Lettres autographes et mémoires lus à l'Académie d'Orléans
Académie d'Orléans
Lettres et autographes issus de la collection de l'abbé Pataud.
On y trouve parmi les nombreuses pièces celles de Berthollet, Cabanis, Chaptal, Jacques Antoine Joseph Cousin, Étienne Geoffroy-Saint-Hilaire, Pierre-André Latreille, Jacques Lieutaud,Jean-François Pilâtre de Rozier, Pierre Varignon
Catalogue des archives et manuscrits <a href="http://aurelia.orleans.fr/wrap/ead.html?id=FRCGMBPF-452346101-01a.xml&c=FRCGMBPF-452346101-01a.xml_D18014622&qid=eas1539606752137#!{%22content%22:[%22FRCGMBPF-452346101-01a.xml_D18014258%22,false,%22eas1539606752137%22],%22fragment%22:%22ead-fragment.xsp?c=FRCGMBPF-452346101-01a.xml_D18014622&qid=sdx_q0%22}" target="_blank">Aurelia</a>
Académie d'Orléans
<a href="https://rhpst.huma-num.fr/items/show/711" target="_blank">Fonds de la Société d'Agriculture, Sciences, Belles lettres et Arts d'Orléans (Académie).</a>
Plusieurs cartons
français
latin
Archives
943-955 : Lettres autographes et mémoires lus à l'Académie d'Orléans
Fonds de vues d'optique
Optique
<div style="text-align: justify;">Il n’existe pas de certitude quant à l’histoire de la collection de la Bibliothèque interuniversitaire de Montpellier (BIU), on suppose qu’elle a appartenu au cabinet de physique de la Faculté des Sciences de Montpellier. Elle aurait été conservée dans une démarche pédagogique d’apprentissage des lois de l’optique et de la perspective. L’appareil de visualisation qui devait l’accompagner n’a pas été retrouvé.</div>
<div style="text-align: justify;">Ce fonds est composé de 86 vues d'optique parisiennes et londoniennes qui datent des années 1740-1760. Ces vues sont des gravures en taille-douce coloriées à la main à la gouache ou à l’aquarelle.</div>
<div style="text-align: justify;">Une moitié (vues d’origine anglaise) a été montée sur cartons afin de permettre la visualisation dans des appareils d’optique de type zograscope ou boîte foraine. Elles étaient présentées dans des milieux très différents : le salon aristocratique et la place publique où s’installait le colporteur. La légende, située en dessous de la vue, a été découpée et collée au verso du carton ou bien recopiée à la main. Une épaisse bordure noire a été peinte sur les bordures pour accentuer l’effet de contraste. Deux d’entre elles sont des vues « à transformation » : les cartons de support sont évidés afin de laisser passer la lumière à certains endroits et permettre un visionnage dans des « boîtes foraines » avec éclairage par l’arrière.</div>
<div style="text-align: justify;">L’autre moitié, formée en majorité de vues réalisées à Paris, est colorée mais ni rognée ni montée. On peut donc y repérer le titre à l’envers, caractéristique des vues d’optique.</div>
<div style="text-align: justify;">Les thématiques de ces vues sont très variées : paysages urbains ou champêtres, monuments et événements (peste de 1720 à Marseille, feux d’artifice à l’occasion de festivités…).</div>
<a href="http://www.biu-montpellier.fr/florabium/jsp/biumImpossid/anonyme2/index2.jsp" target="_blank">Site web</a> de la bibliothèque
<div style="text-align: justify;">86 gravures en taille-douce coloriées à la main à la gouache ou à l’aquarelle.</div>
Ressources iconographiques
1740-1760
Fonds de la Société de géographie
Géographie
<div style="text-align: justify;">La Société de Géographie est créée à Paris à l’issue d’une réunion tenue le 19 juillet 1821 et tient sa première assemblée générale à l’Hôtel de ville de Paris, sous la présidence de Jean-Denis Barbié du Bocage le 15 décembre de la même année. Dès l’origine la Société de Géographie prévoit de constituer une bibliothèque ouverte aux membres de la Société de Géographie mais sans réels moyens financiers. Des revues géographiques du monde entier sont reçues en échange du bulletin mais les principaux enrichissements proviennent des dons de ses membres et correspondants français ou étrangers : militaires, diplomates, ingénieurs, voyageurs ou explorateurs qu'elle a encouragés.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong><br />L’Inventaire comprend :</strong></div>
<div style="text-align: justify;">– les archives administratives de la Société de Géographie : dossiers de travail, coupures de presse, correspondance<br /> – des nombreux et précieux documents manuscrits : carnets de notes, journaux de route, dessins et croquis, documents cartographiques…</div>
<div style="text-align: justify;">Parmi les pièces remarquables, on peut citer : des notes de René Caillié sur son voyage à Tombouctou, des carnets de route de Jules Crevaux en Amazonie, de Jean-Baptiste Feuvrier en Perse… les archives d’explorateurs célèbres : Francis Garnier en Indochine, Maurice de Périgny en Amérique centrale…des dossiers sur l’histoire des séismes du monde entier réunis par le sismologue français Fernand de Montessus de Ballore. Citons encore les 34 lettres d’Alexandre de Humboldt (reproduites dans <i>Acta</i><i> Geographica</i> en 1965, n° 53-54), des lettres et cinq carnets de notes dus à la plume et au crayon d’Heinrich Barth (reproduits dans <i>Acta</i><i>Geographica</i> en 1967, n° 69-70). </div>
<div style="text-align: justify;">Plus récemment, la Société s’est enrichi de plusieurs fonds d’archives : archives <strong><a href="http://gallica/Search?ArianeWireIndex=index&p=1&lang=FR&f_typedoc=manuscrits&q=jules+girard">Jules Girard</a> </strong> (hydrographie) Louis Marin (Asie), Odette du Puigaudeau (Maroc et Sahara), Robert Vergnes (Amérique centrale), Henri de Monfreid (Ethiopie, Mer rouge). Ces fonds sont décrits dans le supplément à l’inventaire des manuscrits (Alfred Fierro puis France Duclos) désormais intégré au <strong>catalogue général de la BnF <a title="http://catalogue.bnf.fr/index.do" href="http://catalogue.bnf.fr/index.do">http://catalogue.bnf.fr/index.do</a></strong><a title="http://catalogue.bnf.fr/index.do" href="http://catalogue.bnf.fr/index.do">.</a></div>
<div style="text-align: justify;">Une démonstration particulièrement éclatante de la richesse de notre fonds a été apportée par la publication du <i>Guide des Sources de l’Histoire de l’Afrique</i>, réalisé sous les auspices de l’UNESCO par le Conseil International des Archives (Edition Inter Documentation Company A.G. Zug. Suisse).</div>
<div style="text-align: justify;">Comme autres livres précieux, signalons une édition rarissime des <i>Singularitez de la France antarctique</i>, par André Thevet, parue en 1557, à Paris, chez les héritiers de Maurice de La Porte, ou encore le <i>De Nuper sub D. Carolo repertis insulis</i>, intéressant la découverte de l’Amérique, publié à Bâle en 1521. Ces ouvrages rarissimes n’existent pas à la Bibliothèque nationale de France.<br /><br />Les collections photographiques de la Société de géographie, exceptionnelles par leur originalité, leur diversité et leur remarquable cohérence, constituent une source unique pour l’histoire des voyages et des découvertes au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle.<br /><br /></div>
<div style="text-align: justify;" align="JUSTIFY">Arrivées spontanément puis collectées et réunies en un fonds sous l’impulsion du bibliothécaire <b><a href="http://expositions.bnf.fr/socgeo/grand/224.htm">James Jackson</a> </b>à partir de 1881, ces photographies proviennent des dons des membres et correspondants français ou étrangers de la Société : militaires, diplomates, ingénieurs, voyageurs ou explorateurs qu’elle a encouragés.</div>
<div style="text-align: justify;" align="JUSTIFY">L’intérêt de la Société de géographie pour la photographie se manifeste dans le dernier quart du XIXe siècle. En 1875 est organisée la première conférence illustrée par des projections photographiques. Un appel à dons pour l’accroissement des collections, lancé en 1885 par la Société auprès de ses membres, connaît un immense succès et, en 1925, le fonds s’enrichit de la bibliothèque du prince <b><a href="http://expositions.bnf.fr/socgeo/grand/251.htm">Roland Bonaparte</a></b>, qui lègue à la Société la partie géographique de ses collections.</div>
<div style="text-align: justify;" align="JUSTIFY">Ces collections constituent un ensemble prestigieux couvrant, sur plus d’un siècle, tous les continents. Plus de 100 000 documents, épreuves papier, clichés sur verre, cartes postales, sont désormais conservés au Département des Cartes et Plans de la Bibliothèque Nationale de France.</div>
<div style="text-align: justify;" align="JUSTIFY">En 2007 a eu lieu dans la Galerie de photographie du site Richelieu de la BnF, l’exposition <b><a href="http://expositions.bnf.fr/socgeo/index.htm">« Trésors photographiques de la Société de Géographie »</a> </b> Une exposition virtuelle accompagnait cette manifestation, site toujours visible.</div>
<div style="text-align: justify;" align="JUSTIFY">La pièce la plus prestigieuse des collections photographiques de la Société est <b><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b77021632.r=du+camp+egypte.langFR">l’album du voyage en Egypte de Maxime du Camp</a></b>, voyage réalisé en 1849-1850 en compagnie de Gustave Flaubert. Cet album de 168 photographies a été légué à la Société par <b><a href="http://expositions.bnf.fr/socgeo/grand/225.htm">Charles Maunoir</a></b>, exécuteur testamentaire d’Henri Duveyrier, alors propriétaire de l’album.<br /><br /></div>
<div style="text-align: justify;">Les globes hollandais, tout d’abord, comportent huit pièces réparties en deux groupes et sur deux siècles : quatre globes de Blaeu et quatre des Valk, et pour chaque groupe, deux globes célestes et deux terrestres. De Willem Janszon Blaeu (1571-1638), le plus ancien est un globe céleste de 1603, de 33,7 cm de diamètre (dimension extérieure 47 cm) et de 51 cm de hauteur. Nous avons ensuite une paire de globes, céleste et terrestre (2) de 1606 (diamètre 13,5 cm, hauteur 26 cm) montés chacun sur quatre pieds en bois tourné ; un globe terrestre de 1682 (3) enfin, mais édité par Joannès Van Keulen. Ces quatre globes sont produits à Amsterdam. Il en va de même au siècle suivant pour ceux des Valk (Gerhard, Ca 1650-1726 ; Léonard, 1675-1755), également au nombre de quatre et qui doivent être décrits par paire : datés de 1715, un globe terrestre et un globe céleste (46,2 cm de diamètre sur environ 62 cm de hauteur) et de 1750 un globe terrestre et un globe céleste également (31,2 cm de diamètre sur une hauteur de 45,5 cm) tous montés sur quatre pieds colonnes. Une pièce non datée, mais probablement du XIXe siècle, présentée sans pied, de 41,5 cm de diamètre, est à rattacher aux globes hollandais : il s’agit d’un fac-similé d’un globe céleste de Mercator de 1571.</div>
<div style="text-align: justify;">La production anglaise, toujours au XVIIIe siècle, est représentée par quatre globes des Adams (George, Ca 1704-1773 et son fils, George également, 1750-1795) : une paire de globes terrestres (1765) et céleste (1771), chacun de 30,5 cm de diamètre sur une hauteur de 57 cm environ, munis d’une table d’horizon réunie à un pied à base tripode comportant une boussole ; un globe terrestre daté vers 1770, sans pied, de 43,8 cm de diamètre, un globe céleste enfin, de 1775 (45,9 cm de diamètre sur 82 cm de hauteur), avec une table d’horizon reposant sur des quarts de cercle de bois réunis en un axe central terminé par trois pieds. Le tout est édité à Londres.</div>
<div style="text-align: justify;">Toujours au XVIIIe siècle, la production française est magnifiquement représentée par une paire de globes, céleste et terrestre (7) de 1773, due à Didier Robert de Vaugondy, éditée à Paris, les globes mesurent chacun 45,5 cm de diamètre sur une hauteur de 92 cm ; ils sont montés sur une table d’horizon octogonale avec boussole encastrée, reposant sur cinq pieds de bois noir décorés de feuillage doré.<br /><br /></div>
<div style="text-align: justify;">Les cartes constituent un ensemble important de plus de 50 000 documents, pour la plupart classés mais en cours de catalogage. Environ 3 000 documents sont accessibles.</div>
<div style="text-align: justify;">Parmi les cartes figure un splendide <strong><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b5901153f">portulan de Giacomo Maggiolo</a></strong> daté de 1563, une peinture sur vélin de Fred Woldemar représentant un combat naval en <strong><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b5906256k/f1.item">rade de Macassar</a></strong> en 1660. Provenant également de la collection du prince Bonaparte une carte gravée de Corse due à Sutter et produite à Augsburg est datée par Ceccaldi de 1730. Dans la splendide collection d’atlas réunie toujours par R. Bonaparte il convient de signaler les <em>Cartes générales de toutes les provinces de France, revues, corrigées et augmentées par le sieur Tassin</em>, dans une édition inconnue de 1634, le <em>Spieghel der Zeevaert</em>, oeuvre de Luc Jansz Waghenaer datée de 1585, recueil maritime de cartes exceptionnel et fondamental jusqu’à la parution du <em>Neptune français</em> de 1693, le <em>Theatrum orbis terrarum</em> d’Ortelius dans son édition latine de 1591-1592, le <em>Toonneell der Steden van’s konings Nederlanden de Blaeu</em> daté de 1649.</div>
<div style="text-align: justify;">Alfred Fierro, <em>La Société de Géographie 1821-1946</em>, Paris : H. Champion ; Genève : Droz, 1983. Claude Sibertin-Blanc, Bibliothèque de la Société de Géographie, catalogue des livres de la Réserve, Paris, Société de Géographie, 1952.
<p id="publication" class="notice"><span>Trésors photographiques de la Société de géographie [Texte imprimé] / sous la direction d'Olivier Loiseaux. Bibliothèque nationale de France : Glénat, impr. 2006</span></p>
</div>
BnF
1821-1996
<div style="text-align: justify;">Nombreuses numérisations. Documents imprimés à consulter au département des Cartes et Plans à la BnF (salle R)</div>
Corpus Gallica sur les photographies de la Société de Géographie : <a title="http://gallica.bnf.fr/html/und/images/photographies-de-la-societe-de-geographie" href="http://gallica.bnf.fr/html/und/images/photographies-de-la-societe-de-geographie">http://gallica.bnf.fr/html/und/images/photographies-de-la-societe-de-geographie</a>
<div style="text-align: justify;">
<p>Le fonds est constitué de trois séries : 38 boîtes de « cartons », 219 de manuscrits in-folio, in-4° et in-8°, et une centaine de « colis ».</p>
</div>
Français
Archives
Cartes
Photographies
Objets
Manuscrits
Mission nationale de sauvegarde et de valorisation du patrimoine scientifique et technique contemporain (PATSTEC)
Sciences
Techniques
<div style="text-align: justify;">Au cours des cinquante dernières années, les sciences et les technologies ont connu une évolution particulièrement rapide et occupent aujourd’hui une place de plus en plus importante dans nos sociétés. Les instruments scientifiques et techniques, témoins de cette recherche et de ces innovations, sont progressivement remplacés. Simultanément, un grand nombre de chercheurs, mémoire de ce demi-siècle d’évolution technique et scientifique, quittent la vie professionnelle. Au XXIe siècle, il est devenu nécessaire de sauvegarder et de valoriser ce patrimoine en le replaçant dans le cycle de l’innovation qui l’a vu naître. Il constitue pour demain l’un des outils privilégiés permettant à nos concitoyens de se familiariser avec les savoirs, les techniques et les innovations.
<p>La <strong>Mission nationale de sauvegarde et de valorisation du patrimoine scientifique et technique contemporain (PATSTEC)</strong> a pour objectif de préserver la mémoire des traces matérielles (instruments et documents) et immatérielles (savoir-faire des hommes et des femmes de la recherche), et de susciter des initiatives régionales de sauvegarde et de valorisation de ce patrimoine. Elle rassemble plus de dix-sept partenaires : laboratoires des universités et organismes de recherche publics et industriels, musées et Cnam régionaux et autres institutions nationales.</p>
<p class="Pa1">Les acteurs du réseau <strong>Patstec</strong> repèrent et trient les instruments selon leur intérêt scientifique, historique et patrimonial. L’ensemble des inventaires est versé dans la base de données nationale, consultable à partir du site de la mission. La mise en valeur de ce patrimoine fait aussi l’objet d’expositions, de manifestations et d’animations locales qui répondent à l’intérêt du public.</p>
<p>La <strong>Mission nationale</strong> poursuit sa réflexion sur le patrimoine scientifique et technique contemporain en développant des séminaires et des actions de recherches avec des laboratoires. Elle assure aujourd’hui un rôle de conseil et d’expertise, notamment pour la constitution des musées scientifiques et techniques, nouveaux musées encyclopédiques du XXIe siècle, et ouvre de nombreuses collaborations à l’international.<br /><br />Musée des arts et métiers - le Cnam<br />Mission nationale Patstec <br />292 rue Saint-Martin <br />75141 Paris cedex 03</p>
</div>
<a href="http://www.patstec.fr/PSETT" title="Accueil" target="_blank">http://www.patstec.fr/PSETT</a>
Objets
Ressources audiovisuelles
Ressources numériques
Années 1945 à nos jours
MEDFILM, Base de données sur l'histoire de la santé
Histoire de la santé
Histoire du film médical
Histoire du film sanitaire
Prévention sanitaire
Prévention environnementale
Technique chirurgicale
<div style="text-align: justify;">La plateforme pédagogique <strong>MEDFILM</strong> est une <strong>base de données relative à l’histoire de la santé</strong>. Elle est principalement constituée par une collection de films accompagnée de leur analyse. Le but premier est de rendre ces supports accessibles et facilement exploitables pour l’enseignement et la recherche. Ils concernent prioritairement l’enseignement des<strong> Sciences humaines et sociales en médecine et en pharmacie</strong>, celui de l<strong>’histoire des sciences et des techniques</strong> ainsi que les <strong>études sociales des science</strong>s (STS), sans exclure d’autres usages.
<p>MEDFILM héberge également d’autres types de documents. <strong>Des archives, comme des dossiers de productions et des articles de presse</strong> (documents attachés) qui aident à situer les films dans leur contexte. Des productions de recherche, comme des<strong> présentations de journées d’étude, des publications scientifiques, des travaux d’étudiants consacrés aux films, et des propositions d’enseignement thématiques</strong> (kits pédagogiques) s’appuyant sur la base de données.</p>
<p>Toutes les fiches sont consultables sans authentification préalable. Il est possible d'accéder à un extrait de la plupart des films en ligne. Certains sont soumis à des restrictions de diffusion. Leur intégralité est accessible à tout membre d’un établissement d’enseignement ou de recherche (école, université, organisme de recherche).</p>
<p>Vous pouvez avoir accès ici <a href="http://medfilm.unistra.fr/wiki/Accueil:Accueil_site" target="_blank">à la plateforme MEDFILM</a>.<br /><br />Le site<strong> MEDFILM</strong>, un projet de recherche sur<strong> l'histoire du film sanitaire et médical</strong>, émane de l<a href="http://dhvs.u-strasbg.fr/" target="_blank">'Université de Strasbourg (Département d'Histoire des Sciences de la vie et de la santé).<br /><br /></a>Le <b>Département d'Histoire des sciences de la Vie et de la Santé</b> a pour mission l<a>’enseignement et la recherche en histoire et philosophie des sciences biologiques et médicales. Il participe à la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine scientifique, organise des séminaires de recherche et des conférences.</a></p>
</div>
Ouvert à tous
Archives
Ressources audiovisuelles
Ouvrages imprimés
Fonds François Zourabichvili (1965-2006)
Spinoza, Baruch (1632-1677)
Deleuze, Gilles (1925-1995)
<div style="text-align: justify;">Professeur de lycée de 1988 à 2001, François Zourabichvili obtient le doctorat en 1999 avec une thèse dirigée par Rose Goetz sur la philosophie de Spinoza qui sera publiée en deux volumes (<em>Spinoza. Une physique de la pensée</em>, 2002 ; <em>Le Conservatisme paradoxal de Spinoza. Enfance et royauté</em>, 2004). Auteur également d’une monographie sur Gilles Deleuze (<em>Deleuze. Une philosophie de l’événement</em>, 1994) et de nombreux articles dans des revues et des ouvrages collectifs, François Zourabichvili a été directeur de programme au Collège international de philosophie de 1998 à 2004, et maître de conférences à l’université Paul-Valéry de Montpellier à partir de 2001.</div>
<div style="text-align: justify;"></div>
<div style="text-align: justify;">Le fonds d'archives comprend les documents utilisés et produits dans le cadre de ses travaux, notamment sur Deleuze.</div>
Zourabichvili, François (1965-2006)
Notice <a href="http://www.imec-archives.com/fonds/zourabichvili-francois/" target="_blank">IMEC</a>
Communicable après accord IMEC
IMEC, Fonds <a href="https://rhpst.huma-num.fr/admin/items/show/450" target="_self">Félix Guattari</a>
33 boîtes d'archives
Français
Archives
ZRB
Fonds Françoise Zonabend
Ethnologie
Anthropologie
France
Normandie
Bourgogne
Parenté
Histoire orale
Anthropolgie du risque
<div style="text-align: justify;">Après avoir suivi des études d'ethnologie et de sociologie à la Sorbonne (devenue Paris V après 1968) et effectué des recherches de terrain au Sénégal, elle soutient une thèse de doctorat dirigée par Paul Mercier et intitulée Les Lycéens de Dakar.<br />En 1962, elle entre à l'École des hautes études en sciences sociales, aux fins de collaborer avec Isac Chiva à la rédaction de la revue <em>Études rurales</em>, publiée par le Laboratoire d'anthropologie sociale (LAS), institution fondée et dirigée par Claude Lévi-Strauss en 1960. C'est dans ce cadre institutionnel et scientifique – l'EHESS et le LAS – qu'elle accomplira toute sa carrière, se spécialisant alors dans l'anthropologie de la France.<br />Entre 1968 et 1980, elle conduit, avec trois autres chercheuses, une étude sur le village de Minot, situé en Bourgogne du Nord (France). Pour sa part, Françoise Zonabend y étudie plus particulièrement le rôle et la fonction de la parenté dans ce monde rural, ainsi que les représentations de l'histoire locale ou globale qui s'y perpétuent de génération en génération, soutenues par des formes de mémorisation spécifiques. En 1985, elle ouvre un nouveau chantier à la Hague, pointe ouest de la presqu'île du Cotentin, (Manche, France). Elle y poursuit des recherches sur la parenté et la mémoire, mais elle y traque aussi, dans ce lieu dédié à l'industrie nucléaire, les stratégies défensives mises au point par les employés et les riverains pour travailler et vivre sans trop de souffrances auprès de ces établissements à haut risque. C'est tout un pan de ce champ nouveau qu'est l'anthropologie du risque qui se trouve, ici, exploré.<br />Françoise Zonabend s'est aussi intéressée à la fabrication de l'écriture ethnographique, ainsi qu'aux modes de constitution des archives des ethnologues et aux usages dont celles-ci peuvent faire l'objet. Francoise Zonabend a succédé, en 1996, à Jean Jamin à la tête de la revue <em>Gradhiva</em>, revue d'histoire et d'archives de l'anthropologie, actuellement édité par le Musée du Quai Branly. Elle a dirigé cette revue jusqu'en 2006.<br /><br />Le fonds est divisé en 4 parties : les axes de recherche, l'activité scientifique, l'enseignement, les matériaux de terrain.</div>
Zonabend, Françoise
<div style="text-align: justify;"><a href="http://arlas.college-de-france.fr/arch/ar.aspx?archive=las&reference=FFZ" target="_blank">Notice de description du fonds</a> dans la base de données du Laboratoire d'anthropologie sociale</div>
Accès réservé, sur autorisation
Français
Archives
Photographies
Ressources audiovisuelles
fr/cdf/las/FFZ
Fragments de correspondance et papiers de la famille Zeiller, de Nancy
Paléobotanique
Correspondance
Charles René Zeiller, né le 14 janvier 1847 à Nancy et mort le 27 novembre 1915 à Paris, est un paléobotaniste français.<br />Major de la promotion 1865 de Polytechnique, Charles René Zeiller entre en 1867 à l’École des mines de Paris dont il sort également premier. Ingénieur des Mines, chargé du contrôle du Chemin de fer d'Orléans, il est par la suite affecté à Paris, au laboratoire de l’École des mines. À partir de ce moment, il partage sa vie entre sa carrière administrative et sa carrière scientifique. Dès 1878, il est chargé de conférences de paléontologie végétale à l’École des mines de Paris, puis nommé conservateur de la collection de paléontologie de l’École. En 1909, il est nommé professeur adjoint de paléontologie, chargé de la chaire de paléontologie végétale.<br />Il est le père de Jacques Zeiller.<br />Jacques Zeiller (1878–1962) est un historien français de l'antiquité romaine et du christianisme. Ses recherches portent surtout sur les origines et les débuts du christianisme.
Zeiller, René (1847-1915)
Zeiller, Jacques (1878-1962)
Zeiller, Antoine Jacques Eugène (1810-1861)
CALAMES ; Wikipedia
Les chercheurs souhaitant être admis comme lecteurs doivent être présentés au directeur de la bibliothèque par deux membres de l'Institut.
La publication de documents inédits est soumise à l'autorisation de la Commission des bibliothèques et archives de l'Institut de France.
Papier. 35 volumes ou dossiers. Formats divers.
français
Manuscrits
Manuscrits de la Bibliothèque de l'Institut de France. Ms 6243-6277
19e-20e siècle
Fonds Jeannine Yon-Kahn (née en 1927)
Biochimie
Biophysique moléculaire
Biophysique cellulaire
Chimie
Biologie cellulaire
<div style="text-align: justify;">Directrice de recherche au CNRS (2005), Jeannine Yon-Kahn a fondé le Laboratoire d’enzymologie physico-chimique et moléculaire à Orsay. Elle a notamment joué un grand rôle dans la compréhension du repliement des protéines. Membre de nombreux comités nationaux (INRA, Ve Plan, CNRS) elle a présidé la commission ‘Chimie’ du Palais de la Découverte et la Société française de biologie cellulaire.<br /><br /><a href="http://grenoblesciences.ujf-grenoble.fr/ouvrages/livre.php?ouvrage=20011121" title="Enzymologie moléculaire, tome I" target="_self">Jeannine Yon-Kahn et Guy Hervé, <em>Enzymologie moléculaire et cellulaire</em> - Tomes I et II, Les Ulis, EDP Sciences, “Collection Grenoble Sciences”, 2005.<br /></a><br /><a href="http://grenoblesciences.ujf-grenoble.fr/ouvrages/livre.php?ouvrage=42611061" title="Histoire de la science des protéines" target="_blank">Jeannine Yon-Kahn, <em>Histoire de la science des protéines</em>, Les Ulis, EDP Sciences, “Collection Grenoble Sciences”, 2006.</a><br /><br />
<div id="soustitre"><a href="http://grenoblesciences.ujf-grenoble.fr/ouvrages/livre.php?ouvrage=42011071" title="L'architecture moléculaire du vivant" target="_blank">Jeannine Yon-Kahn, <em>Rencontre de la science et de l'art, </em></a><a href="http://grenoblesciences.ujf-grenoble.fr/ouvrages/livre.php?ouvrage=42011071" title="L'architecture moléculaire du vivant" target="_blank"><em>L'architecture moléculaire du vivant</em>, Les Ulis, EDP Sciences, "Collection Grenobles Sciences, 2010.</a></div>
<div class="adaptable"> </div>
</div>
Yon-Kahn, Jeannine (née en 1927)
CAPHÉS
Ouvert à tous
Archives : 75 boîtes.
français
anglais
Archives
Tirés à part
Cote des archives : JYK
Fonds Alexandre Yersin (1863‑1943)
Expédition scientifique
Institut Pasteur
Peste
Tuberculose
<div style="text-align: justify;">Médecin et biologiste français, d'origine suisse, né à Lavaux (Canton de Vaud, Suisse), le 22/09/1863, mort à Nhatrang (Indochine) en 1943. Isole le bacille de la peste à Hong‑Kong en 1894. Fondateur de l'Institut Pasteur de Nhatrang (1895). Inspecteur général des établissements de l'Institut Pasteur en Indochine (1924). Directeur honoraire de l'Institut Pasteur, Paris (1934‑1943).</div>
Yersin, Alexandre (1863-1943)
<div style="text-align: justify;">Consultation libre. Reproduction sur autorisation des Archives et de la Photothèque.</div>
<div style="text-align: justify;">Académie des sciences, Paris (dossier de membre) ; Institut d'histoire de la médecine de Lausanne, Suisse (fonds Yersin) ; Médiathèque de Dôle (fonds Pasteur Vallery‑Radot, 69 S‑W) ; Institut Pasteur de Nhatrang, Vietnam</div>
5 Cartons ; 1500 pièces (environ). ; 0,50 m.l.
français
Archives
Ouvrages imprimés
Tirés à part
FR‑AIP‑YER.
1886‑1994