</div>
<div style="text-align: justify;">-Notes, travaux et textes de conférences</div>
<div style="text-align: justify;">-Photothèque</div>
Caquot, Albert (1881-1976)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a>
Consultation sur rendez-vous
3 boîtes
français
Archives
Photographies
Ouvrages imprimés
IX AC
1881-1997
Fonds des Manuscrits de la bibliothèque centrale du Conservatoire national des arts et métiers
Sciences -- Histoire
Techniques -- Histoire
<div style="text-align: justify;"><span>Jusqu'en 2010, les manuscrits conservés par la bibliothèque centrale du Conservatoire national des arts et métiers étaient versés aux imprimés, sans par ailleurs être signalés de manière spécifique ; depuis, un inventaire a été établi pour créer un fonds clairement identifiable et oeuvrer à son signalement dans Calames. Ces documents, fruits d'acquisition ou de don, illustrent l'histoire du Conservatoire national des arts et métiers, dans toute sa diversité : des notes de cours aux recueils de dessin, des catalogues de textile aux journaux d'expérience, des traités de construction civile ou militaire aux mémoires techniques ; le fonds des manuscrits du Cnam est une source vivante pour l'histoire des sciences et des techniques.</span></div>
Conservatoire national des arts et métiers
Calames
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'accès :</strong> <br />Accès soumis à autorisation ; communication sur rendez-vous. Écrire à bib.patrimoine[@]cnam.fr ou renseigner le formulaire de demande en ligne.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong>Conditions d'utilisation :<br /></strong>Toute publication ou reproduction est soumise à autorisation.<strong><br /></strong></div>
Fonds vivant, en cours d'accroissement
Manuscrits
Fonds Paul Dislère (1840-1928)
École Polytechnique
Génie maritime
<div style="text-align: justify;">Paul Dislère, né à Douai le 1er décembre 1840, mort le 7 avril 1928, est un polytechnicien français, fils d'Augustin Félix Joseph Dislère et de Sophie Augustine Thérèse Vanhacken. Il est décédé à Paris, à la suite d'un accident de la circulation en avril 1928. <br />Polytechnicien (promotion 1859), ingénieur naval et grand administrateur français, maître des requêtes, conseiller d'État, président de section des Finances puis de l'Intérieur et du Culte au Conseil d'État, il est le rédacteur de la loi de séparation de l'Église et de l'État. Il est président de section honoraire du Conseil d'État le 1er octobre 1911.<br /> Cette acquisition se compose de 87 lettres de Paul Dislère écrites entre 1859 et 1861 (à l’École polytechnique) et de 27 lettres à sa mère entre 1871 et 1875. Le lot comportait également un dossier sur la généalogie de la famille Dislère.</div>
Dislère, Paul (1840-1928)
<a href="https://gargantua.polytechnique.fr/siatel-web/linkto/mICYYYSHwxY" title="Bib Polytechnique" target="_blank" rel="noreferrer">Ecole Polytechnique. Bibliothèque centrale</a> ; Wikipedia ; article d'Olivier Azzola dans le <a href="http://journals.openedition.org/sabix/1089" target="_blank">Bulletin SABIX, no 51</a>
Consultation sur rendez-vous
1 pochette
français
Archives
IX DISLERE
1859-1861, 1872-1875